Commentaire de la Bible du sermon
Nombres 32:23
I. Chaque péché apporte son châtiment.
II. Chaque pécheur sera finalement découvert par son péché et sera obligé de l'affronter.
III. Il y a un moyen d'échapper à la punition du péché. Ce doit être l'un ou l'autre le salut par la foi en Christ, et le péché ôté par un sacrifice expiatoire, ou le péché nous découvrant soit dans le temps, soit dans l'éternité.
AG Brown, Penny Pulpit, n° 1080.
Le texte nous amène à considérer les conséquences d'un seul péché, comme une rupture de leur engagement aurait été pour les Rubénites et les Gadites.
I. Il est naturel de réfléchir à l'influence probable sur nous des péchés commis dans notre enfance et même dans notre enfance, que nous n'avons jamais compris ou que nous avons tout à fait oubliés. L'esprit des enfants est impressionnable d'une manière très singulière, ce qui n'est pas courant par la suite. Les événements passagers qui les rencontrent reposent sur leur imagination comme s'ils avaient une durée, et les jours ou les heures, ayant pour eux l'apparence, peuvent faire le travail des années.
II. Ce qui est vrai dans l'enfance et l'enfance est vrai dans sa mesure dans l'au-delà. A des moments particuliers de notre vie ultérieure, lorsque l'esprit est excité, jeté hors de son état ordinaire, comme s'il était dans l'état originel informe où il était plus libre de choisir le bien ou le mal, alors, de la même manière, il prend des impressions, et ces indélébiles, à la manière de l'enfance. C'est une des raisons pour lesquelles une période d'épreuve est souvent une telle crise dans l'histoire spirituelle d'un homme.
III. Il n'est pas improbable qu'à ces péchés isolés ou oubliés soient imputables les étranges incohérences de caractère dont nous sommes souvent témoins dans notre expérience de la vie.
IV. Les péchés isolés commis ou négligés sont souvent la cause d'autres défauts de caractère, qui semblent n'avoir aucun rapport avec eux, mais qui, après tout, sont plutôt symptomatiques des premiers qu'eux-mêmes au fond du mal.
V. Un homme peut être très religieux dans toutes les infirmités sauf une, et celle-ci infirmité cédée peut produire les effets les plus désastreux sur son état spirituel, sans qu'il s'en rende jamais compte. Ses excellences religieuses ne sont d'aucune utilité contre le péché volontaire. La parole de l'Écriture nous assure qu'un tel péché nous exclut de la présence de Dieu et obstrue les canaux par lesquels Il nous donne la grâce.
JH Newman, Parochial and Plain Sermons, vol. iv., p. 37 ; aussi Sélection de la même, p. 331.
Références : Nombres 32:23 . G. Matheson, Moments sur la montagne, p. 43 ; Le mensuel du prédicateur, vol. iv., p. 120 ; J. Wells, Échos bibliques, p. 79 ; R. Newton, Bible Warnings: Addresses to Children, p. 138 ; C. Kingsley, Village Sermons, p. 52 ; T. Hammond, Christian World Pulpit, vol. XIX.
, p. 333 ; G. Levage, trente sermons d'enfants, p. 34 ; Spurgeon, Sermons, vol. xxxii., n° 1916 ; RC Trench, Brèves pensées et méditations, p. 1. Nombres 32:38 . Parker, vol. iv., p. 64. Nombres 33:1 . Idem.
, p. 24. Nombres 33:50 . Ibid., p. 32. Nombres 34:1 . Ibid., p. 41. Nombres 35:33 . A. Lindesie, L'Évangile de la grâce, p.
11. Deutéronome 1:6 . Parker, vol. iv., p. 69. Deutéronome 1:19 . Parker, vol. iv., p. 76.