Luc 2:7

Christ attendant de trouver de la place.

Dans la naissance et le lieu de naissance de Jésus, il y a quelque chose de magnifiquement correspondant à ses fortunes personnelles, puis aussi à celles de son évangile. Même à notre époque et à notre époque, Il vient dans le monde, pour ainsi dire, pour taxer, et il y a peu de place pour Lui même à cela.

I. La raison pour laquelle Jésus ne peut pas trouver de place pour son Évangile est étroitement analogue à celle qu'il a rencontrée lors de sa naissance, à savoir. que les cœurs des hommes sont préoccupés. Ils ne se soucient pas, en général, de mettre quelque indignité sur Christ ; ils préféreraient ne pas le faire ; mais ils sont déjà pleins de leurs propres sujets.

II. Si nous parlons de ce qu'on appelle la chrétienté, comprenant, comme c'est le cas, toutes les nations les plus civilisées et les plus puissantes de l'humanité, les plus avancées en matière d'apprentissage, de science, d'art et de commerce, il peut bien nous sembler lorsqu'elles fixent le nom de chrétienté Christ dominion sur ces grandes puissances de la terre, que le Christ a certainement eu la place, jusqu'à présent, d'entrer et d'être glorifié dans la société humaine.

Et c'est une très grande chose, sans aucun doute, que Christ soit jusqu'ici admis à ses honneurs royaux ; plus, cependant, comme un signe de ce qui apparaîtra un jour que comme une mesure de pouvoir déjà exercé. Pourtant, quelles multitudes de populations éloignées il y a qui n'ont jamais entendu parler de Lui. Et les États et les populations qui Le reconnaissent, combien peu de Christ, tous ensemble, semblent être réellement en eux. De temps en temps, un saint apparaît, un vrai homme christique, mais la masse générale est nette pour l'argent et ennuyeuse pour Christ.

III. Notre Évangile manque jusqu'ici de tous les honneurs qui lui sont dus, parce que nous en représentons si mal la valeur et la grandeur. Que de multitudes sous le nom de disciples, qui maintiennent une figure chrétienne solidement jusqu'à la ligne du respect commun misérable, petit, mesquin, sordide, immonde dans leur imagination, bas d'esprit, grossier à tous égards ! Le travail, aussi bien ordonné qu'il soit en ce qui concerne les machines, s'attarde jusqu'à ce que Christ ait la place d'être une inspiration plus complète pour ses disciples. Ils lui donnent l'écurie, alors qu'ils devraient lui donner l'auberge.

H. Bushnell, Christ et son salut, p. 1.

Ainsi, par l'ordre de la Providence, ce qui s'est passé à Bethléem qui devait préfigurer tout ce qui s'est passé depuis. « Il était dans le monde, et le monde a été fait par lui, et le monde ne l'a pas connu.

I. A Bethléem, ce n'était qu'un accident ordinaire. Les moyens très limités d'hébergement dans un village pauvre avaient été étendus au maximum. Ceux qui viendraient en premier seraient les premiers servis, et ceux qui pourraient payer le mieux seraient soignés avec le plus grand soin. Les voyageurs n'étaient pas invités à aller ailleurs ; on ne les laissait pas dans la rue pour se loger une nuit d'hiver ; ce qui ne pouvait pas être trouvé dans la maison pouvait, puisque rien de mieux ne pouvait être offert, être trouvé dans une dépendance. Et ainsi le Sauveur du monde est né dans une étable, et bercé dans une mangeoire.

II. Ce qui s'est passé alors de manière non intentionnelle s'est répété depuis une intention délibérée. Cette auberge de Bethléem était le type et la similitude, à un degré plus ou moins grand, de tout cœur humain qui n'a jamais battu depuis. Qui est là mais doit être contraint de reconnaître que pendant que son cœur a été balayé et garni pour d'autres invités, et toutes ses chambres remplies, la place la plus pauvre, la plus étroite et la moins honorée a été attribuée à Jésus ? La vérité lamentable mais évidente est celle-ci, que du début à la fin le monde qu'il a fait n'a pas trouvé de place pour Dieu.

III. Essayons de comprendre qui c'est qui frappe à notre cœur, et pour qui nous ne voulons pas ou nous négligeons de trouver de la place. C'est la majesté et l'horreur de l'invité qui cherche à admettre l'horreur d'une telle Présence Intérieure, les contraintes qu'elle implique et nous impose, ce qui nous fait reculer devant la contemplation et partager le sentiment de l'Apôtre lorsqu'il s'est exclamé , "Éloignez-vous de moi, car je suis un homme pécheur, ô Seigneur!" Mais doit-Il chercher l'admission, et disons-nous ainsi que nous n'avons « pas de place ? Que soit loin de nous ! Accueillons-le sans réserve, et son amour et sa grâce feront le reste.

FE Paget, Aides et obstacles à la vie chrétienne, vol. je., p. 30.

Références : Luc 2:7 . Clergyman's Magazine, vol. je., p. 343 ; Chaire de l'Église d'Angleterre, vol. vii., p. 13 ; Homiletic Quarterly, vol. ii., p. 520 ; vol. III., p. 333 ; Spurgeon, Sermons, vol. viii., n° 485 ; EJ Hardy, Faint yet Pursuing, p. 151 ; J. Keble, Sermons de Noël à l'Épiphanie, p. 97 ; H. Wonnacott, Christian World Pulpit, vol. xiv., p. 24.

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