Car tu compte mes pas.

Dieu sur nos chemins

Certaines personnes pensent que cette idée est oppressante. Ils s'en détournent. Il contracte leur être et déprime leur énergie. Vous avez vu une pomme mûre qui a été conservée dans la réserve tout l'hiver jusqu'à ce que tout son jus se soit évaporé, que sa peau devienne sèche et ridée, et qu'elle ait rétréci au quart de ce qu'elle était. Prenez cette pomme desséchée et desséchée et placez-la sous la cloche en verre d'une pompe à air, et pendant que vous retirez l'air qui appuie dessus de l'extérieur, l'air en lui-même la fait se dilater, lisse ses plis et la fait une fois de plus la pomme charnue et fraîche qu'elle était lorsqu'elle venait d'être cueillie.

Un effet similaire, supposent-ils, serait produit sur leur être si l'oppression de Dieu était supprimée. Ils se déplaceraient plus facilement sous leur propre œil indulgent que sous l'œil strict de la justice de Dieu. Mais c'est une attente vaine. Un fardeau plus lourd peserait sur eux que le contournement de leur chemin par Dieu. La pomme ne gonfle mécaniquement qu'avec son propre gaz interne, et non avec les jus frais de la vie.

Il est vide et sans substance. Et il en va de même de la vie dont la pression consciente de Dieu sur elle est supprimée. Être sans Dieu dans le monde, c'est être sans espérance. Il peut y avoir l'apparence de vivre, mais l'âme est morte. ( Hugh Macmillan, DD )

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