Comme il est écrit, celui qui avait beaucoup ramassé n'avait rien de plus ; et celui qui avait peu ramassé n'en manquait pas.

Ver. 15. Celui qui avait beaucoup ramassé ] Celui qui était assez agile pour ramasser plus que son voisin devait fournir à son prochain, afin que chacun ait son omer. Or l'équité de cette loi étant commune et perpétuelle, l'apôtre en tire son argumentation. Les richesses, dit-on, ne sont que la manne ; ceux qui en ramassaient plus n'avaient que de quoi servir leur tour (ou s'ils ramassaient plus, ce n'était qu'un trouble et une gêne pour eux), et ceux qui en ramassaient moins n'en avaient pas besoin.

Que les riches se rendent compte des intendants des pauvres. "Ne refuse pas le bien à ses propriétaires (les pauvres) quand il est au pouvoir de ta main de le faire", Proverbes 3:27 . Voir Trapp sur " Pro 3:27 "

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