Daniel 2:45

(avec Proverbes 27:1 )

Notre sujet est l'avenir, et nous devons découvrir ce qui est connu, et aussi ce qui est inconnu à son sujet.

I. Nous devons beaucoup, à la fois en termes de stimulation et d'éducation, au mystère même de l'avenir. C'est l'espérance, appelons cela l'espoir et la peur, qui donne à la vie un intérêt rare : l'espoir lui-même apporte parfois avec lui une piqûre de douleur, et la peur apporte parfois même quelque chose de plaisir étrange. La vie sans avenir ne serait qu'une surface plane, une monotonie raide et froide, un monde sans firmament. Mais avec un avenir c'est un espoir, une inspiration, une promesse douce et gracieuse.

II. Nous connaissons les grandes caractéristiques de l'avenir, mais presque rien de son simple détail. Mortalité, destin, état moral futur du monde mais détail, rien ! Pourtant, cette ignorance du détail ne doit pas interférer avec notre juste appréhension et notre bon usage de l'avenir. Le fait de notre ignorance de l'avenir devrait avoir un effet profondément religieux sur nous : (1) dépendance ; (2) sérieux.

Parker, L'Arche de Dieu, p. 222.

Références : Daniel 2:46 . R. Payne-Smith, Homiletic Magazine, vol. vii., p. 121. 2 JG Murphy, Le Livre de Daniel, p. 85 ; Le mensuel du prédicateur, vol. ii., p. 184. Daniel 3:1 . Ibid., vol. iv., p. 243. Daniel 3:14 . Spurgeon, Sermons, vol. xxxii., n° 1930 ; C. Kingsley, La Bonne Nouvelle de Dieu, p. 31.

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