Commentaire de la Bible du sermon
Psaume 110:3
I. Tout ce qui est jeune et frais, tout brillant et souriant, tout joyeux et joyeux, peut être attribué à la jeunesse perpétuelle de la Divinité, qui jaillit pour toujours et à jamais, imprégnant toutes les âmes et substances réceptives de sa propre qualité. Chaque bébé, chaque printemps et chaque nouveau matin sont des types mondiaux de la jeunesse éternelle de notre Dieu. "Jésus-Christ le même hier, aujourd'hui et éternellement." L'éternel hier l'a vu jeune; Il est jeune aujourd'hui ; Ses énergies demeureront intactes et jeunes pour toujours. Les défunts enfants du temps l'appellent encore « le saint Enfant Jésus ».
II. A travers sa jeunesse, le ciel demeure jeune. L'éternité du ciel ne fera que parfaire la jeunesse de son premier matin. Tout héritier du ciel, en naissant de la mort dans la bienheureuse éternité primitive, la trouve le matin.
III. Bien que Jésus soit apparu dans notre nature expressément pour porter nos péchés et nos peines, pourtant amis et ennemis ont été impressionnés par l'énergie et l'originalité de son caractère, deux signes incontestables de la jeunesse. Il parlait comme Celui qui voyait la vieille création avec des yeux jeunes, et comme Celui qui ressentait la relation poétique entre toutes choses et l'homme. Son dernier discours fut le plus frais, le plus doux et le plus jeune.
IV. Tous ceux qui l'aiment brilleront dans son royaume dans la gloire de la jeunesse perpétuelle, "comme le soleil aux siècles des siècles". Faites-lui confiance, aimez-le, demeurez en lui, et l'énergie et la fraîcheur de sa vie jailliront au cœur de votre cœur. Embrassez Jésus, et vous trouverez toutes les beautés de la sainteté ; ils demeurent en Lui, dans la Divinité de leur jeunesse, pour toujours.
J. Pulsford, Heures tranquilles, p. 270.
Références : Psaume 110 E. Bickersteth, Homiletic Quarterly, vol. v., p. 84 ; WH Simcox, Expositor, 3e série, vol. je.; Bonnes Paroles, 1877, p. 274. Psaume 111:9 . Spurgeon, Matin par Matin, p. 239. Psaume 111:10 . Lanterne du prédicateur, vol. iv., p. 506.