L'illustrateur biblique
1 Samuel 25:1
Et Samuel mourut, et tous les Israélites se rassemblèrent et se lamentèrent sur lui.
« Quand je mourrai, est-ce que je vais me manquer ? »
« Et Samuel mourut ; et tout Israël se lamenta sur lui. Quelle épitaphe ! Quel personnage pour avoir mérité une telle épitaphe ! Le plus humble des mortels peut vivre de manière à laisser une brèche lorsqu'il s'en va – un fait que nous réalisons difficilement, car nous disons : « Oh ! les grands me manquent, mais je suis pauvre et humble ; mes réalisations sont si insignifiantes. Aucune vie ne doit être insignifiante. « Et Samuel mourut ; et tout Israël se lamenta sur lui.
” Quelque pauvre ménagère du lointain Beersheba, qui n'avait jamais été à cinq milles de chez elle, quand vient le mot que Samuel est mort, elle va au coin, porte son tablier à ses yeux et pleure. Tel est le résultat d'une bonne vie. Nous ne savons pas jusqu'où peut aller son influence. Ne sommes-nous pas tous largement influencés par des hommes et des femmes dont nous n'avons jamais vu les visages, dont nous n'avons jamais entendu la voix ? Ne nous guident-ils pas, ne nous encouragent-ils pas, ne nous inspirent-ils pas sur notre chemin ?
1. La vie qui s'oublie. Nous voulons apprendre à faire le bien tranquillement, sans ostentation.
2. Joie dans les tâches quotidiennes.
3. Vertu désintéressée. Vivre une belle vie pour être manqué, et rien de plus, est une chose. Mais la vivre sans une telle intention en est une autre. Notre vertu doit être désintéressée.
4. La vie de service. Nous parlons donc de la vie utile comme de la vraie. La vie idéale est celle du service consacré. Y a-t-il quelqu'un qui vit dans la solitude et qui dira : « Quand je n'avais pas d'ami au monde, lorsque je suis venu de ma campagne et que je suis entré dans une certaine église, cet homme s'est lié d'amitié avec moi ? »
5. Religion active. « Et Samuel mourut, et tout Israël pleura pour lui. » Nous aussi, nous devons mourir. Les hommes nous pleureront-ils ? Le monde sera-t-il désolé ou tapera-t-il dans ses mains ? ( Ebenezer Rees. )