LE PREMIER MARTYRE CHRÉTIEN

« Etienne, étant rempli du Saint-Esprit, leva les yeux fermement au ciel. »

Actes 7:55

La vie et la mort de saint Etienne sont pleines d'enseignements pour ceux qui veulent être de vrais ouvriers chrétiens fidèles, loyaux.

I. La qualification pour le service .-St. Étienne pouvait rendre témoignage au Seigneur au milieu d'un monde impie et incrédule, où tout semblait contre lui, parce qu'il était « plein du Saint-Esprit ». Le grand besoin de l'Église aujourd'hui, c'est d'hommes et de femmes si remplis du Saint-Esprit.

II. L'inspiration pour le service. —Et tandis que nous continuons à témoigner pour le Maître, nous avons besoin d'une nouvelle force, d'une nouvelle inspiration chaque jour. D'où peut-il être obtenu ? Saint Etienne « leva les yeux fermement au ciel », et là il vit la gloire de Dieu et de Jésus se tenant à la droite de Dieu. Pas étonnant qu'avec cette précieuse vision devant Lui, il témoigna plus puissamment qu'il ne l'avait jamais fait, et que lorsqu'il était lapidé, il pouvait prier pour ses meurtriers. Si nous voulons ressentir une inspiration pour le service, si nous voulons être fortifiés pour notre travail, levons toujours les yeux vers Jésus, l'Auteur et le Finisseur de notre foi.

III. La récompense du service .-St. Stephen a eu sa récompense, même si sa vie semblait un échec. Il lui fut accordé le privilège béni d'être le premier martyr chrétien, et tant que le monde durera, son nom sera honoré. Mais la plus grande de toutes les récompenses était que juste au moment où la dernière pierre a tué son corps, il s'est « endormi » et s'est réveillé dans le paradis de Dieu.

Illustration

'St. Le cas d'Etienne nous enseigne qu'un homme a besoin d'être rempli du Saint-Esprit, non seulement pour de grandes réalisations héroïques, qui surviennent rarement dans la vie d'un homme, mais bien plus pour la vie quotidienne, la tâche commune, les vexations quotidiennes, les l'usure et la déchirure, la friction inhérente au fonctionnement ordinaire des machines de la vie dans nos relations avec nos semblables, dans nos foyers, dans nos relations sociales, dans la vie ordinaire.

Que n'importe quel chrétien dise si la plus grande tension sur sa spiritualité n'est pas là ; s'il n'y a pas autant besoin de force pour les petites choses que pour les engagements importants ; que ce n'est pas, en fait, une épreuve bien plus sévère de la ressemblance réelle d'un homme avec Christ de vivre de manière cohérente dans sa maison et dans ses occupations quotidiennes ordinaires que de prendre, cela peut être, une part importante dans les services religieux. Comptez sur elle, nous avons besoin d'être remplis de l'Esprit pour la fidélité dans les petites choses. Saint-Etienne était tellement rempli, et par conséquent il était prêt quand la grande crise de son histoire est arrivée.

ST.

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