L'illustrateur biblique
1 Rois 14:1-18
A cette époque, Abija, fils de Jéroboam, tomba malade.
Un bon garçon et une mauvaise famille
Une belle fleur dans un désert ; une belle rose parmi les épines ; une branche fructueuse sur un arbre corrompu. Nous allons parler d'un garçon qui était comme cette fleur, cette rose ou cette branche.
I. Le père de ce garçon était très méchant. Dieu avait été gentil avec cet homme. Au lieu de se souvenir de la bonté de Dieu et de lui obéir, il a essayé de chasser toute pensée de Dieu de son esprit et lui a désobéi. Il fit faire deux veaux d'or. Il plaça l'un à Dan et l'autre à Béthel. Il s'adora lui-même. Le péché, c'est comme descendre une colline, une rivière dans son cours, un arbre dans son cheminement. Cela s'est vu dans sa vie. Certains des rois qui l'ont précédé étaient méchants, mais il était le pire.
II. La mère de ce garçon était une trompeuse.
III. Même si ce garçon avait un père méchant et une mère trompeuse, il était bon. On nous dit qu'en lui se trouvait quelque chose de bon envers le Seigneur Dieu d'Israël.
1. Cette bonne chose était la religion. On l'appelle bon pour quatre raisons :
(1) Il vient du bon Dieu.
(2) Il rend bons ceux qui le reçoivent vraiment.
(3) Cela les amène à faire du bien aux autres.
(4) Il les prépare pour le bon endroit, le ciel.
2. La religion était dans ce garçon :
(1) Dans son esprit.
(2) Dans son cœur.
(3) Dans toutes ses paroles et actions.
La religion a été trouvée chez ce garçon.
(1) Il a été trouvé par Dieu, car Il voit toutes choses.
(2) Il a été trouvé par le garçon lui-même. Cela l'a rendu heureux, fort et plein d'espoir.
(3) Il a été trouvé par tous ceux qui l'ont connu. Pour eux, il était une lumière brillante, ou comme une ville sur une colline.
3. Comment pouvait-il être si différent de son père et de sa mère ?
(1) Il croyait ce qui était écrit dans les Saintes Écritures.
(2) Il a prié Dieu.
(3) Sa victoire était le roi de sa situation.
Imitez-le dans ces trois choses. Si certains d'entre vous ont des maisons impies, vous apprendrez alors, comme lui, que vous pouvez y être pieux.
IV. Ce garçon est mort. ( A. McAuslane, DD )