Le Seigneur connaît les pensées de l'homme, qu'elles sont vanité.

L'accusation de Dieu de nos pensées

Dans les traités de morale et dans les manuels de religion, on a beaucoup parlé du contrôle de ses pensées. C'est une tâche difficile à accomplir.

I. Dieu dans le texte apporte une accusation sévère contre nos pensées. On nous enseigne que seul le sang du Seigneur Jésus peut les purifier.

1. Réfléchissez à ce qu'est la pensée et jusqu'où et à quelle vitesse elle peut aller. Il nous associe aux esprits d'en haut. Elle peut aller si loin que seules les bornes de l'infini peuvent l'arrêter ; si rapidement, qu'il peut distancer un archange dans son vol le plus rapide. Pensez à ses réalisations !

2. Cette pensée, si merveilleuse en sa capacité, Dieu la charge de vanité. C'est une lourde accusation.

II. Il existe de nombreuses preuves de l'exactitude de l'accusation.

1. Cette vanité apparaît dans la recherche persistante de l'homme à fouiller dans les mystères de Dieu.

2. On voit en ceci que, lorsque l'homme ne peut pas voir, il procède à des conjectures ; quand il ne peut pas savoir alors il devine.

3. Cela se voit dans les nombreuses façons dont les pensées des hommes les conduisent à l'absurdité.

L'importance de soi. Plaisirs des sens, et appétit, etc.

4. Il apparaît par un examen de notre passé. Dans la virilité, comme les pensées de notre enfance paraissent folles ! Nous avons alors rangé les choses enfantines. Ainsi, la période passée de notre vie nous apparaît à chaque étape successive.

III. Deux choses sont nécessaires,

1. Purification de nos pensées.

2. Régulation de nos pensées, par--

(1) Vigilance ;

(2) Discipline ;

(3) Auto-examen. ( M. Dix, DD .)

Le vrai caractère des pensées de l'homme

Supposons qu'un homme trouve un grand panier au bord du chemin soigneusement emballé, et qu'en l'ouvrant, il le trouve rempli de pensées humaines, toutes les pensées qui ont traversé un seul cerveau en un an, ou cinq ans, quel mélange ils feraient ! Combien seraient sauvages et insensés, combien faibles et méprisables, combien mesquins et vils, combien si contradictoires et tordus, qu'ils pourraient à peine rester immobiles dans le panier ! Et supposons qu'on lui dise qu'il s'agissait de toutes ses propres pensées, enfants de son propre cerveau, combien serait-il étonné, combien peu préparé à se voir révélé dans ces pensées ! Et comment voudrait-il s'enfuir et se cacher, si tout le monde voyait le panier, s'ouvrait et voyait ses pensées ! ( J. Todd, DD .)

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