Commentaire de la Bible du sermon
Matthieu 13:10-17
Les paraboles du Christ.
I. « Quiconque a, lui sera donné », etc. Ici une loi universelle est annoncée comme l'explication du don aux disciples de comprendre les mystères, et de la différence entre eux et les autres. Celui qui a, celui qui n'a pas. N'est-il pas supposé dans cette déclaration universelle n'est-il pas affirmé que chaque homme a reçu certaines choses que le Donneur augmentera s'il les tient fermement, mais qu'il peut laisser aller et être laissé complètement nu ? Et quelles sont ces choses ? S'il y a le moindre rapport entre ce verset et celui qui le précède, ce sont les mystères du royaume des cieux.
Ce sont là des trésors proches de tout homme auxquels ces pêcheurs n'avaient pas renoncé à leur droit, et dont personne ne peut se départir sans renoncer à ses droits, sans renoncer à sa virilité.
II. Car ainsi Il continue : « C'est pourquoi je leur parle en paraboles : parce qu'ils ne voient pas, et qu'ils n'entendent pas, ils n'entendent pas non plus. Voir, entendre, comprendre ce sont des pouvoirs reconnus des êtres humains. Être sans eux est une peine effrayante, l'exception à une règle. Ne nous dit-on pas qu'il y a quelque chose qui correspond exactement à ces organes des sens dans l'esprit de l'homme ; qu'il y a là un œil qui peut s'ouvrir ou se fermer ; il y a une oreille qui peut être éveillée pour capter une voix qui lui parle ou qui peut être arrêtée ; une capacité de profiter de la vision, de céder à la voix, qui peut s'élargir sans cesse, ou se contracter sans cesse ? S'il y a cette correspondance entre les organes de l'esprit et les organes des sens, cela ne nous explique-t-il pas le sens et la puissance des paraboles ? Toutes les choses sensibles, par une nécessité de leur nature, ne pourraient-elles pas nous témoigner de ce qui nous est le plus proche, de ce qu'il nous importe le plus de connaître, des mystères de notre propre vie et de la relation de Dieu avec nous ? Ne nous serait-il pas impossible d'échapper à ces témoins ? Ils peuvent nous devenir insignifiants à cause de notre familiarité même avec eux ; bien plus, nous pouvons complètement oublier qu'il y a quelque chose d'étonnant en eux. s par rapport à nous? Ne nous serait-il pas impossible d'échapper à ces témoins ? Ils peuvent nous devenir insignifiants à cause de notre familiarité même avec eux ; bien plus, nous pouvons complètement oublier qu'il y a quelque chose d'étonnant en eux. s par rapport à nous? Ne nous serait-il pas impossible d'échapper à ces témoins ? Ils peuvent nous devenir insignifiants à cause de notre familiarité même avec eux ; bien plus, nous pouvons complètement oublier qu'il y a quelque chose d'étonnant en eux.
L'univers peut devenir en réalité « comme un paysage à l'œil d'un homme mort ; » toutes les affaires dans lesquelles nous sommes nous-mêmes engagés, une routine qui doit être accomplie d'une manière ou d'une autre, afin que nous ayons le loisir de manger, de boire et de dormir. Une langue peut-elle décrire cet état de manière aussi précise et vivante que celle de notre Seigneur dans le texte ? En voyant, nous voyons et ne percevons pas ; en entendant nous entendons et ne comprenons pas.
FD Maurice, Sermons, vol. v., p. 165.