L'illustrateur biblique
Genèse 19:23
Le soleil se leva sur la terre quand Lot entra à Zoar
Les leçons d'un jour
I. L'ABSURDITÉ DE LAISSER DES MOTIFS LQUES RÉGIR LA CONDUITE DES HOMMES. Lot est allé à Sodome parce qu'il pensait que c'était un endroit séculairement désirable. ( Genèse 13:10 .) Il y est allé, et là sa propre piété a été blessée, ses propres enfants contaminés, et le partenaire de son propre sein est devenu une victime du jugement divin. La beauté de sa maison était sa malédiction. L'esprit du Lot est toujours présent.
II. L'INCONGRUITE ENTRE LES PAYSAGES PHYSIQUES ET MORAUX DU MONDE.
1. L'état anormal de la société humaine.
2. La nécessité d'une période rétributive.
3. Les circonstances extérieures d'un homme ne sont pas de véritables signes de caractère.
III. LA FORCE ÉNORME DES ANCIENNES ASSOCIATIONS.
1. Le local.
2. Le social.
3. Le laïc.
IV. LA FUTILITÉ DU RAISONNEMENT HUMAIN CONCERNANT LES VOIE DE DIEU.
1. Dieu peut s'écarter des lois de la nature ; le mensonge ne peut pas de sa parole.
2. Dieu s'est écarté des lois de la nature ; Il n'a jamais de Sa parole.
V. L'ANTAGONISTE DÉTERMINÉ DU GOUVERNEMENT DIVIN AU PÉCHÉ. ( homéliste. )
La patience de Dieu
1. Le soleil et minuit sont de grandes opportunités de Dieu. Ils sont comme la colonne de feu et la colonne de nuée pour toute la race humaine. Par leurs bouches muettes, Dieu nous parle, et leur mouvement silencieux, sans un bruit, nous avertit de sa présence, de son amour et de sa providence. C'était lorsque le serviteur de Dieu, faible, défaillant et infirme, brisé et brisé, dans une profonde tristesse, conduit par un ange, avait posé ses pas tremblants sur le rocher ; c'était alors, quand il était sorti sain et sauf de la ville flamboyante, et que les feux sinistres brillaient dans le ciel ; quand enfin, mais oh! combien de temps, avec quelle lenteur, le vieux patriarche était sorti de sa profonde détresse ; puis le soleil se leva sur la terre.
2. Peu de personnages dans la Bible sont plus réconfortants que Lot. Faible de caractère, défectueux dans sa vie générale, errant après des avertissements répétés, irrésolu même lorsqu'il était au bord de la ruine, Dieu était pourtant disposé à le sauver.
3. Au début, il montra une tendance, distincte et claire. Il aimait la facilité, le confort, la richesse, les possessions mondaines et la beauté. Il a suivi la disposition. Cette disposition n'était pas coupable, elle était faible. Il s'est trompé du côté de ce que les multitudes (et les bons) admirent : la gentillesse, la facilité, la douceur, l'affabilité, le manque de sévérité. C'était exactement l'inverse du tempérament d'Abraham. Tout doute quant à la fin de Lot, et sa position dans l'éternité, est levé par le verset qui déclare, sur le mandat et dans les paroles de St.
Pierre, que « Dieu a délivré Lot juste », qui était « un homme juste ». Son évasion est appelée une délivrance, et l'acte de Dieu est décrit comme un moyen utilisé pour retirer Lot des exemples pécheurs de Sodome et Gomorrhe. ( E. Monte, MA )
Les justes ont livré
Ainsi , dans les temps de calamité publique, il y a souvent quelque petit Zoar prévu pour eux qui aiment Dieu, où ils sont merveilleusement préservés des jugements qui tombent sur leur pays et leurs parents. Les armées romaines qui entourèrent Jérusalem, pour y exécuter la vengeance prédite, se retirèrent d'une manière inexplicable, comme si leur dessein eût été de donner aux chrétiens renfermés dans ses murs l'occasion de se retirer dans une petite ville voisine, appelée Pella, ce qui leur fut un Zoar, d'où ils virent les aigles romains voler à nouveau vers la proie destinée, pour ne plus être laissée jusqu'à ce qu'ils l'aient dévorée.
Et qu'est-ce que l'église sur la terre, sinon un Zoar, une petite ville (n'est-elle pas une petite ?) épargnée par l'intercession de son Seigneur ? Ici, le pénitent, pas encore assez fort pour s'échapper vers la montagne céleste, trouve repos et rafraîchissement, et est revigoré pour poursuivre son voyage. Qu'il s'échappe ici, et son âme vivra. Mais qu'il se souvienne qu'en s'échappant, la persévérance seule peut l'assurer. "Celui qui persévérera jusqu'à la fin", et lui seul, "sera sauvé". ( Mgr Horne. )