Commentaire de la Bible du sermon
Job 8:9
On n'apparaît que dans les siècles de l'existence humaine qui parle d'immortalité comme Celui qui sait qu'il est le plus humble des fils des hommes. Pourtant, il parle de providence, d'immortalité, comme Dieu pourrait parler, si sa voix nous descendait du silence éternel. Il ne raisonne pas, mais déclare des vérités au-delà de la portée, au-dessus de la portée du raisonnement. Il est sorti vivant de son propre sépulcre, attestant ainsi la non-réalité de la mort, la continuité de la vie à travers le sommeil de la mort.
I. Si Dieu est notre Père, s'il exerce sur nous une providence aimante, s'il entend nos prières, s'il nous a ordonné une vie au-delà de la mort, comment le saurons-nous ? La nature est sans voix. La révélation seule peut répondre à nos désirs, peut répondre à ces questions que toute conscience éveillée doit se poser. Jésus lui-même est la meilleure preuve de la Divinité de la révélation qu'il a donnée, ou plutôt qu'il a été et qu'il est. C'est l'esprit le plus puissant qui ait jamais habité la terre ; C'est la force la plus puissante à l'œuvre dans notre monde.
II. Ici donc, en Celui « qui a aboli la mort et fait découvrir la vie et l'immortalité », nous avons notre recours et notre remède sûrs sous la conscience déprimante dont notre texte nous donne la formule. Enseigné par Jésus, on peut dire, je ne suis pas perdu ; Je ne suis pas oublié dans la foule des êtres, dans la cohue des mondes. Toi qui es la vie de tous ceux qui vivent, tu m'as fait, dans ma petitesse et mon humilité, le participant de ta propre immortalité.
AP Peabody, Christian World Pulpit, vol. xi., p. 273.
Références : Job 8:11 . Spurgeon, Sermons, vol. xi., n° 651. Job 8:13 . Le mensuel du prédicateur, vol. v., p. 62. Job 8 Expositor, 1ère série, vol. v., p. 26. Job 9:13 .
Ibid., 3e série, vol. iv., p. 286. Job 9:21 . Ibid., vol. iv., p. 286. Job 9:25 ; Job 9:26 . J. Budgen, Sermons paroissiaux, p. 102. Job 9:30 . Homiletic Quarterly, vol. v., p. 192.