Car nous sommes consumés par ta colère, et par ta colère nous trouble.

L'homme sous une conscience de déplaisir divin

I. Cela est né d'un sentiment de tort moral. « Tu as mis devant toi nos iniquités », etc. Il est vrai que toutes nos iniquités, même les plus secrètes, celles qui sont forgées dans la plus profonde dissimulation, ressortent toujours clairement aux yeux de Dieu. Ainsi, une conscience convaincue de péché sent profondément que l'homme est consumé par sa colère, et par sa colère il est troublé. Lorsqu'un esprit pécheur prend conscience de son état de péché, il investit le Tout-Puissant des attributs de vengeance les plus terribles.

II. Il a résolu le malheur de la vie.

1. La vie est triste. « Nous sommes consumés par ta colère. » Les mêmes épreuves de la vie qui sont considérées par l'homme qui a un sens du pardon divin comme les disciplines d'un Père aimant, sont considérées par l'homme qui est empreint d'un sentiment de culpabilité comme les inflictions d'un juge irrité. La Providence est donc différente selon les hommes. L'un la sent comme un système de grâce, l'autre comme un système de rigueur rigoureuse.

2. La vie est vide. "Nous passons nos années comme un conte qui se raconte." Certains traduisent la pensée du « conte », et d'autres le son qui s'éteint. Combien bientôt le son le plus fort, même le fracas du tonnerre, s'éteint dans l'atmosphère !

3. La vie est brève. « Les jours de nos années sont de soixante ans et dix. » ( homéliste .)

Une conception de la colère de Dieu

La colère de Dieu est son amour rejeté sur lui-même par des cœurs peu réceptifs et sans amour ; tout comme une vague qui roulerait dans une beauté verte lisse et ininterrompue dans la porte ouverte d'une grotte marine est précipitée dans les embruns et l'écume d'un rocher sinistre. ( A. Maclaren, DD .)

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