Qui calomnie secrètement son prochain.

Les péchés de la langue

M. Spurgeon avait l'habitude de dire que si tous les péchés des hommes étaient divisés en deux paquets, leur arrêt serait des péchés de la langue. Et si quelqu'un pense que c'est l'exagération d'un prédicateur, qu'il lise ce qui est écrit dans le Livre des Proverbes et les Psaumes à ce sujet, et il découvrira que le prédicateur a une bonne autorité pour ses paroles fortes. Les péchés de la langue, qui peut les compter ? Le mal du conteur, qui peut le mesurer ? Quand St.

Paul ordonne aux femmes âgées de ne pas être des calomnieuses », le mot qu'il utilise signifie littéralement « démons » ; c'est le mot qui nous a donné notre adjectif « diabolique » ; et en vérité, il n'y a pas d'humeur qui soit si totalement antichrétienne et antichrétienne, qui mérite aussi bien le nom laid de «diabolique», que l'humeur du calomniateur et du médisant. L'apôtre Jacques est, si possible, plus catégorique encore : « Si quelqu'un se croit religieux, dit-il, alors qu'il ne tient pas sa langue en bride mais trompe son cœur, la religion de cet homme est vaine.

" Mais d'un autre côté, " Si quelqu'un ne trébuche pas en paroles, c'est un homme parfait, capable de brider tout le corps aussi. " On dit que saint Augustin avait gravé sur sa table ces mots : « Il n'y a pas de place à cette table pour celui qui aime le scandale. Ne devons-nous pas prendre la même résolution, ne parler ni calomnier, ni l'écouter ? Car, si pour chaque parole vaine que les hommes prononceront, ils rendront compte au jour du jugement, où apparaîtront le calomniateur et le médisant ? ( George Jackson, MA .)

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