Sur la terre il n'y a pas son pareil.

La suprématie du Léviathan

The lion is often spoken of as “the king of the forest,” or the “king of beasts,” and in a similar sense the leviathan is here spoken of as at the head of the animal creation. He is afraid of none of them; he is subdued by none of them; he is the prey of none of them. The whole argument, therefore, closes with this statement, that he is at the head of the animal creation; and it was by this magnificent description of the power of the creatures which God had made, that it was intended to impress the mind of Job with a sense of the majesty and power of the Creator.

Cela a fait de l'effet. Il était intimidé par la conviction de la grandeur de Dieu, et il vit à quel point il avait eu tort de prétendre remettre en question la justice ou de juger les actes d'un tel être. Dieu n'entra pas, en effet, dans l'examen des divers points qui avaient fait l'objet de controverses ; Il n'expliqua pas la nature de son administration morale de manière à soulager l'esprit de la perplexité ; mais il voulait évidemment laisser l'impression qu'il était vaste et incompréhensible dans son gouvernement, infini en puissance, et avait le droit de disposer de sa création comme il lui plaisait.

Nul ne peut douter que Dieu ait pu, avec une facilité infinie, avoir expliqué la nature de son administration de manière à éloigner l'esprit de la perplexité et à résoudre les difficultés qui pesaient sur les divers sujets qui étaient entrés en débat entre Job et ses amis. Pourquoi Il n'a pas fait cela n'est indiqué nulle part et ne peut être que le sujet de conjectures. Il est possible, cependant, que les suggestions suivantes puissent faire quelque chose pour montrer les raisons pour lesquelles cela n'a pas été fait.

1. Nous devons nous souvenir de la première période du monde où ces transactions ont eu lieu et où ce livre a été composé. C'était dans l'enfance de la société, et quand peu de lumière avait brillé sur l'esprit humain en ce qui concerne les questions de morale et de religion.

2. Dans cet état de choses, il n'est pas probable que Job ou ses amis auraient pu comprendre les principes selon lesquels les méchants sont autorisés à prospérer, et les justes sont tellement affligés, s'ils avaient été énoncés. Des connaissances bien supérieures à celles qu'ils possédaient alors sur le monde futur étaient nécessaires pour comprendre le sujet qui agitait alors leurs esprits. Cela n'aurait pu se faire sans une référence très tranchée à l'état futur, où toutes ces inégalités doivent être supprimées.

3. Le plan général de Dieu a été de communiquer la connaissance par degrés : de la communiquer quand les hommes ont eu la pleine démonstration de leur propre imbécillité, et quand ils ressentent le besoin de l'enseignement divin ; et réserver les grandes vérités de la religion pour une période avancée du monde. Conformément à cet arrangement, Dieu s'est plu à garder en réserve, d'âge en âge, certaines vérités grandes et capitales, et celles qui étaient particulièrement propres à éclairer les sujets de discussion entre Job et ses amis.

Ce sont les vérités relatives à la résurrection du corps ; les châtiments du Jour du Jugement ; les gloires du ciel et les malheurs de l'enfer, où toutes les inégalités de l'état présent peuvent recevoir leur ajustement final et égal. Ces grandes vérités étaient réservées au triomphe et à la gloire du christianisme ; et les avoir énoncés au temps de Job aurait été avoir anticipé les révélations les plus importantes de ce système.

Les vérités dont nous sommes maintenant en possession auraient soulagé une grande partie de l'inquiétude alors ressentie, et résolu la plupart de ces questions ; mais le monde n'était pas alors dans l'état convenable pour leur révélation.

4. C'était une très bonne leçon d'être enseignée aux hommes, de s'incliner avec soumission, devant un Dieu souverain, sans connaître la raison de ses actes. Aucune leçon, peut-être, ne pouvait être tirée d'une plus grande valeur que celle-ci. A un esprit philosophique fier, sûr de lui, enclin à s'appuyer sur ses propres ressources et à se fier à ses propres déductions, il était de la plus haute importance d'inculquer le devoir de soumission à la volonté et à la souveraineté.

C'est une leçon que nous avons souvent à apprendre dans la vie, et que presque toutes les dispensations éprouvantes de la providence sont aptes à nous enseigner. Ce n'est pas parce que Dieu n'a aucune raison pour ce qu'Il fait ; ce n'est pas parce qu'il veut que nous n'en connaissions jamais la raison : mais c'est parce que notre devoir est de nous incliner avec soumission à sa volonté et d'acquiescer à son droit de régner, même lorsque nous ne pouvons voir la raison de ses actes.

Pourrions-nous raisonner, puis nous soumettre parce que nous avons vu la raison, notre soumission ne serait pas au plaisir de notre Créateur, mais aux déductions de notre propre esprit. C'est pourquoi, depuis toujours, il s'occupe de l'homme, en cachant la raison de ses actes, de manière à l'amener à se soumettre à son autorité et à humilier tout orgueil humain. À cette fin, tous les raisonnements du Tout-Puissant dans ce livre sont conduits ; et après l'exposition de sa puissance dans la tempête, après sa sublime description de ses propres œuvres, après son appel aux nombreuses choses qui sont, en fait, incompréhensibles à l'homme, nous sentons que Dieu est grand, qu'il est présomptueux dans à l'homme de juger ses œuvres, et que l'esprit, quoi qu'il fasse, se prosterne devant lui avec une profonde vénération et silence. ( Albert Barnes. ).

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