Je suis enfermé et je ne peux pas sortir.

Le pouvoir emprisonné de la souffrance

I. La souffrance nous enferme toujours sur nous-mêmes. Il le fait de deux manières, il détruit à la fois la disposition et la capacité de sortir dans la société. La souffrance isole, elle nous renvoie à nous-mêmes et nous fait ressentir notre absolue solitude. C'est souvent...

1. Spirituellement nécessaire.

2. Spirituellement bienfaisant.

II. La souffrance nous ferme parfois à Dieu. Lorsque nous sommes « fermés » à nous-mêmes, nous sommes souvent poussés dans la présence consciente de Dieu. Dieu est mieux vu et entendu dans la solitude que dans la société. Je ne suis pas seul, « le Père est avec moi ». « Entrez dans votre armoire et fermez votre porte », etc.

III. La souffrance doit nous enfermer dans la tombe. Ailleurs, l'écrivain dit : « Ma vie s'approche de la tombe. ( homéliste. )

Continue après la publicité
Continue après la publicité