Apocalypse 12:16
16 Et la terre secourut la femme, et la terre ouvrit sa bouche et engloutit le fleuve que le dragon avait lancé de sa bouche.
Science et Église.
La "femme" mentionnée ici est un symbole de l'Église du Nouveau Testament. Elle est représentée poursuivie par le diable, qui éjecte de sa bouche un fleuve d'eau après elle. Juste à ce moment-là, la terre s'ouvre ; le déluge est englouti, donc la femme est sauvée. D'où l'on surprend au moins autant à voltiger une vision que cette proposition bienvenue : la nature est du côté de la religion authentique ; la science est prête maintenant à être utile à l'Église lorsqu'elle a besoin de secours.
I. Notez la manière quelque peu peu généreuse dont la femme a traité la terre dans les temps modernes. Il y a une violence de préjugés dans l'esprit de beaucoup de gens de Dieu qui est presque inexplicable. Dieu ne va pas souffrir que le royaume de la grâce soit renversé par des contradictions que les hommes découvriront dans le royaume de la nature ; Il est roi dans les deux royaumes, et le Christ a dit un jour que même Belzébuth ne pouvait pas rester divisé contre lui-même.
II. Notez quelques-unes des formes d'aide réelle que la science naturelle de toute sorte a déjà fournies, montrant ainsi sa réelle convivialité. Nous remarquons (1) sa réponse à ce qu'on a appelé les prophéties inconscientes de la Bible. (2) La science réprimande constamment les chicanes impertinentes que les objecteurs pétulants ont l'habitude d'exhorter. (3) La science exemplifie son amitié pour l'Église dans l'illustration des doctrines difficiles qu'elle fournit. (4) La science offre une réconciliation des paradoxes de la raison et de la foi dans les Écritures. (5) La science offre une aide positive dans l'interprétation de passages obscurs dans le mot lui-même.
CS Robinson, Sermons sur les textes négligés, p. 35.