Le fardeau de Tyr. Hurlez, navires de Tarsis ; car il est dévasté, de sorte qu'il n'y a ni maison, ni entrée : du pays de Chittim, il leur est révélé.

Ver. 1. Le fardeau de Tyr. ] Héb., Tsor, d'où vient Tyr. C'était la ville principale de la Phénicie, le principal marché de l'Orient, un microcosme ou la quintessence du monde entier, pour sa richesse et sa méchanceté. Ce n'était pas loin de la Judée - notre Sauveur Mat 15:21 est allé de Galilée aux côtes de Tyr et de Sidon - dans la misère de laquelle elle s'est réjouie, Eze 26:2 et est donc ici menacée d'une destruction totale.

Hurlez, navires de Tarsis, ] par exemple, de Tartessus, en Espagne, ou de Tarse, en Cilicie, Pays de St Paul, ou du principal océan.

Car il est dévasté, à savoir, par Nabuchodonosor, et ensuite par Alexandre le Grand, qui d'une île l'a fait partie du continent, puis l'a rasé jusqu'au sol. une

Pour qu'il n'y ait pas de maison.] Ou ainsi : Pour qu'il n'y ait pas de maison, ni d'entrée pour ceux de Chittim, leur est signalé.

a Plin., lib. v. casquette. 19.

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