Et cela arriva la trentième année de la captivité de Jojakin.

Jojakin en tant que victime du despotisme tyrannique et en tant qu'objet de miséricorde

L'incident ici enregistré présente Jojakin--

I. En tant que victime du despotisme tyrannique. Il était en prison depuis trente-sept ans et avait cinquante-cinq ans. C'est Nabuchodonosor, le roi tyrannique de Babylone, qui a dépouillé cet homme de sa liberté et de sa liberté, et l'a enfermé dans un cachot pendant cette très longue période de temps. Un tel despotisme a prévalu dans tous les âges et dans tous les pays. Au déshonneur éternel de l'Angleterre, il existe ici depuis des siècles et sévit encore aujourd'hui. Regarde cet homme--

II. En tant qu'objet de la miséricorde. On nous dit que dès que le « Mal-Morodach » monta sur le trône à la mort de son père Nabuchodonosor, la miséricorde agita son cœur et il soulagea cette pauvre victime de la tyrannie. Aussi corrompu que soit ce monde, l'élément de miséricorde n'est pas entièrement éteint. Cette miséricorde rendit honneur et liberté aux hommes qui avaient été si longtemps enfermés et en disgrâce. Que les victimes de la tyrannie, et elles abondent partout, ne désespèrent pas.

La miséricorde sonnera bientôt la trompette du jubilé sur tout le pays. « L'esprit du Seigneur », a dit le grand Rédempteur de la race, « est sur moi, parce qu'il m'a oint pour prêcher l'Évangile aux pauvres, il m'a envoyé pour guérir les cœurs brisés, pour prêcher la délivrance aux captifs, et rétablissement de la vue aux aveugles, pour remettre en liberté ceux qui sont meurtris. ( D. Thomas, DD )

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