Ne soyez pas comme le cheval, ou comme la mule, qui n'ont aucun entendement.

Mors et bride : comment y échapper

I. Un privilège à rechercher.

1. Cette orientation est très complète dans sa nature.

(1) Dieu est prêt à vous donner une compréhension intérieure des choses spirituelles ; car son instruction est intensément efficace sur l'esprit.

(2) Dieu ajoute le précepte à la doctrine et nous instruit dans les deux.

(3) Voici la fraternité aussi bien que l'instruction ; car le guide accompagne le voyageur, et c'est ainsi que Dieu, dans le processus de notre instruction, nous donnera la communion avec lui-même.

2. Cet enseignement est divin dans sa source. Notre Seigneur peut nous instruire par des hommes qui sont instruits de lui-même ; mais, après tout, les meilleurs de ses serviteurs ne peuvent rien nous apprendre de profitable si le Seigneur lui-même n'enseigne par eux et à travers eux. Quelle merveilleuse condescendance que le Seigneur devienne un enseignant !

3. Observez à quel point cette guidance promise est merveilleusement personnelle. L'Infini se focalise sur l'insignifiant !

4. Cet enseignement est délicieusement tendre.

5. Cet enseignement est constant.

II. Un personnage à éviter.

1. Nous ne devons pas imiter les créatures dont nous sommes les supérieurs. L'un d'eux a dit, à mon audition, comme excuse pour un discours passionné : « Je n'ai pas pu m'en empêcher. Si vous marchez sur un ver, il tournera. Un ver doit-il être l'exemple d'un saint ?

2. Nous devons veiller à ne pas imiter les créatures dont nous sommes si proches parents. Une grande partie de nous est animale, et sa tendance est d'entraîner vers le bas cette partie qui est plus qu'angélique. Comme l'homme est abject et pourtant auguste ! Frère va le ver, et pourtant apparenté à la Divinité. Immortel et oui un enfant de la poussière. Ne soyez pas la proie de vos natures inférieures.

3. Nous ne devons pas imiter des créatures dépourvues de raison. Soyez sensible à l'Esprit de Dieu. « Donne-moi de l'intelligence et j'observerai ta loi. »

III. Comme infliction à échapper. NE conduisez pas votre Sauveur à être sévère avec vous. Ne choisissez pas la voie de la dureté, la voie brutale. "Ne soyez pas comme le cheval ou comme le mulet, qui n'avez pas d'intelligence", car alors vous deviendrez triste, sombre, terne, stupide et plein d'inquiétude.

IV. Une liberté à atteindre. Il y a des enfants de Dieu qui ne portent ni mors ni bride : le Seigneur a délié leurs liens. Pour eux, l'obéissance est un délice : ils gardent ses commandements de tout leur cœur. Le Fils les a rendus libres, et ils sont vraiment libres.

1. Ils sont libres, parce qu'ils sont en contact avec Dieu. La volonté de Dieu est leur volonté. Ils répondent au Seigneur comme l'écho de la voix.

2. Parce que tutoré.

3. Parce que toujours confiant.

4. Parce que tendre. ( CH Spurgeon. )

Cette raison est un guide insuffisant

Que la volonté de l'homme ait besoin de retenue et de contrôle est une vérité reconnue : mais on a découvert récemment que la raison se suffit à elle-même ; qu'il ne veut ni aiguillon pour le stimuler, ni frein pour l'arrêter ; mais que, si on la laisse suivre son propre cours, elle n'est sujette à aucune erreur, elle n'échoue jamais, elle ne blesse jamais les autres ou elle-même. Avant que cette nouvelle doctrine soit admise, elle doit être soumise à l'épreuve du temps et de l'épreuve ; , elle doit, comme toutes les autres théories, être réduite à la pratique.

Qu'est-ce que la religion, sinon le guide de la raison et le contrôleur de la volonté ? Qu'est-ce que la loi, sinon la retenue de la volonté individuelle pour le bien de tous ? Qu'est-ce que l'éducation, sinon l'art de former la volonté d'obéir, de corriger ses erreurs et de l'entraîner à la vertu ?

I. la religion joue contre les vices, les folies et les passions de l'humanité, en inculquant une croyance qu'il y a une puissance supérieure qui nous a créés, tels que nous sommes ; , qui place le bien et le mal devant nous, pour notre libre arbitre de choisir ; mais promis une récompense pour l'un, et une punition pour l'autre. Toute religion, par conséquent, repose sur la supposition que la raison laissée à elle-même est insuffisante pour nous diriger ; , car si nous devions tous choisir le bien de notre propre gré, la récompense et la punition doivent être superflues : même la fausse religion le suppose ; voire, même une religion dans les mains du magistrat,, une religion politique,, l'invention avouée de l'homme,, le produit de la raison elle-même, impute l'erreur à la raison, et prêche la nécessité du contrôle.

II. L'existence même de la LOI dans le monde est un témoignage du suffrage universel de l'humanité contre le pouvoir de la raison. Si tous les hommes agissaient de leur propre chef, il n'y aurait pas besoin de loi pour les retenir.

III. l'éducation, bien qu'appliquée d'abord à l'individu, est la dernière ressource de la société. Les hommes se forment en société, à partir de leurs peurs mutuelles, pour une protection mutuelle. Leurs notions d'une divinité peuvent être dérivées de la tradition ou de la révélation. Mais, dans le cours ordinaire des choses, la religion et la loi existent avant l'éducation. C'est par la réflexion que les hommes commencent à s'apercevoir que la génération montante peut être formée à des habitudes convenables à la société dont ils doivent devenir membres ; et si l'éducation pouvait agir en proportion de son dessein, elle empêcherait la commission des crimes que la loi doit punir.

IV. mais espérons-nous vraiment endiguer le torrent par la religion, la loi et l'éducation ? Oui, s'ils n'ont pas perdu leur effet sur l'esprit de l'homme. ( MR Vincent, DD )

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