Alors Amatsia envoya des messagers à Joas, fils de Joachaz, fils de Jéhu, roi d'Israël, disant : Viens, regardons-nous les uns les autres en face.

Ver. 8. Alors Amatsia envoya. ] Enflé de sa récente victoire sur les Édomites, il avait une fière vanité qu'il devrait prospérer dans tout ce qu'il entreprenait ; bien qu'il ait maintenant abandonné l'Éternel et servi les dieux de ces Édomites, qu'il avait d'abord soumis. Par une folie semblable, les vieux Romains, après avoir soumis n'importe quelle nation, avaient coutume de s'ériger leurs dieux pour gagner leur faveur.

Venez, laissez - nous regarder les uns les autres dans le visage, ] par exemple, Luttons dehors dans le champ ouvert. Il avait été lésé en son absence par ces cent mille mercenaires d'Israël, qu'il avait congédiés sur l'ordre du prophète, 2 Chroniques 25:10 ; 2Ch 25:13 qui lui avait dit que Dieu n'était pas avec les Israélites. Il était assez apte aussi à croire que ses propres forces étaient invincibles, et que la victoire était maintenant épinglée à sa manche ; mais il fut bientôt réfuté.

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