L'illustrateur biblique
Job 34:20
Et les puissants seront enlevés sans main.
La souveraineté de Dieu vue par rapport à la mort de son peuple
Le texte fait partie de l'argumentation employée par Elihu pour établir le principe de l'équité divine dans le gouvernement de l'univers. Il insinue que le patriarche souffrant avait au moins impliqué certaines réflexions sur le caractère de la Divinité, et il lui fait des remontrances pour montrer que le gouverneur de l'univers ne saurait être injuste.
I. La souveraineté et l'impartialité de Dieu. La souveraineté au sens le plus élevé et le plus propre appartient exclusivement à Jéhovah. Aucune limite n'est fixée à Son influence, et aucun département n'est libre de Son contrôle. La cause originelle de la mort n'est pas la souveraineté divine, mais notre péché. Dans le salut, nous voyons la souveraineté de Dieu comme cause originelle ; mais dans la culpabilité de l'homme mort. Bien que la mort n'ait pas son origine dans la souveraineté, pourtant toutes les circonstances de la mort sont contrôlées par elle. La mort se tient comme un messager volontaire sur le marchepied de l'Omnipotence.
1. Dieu détermine l'heure de la dissolution. Les victimes dont nous parlons parfois sont des victimes pour nous, mais pas pour Dieu. Ce sont des parties nécessaires du système général que Sa sagesse régule et Son pouvoir contrôle. Il n'y a aucune confusion dans ce que Dieu fait ou permet de faire.
2. Dieu détermine ou contrôle les instruments par lesquels la vie sera terminée. Que ce soit par une maladie longue et persistante, ou par un accident vasculaire cérébral soudain. Il n'y a que deux cas d'exemption (apparente) - Enoch et Elijah.
3. Dieu n'est pas influencé par la considération des conséquences simplement présentes. Ils sont tous prévus par Lui. La mort est une peine qui doit être universellement rendue. Tout en administrant un gouvernement équitable, ce qui est particulier ne doit pas être autorisé à entraver le bien universel.
II. La faiblesse et la dépendance de l'homme. Le contraste est énorme entre la faiblesse de la créature et la majesté du Créateur. "L'homme meurt et dépérit." « Il pousse comme une fleur et est coupé. » Nous posons la question « Où est-il ? » La nature ne répond pas. La philosophie ne donne aucune réponse. Seule la révélation le peut. Il jette sa lumière sur l'avenir et, comme en un mot, prononce « éternité ! » ( George Wilkins. )