Commentaire de la Bible du sermon
Jean 12:12-13
L'entrée du Christ à Jérusalem
I. Nous aussi, comme les personnes dans le texte, devons aller à la rencontre de notre Sauveur, chaque fois qu'il vient à nous. Alors nous irions à sa rencontre, certains penseraient peut-être, s'il venait vraiment à nous, comme il est venu à Jérusalem, dans le corps, afin que nos yeux puissent le voir, et que nos oreilles puissent entendre ses paroles si pleines de grâce et de vérité. Mais nous devons nous rappeler que si Jésus-Christ demeurait en ce jour sur terre, Il ne pourrait être qu'à un seul endroit à la fois.
S'il habitait ici avec vous, tout le reste du monde serait sans lui. Mais maintenant qu'il est au ciel, il peut être partout à tout moment, tout comme le soleil n'est pas seulement avec vous dans votre jardin, mais tout autant avec votre voisin dans son champ de blé, et avec les moutons sur le collines, et avec les marins sur la grande mer.
II. Mais comment savoir quand Christ vient à nous ? S'il ne vient pas à nous dans le corps, comment et en quoi vient-il ? En tout, si vous voulez bien le croire, seul le péché excepté. Si nous ne faisions que contempler la main qui nous apporte toutes nos bénédictions, si nous voyions comment elles nous sont apportées par Celui qui vient au nom du Seigneur, elles deviendraient doublement, voire dix fois plus belles et précieuses, de la lumière de son amour qui brille sur eux.
Vous savez quelle différence cela fait dans l'éclat et la beauté de tout dans le monde, quand le soleil brille sur lui combien la terre, la mer et le ciel seraient froids et tristes sans le soleil quelle fraîcheur et joie rayonne d'eux dès que ils sont baignés de sa lumière ; telle, si grande, oui, encore plus grande est la différence que cela fait dans toute la couleur et l'aspect de nos vies, si nous regardons les événements qui nous arrivent, comme ordonnés et envoyés par l'amour de notre Seigneur et Sauveur céleste .
Dans chaque dispensation et visite de la vie, Christ vient à nous, à l'exception du péché. Il est venu, non pour vaincre notre grand ennemi une fois pour toutes, mais afin qu'il soit continuellement avec nous, avec tous ceux qui croient en lui, se tenant à nos côtés chaque fois que nous sommes attaqués, renforçant nos bras, énervant nos cœurs, ayons bon courage, car l'ennemi est déjà vaincu ; nous enjoignant d'élever nos âmes au ciel, car il nous a acquis un héritage sûr, si nous voulons seulement nous efforcer de l'assurer dans le royaume de son Père éternel.
JC Hare, Sermons in Herstmonceux Church, vol. ii., p. 361.
Références : Jean 12:12 ; Jean 12:13 . Le mensuel du prédicateur, vol. vii., p. 198. Jean 12:12 . Ibid., vol. je., p. 263.
Enthousiasme religieux
I. L'enthousiasme qui est créé par une multitude d'hommes, est, dans chacune des unités qui le composent, un résultat de la nature que Dieu nous a donnée.
II. Le sens de l'association est l'âme et la force de toute action collective puissante parmi les êtres humains. C'est cet enthousiasme, né du sentiment d'association entre les membres d'une grande assemblée d'êtres humains que notre Seigneur a pris à son service si visiblement et si délibérément le dimanche des Rameaux.
III. Tout sentiment chaleureux que Dieu peut, dans sa miséricorde, nous donner de temps en temps, doit être considéré, non comme une fin en soi, non comme de grandes réalisations ou réalisations spirituelles, mais comme un moyen, seulement un moyen, pour une fin au-delà.
HP Liddon, Penny Pulpit, n° 1084.
Références : Jean 12:13 . J. Irons, jeudi Penny Pulpit, vol. vi., p. 269. Jean 12:15 . Homiletic Magazine, vol. XII., p. 208. Jean 12:16 . S. Thomas, Christian World Pulpit, vol. xxv., p. 264 ; J. Keble, Sermons à diverses occasions, p. 417.