Et Lémec lui prit deux femmes : le nom de l'une [était] Adah, et le nom de l'autre Zillah.

Ver. 19. Lémec s'est occupé de lui-même. ] Comme sa propre convoitise l'a conduit, ne se souciant pas du consentement des parents. Et deux femmes, un aussi peu de soin de la commande de Dieu, que « deux » et pas plus, « devrait être une seule chair, » Gen 02:24 oui, bien qu'il « avait le résidu de l'esprit » , et pourrait donc ont fait beaucoup d' épouses pour Adam, mais « il fait mais, » dit le prophète b Mal 02h15 Et pourquoi un? mais afin qu'il puisse chercher une semence pieuse.

La polygamie de Salomon était punie de stérilité. Nous n'avons lu aucun de ses fils qu'un seul, et il n'est pas non plus l'un des plus sages, Roboam. Ce grand roi n'avait qu'un fils pour plusieurs femmes au foyer, alors que beaucoup de pauvres ont une maison pleine d'enfants pour une seule femme. Erasme raconte l'histoire d'un pauvre anglais infirme, boiteux des deux jambes, qui épousa une femme aveugle, et donna cette raison, Nous serons d'autant mieux d'accord, quand ni l'un ni l'autre ne peut frapper l'autre dans les dents avec nos nombreux défauts et difformités.

Nec fefellit hominem udicium , dit-il; cela s'est avéré un match heureux. Ils vivaient ensemble avec amour et joie, et Dieu Tout-Puissant les a bénis avec une douzaine de garçons vigoureux, qui n'avaient pas la moindre difformité à leur sujet. c Sardus nous dit que les vieux Britanniques en prenaient dix ou douze pour épouser une femme. d Les femmes étaient probablement rares parmi eux. Mais pourtant c'était mieux que les vieux Écossais, dont saint Hiérome rapporte, qu'ils ne prenaient pas de femmes ; mais satisfaisaient leurs convoitises de haut en bas comme ils voulaient, et où ils voulaient, à la manière des créatures brutes.

e je lu quelque part, que peu de centaines d'années écoulées depuis, ils avaient coutume gardé parmi eux, que le propriétaire peut exiger la première nuit de la femme de son locataire, comme un loyer en chef. Et M. Fox raconte, f que les frères en Allemagne étaient élevés à ce niveau d'impudence, au point d'exiger la dixième nuit de la femme de chaque homme, comme une dîme qui leur est due. Pour empêcher, les Helvètes, quand ils ont reçu un nouveau prêtre dans leurs églises, ils ont marchandé avec lui auparavant, de prendre sa concubine, de peur qu'il ne tente d'abuser de leurs femmes et filles.

Combien mieux était-ce pour " éviter la fornication, si chacun d'entre eux avait sa propre femme ", dit Paul. 1Co 7:2 Non, non, dit le cardinal Campeius; g car si l'on fait une comparaison, c'est une bien plus grande offense qu'un prêtre d'avoir une femme, que d'avoir et de garder à la maison beaucoup de prostituées ; car ceux qui se prostituent, dit-il, comme ce n'est rien qu'ils fassent, ainsi ils reconnaissent leur péché ; les autres se persuadent qu'ils font bien, et continuent ainsi sans repentir, ni conscience de leur fait.

Une bonne raison pour un cardinal charnel. Tel autre était son frère, Cardinalis Cremonensis, qui, après sa vigoureuse réponse au Concile de Londres, contre la succession matrimoniale des prêtres, s'écriant quelle honte c'était de se lever des flancs d'une putain, pour faire le corps du Christ, la nuit suivant a été honteusement pris avec une pute notable. h C'était déjà assez grave, mais c'était pire chez Johannes de Casa, doyen de la chambre du Pape, qui a jusqu'à présent oublié l'humanité et l'honnêteté, qu'il a présenté un livre en mètre italien, en louange de la sodomitrie, en disant qu'il n'a jamais utilisé de autre.

i Cela pourrait mieux devenu un Turc, d'un évêque. La sodomie au Levant n'est pas tenue pour un vice, tellement débauchées elles sont cultivées. j Les pachas turcs, en plus de leurs femmes, dont ils ont dix au moins, chaque bashaw a autant, ou plus probablement, calamites qui sont leurs amours graves. Car leurs femmes ne sont utilisées que pour habiller leur viande, pour blanchir et pour la réputation. k Ce n'est que lorsque le grand Turc donne sa fille ou sa sœur à n'importe quel bashaw pour épouse, qu'il en est un peu autrement.

Car il lui donne en même temps un poignard, en disant : Je te donne à cet homme pour être ton esclave et compagnon de lit. S'il ne t'aime pas, ne t'obéit pas et ne te respecte pas, je te donne ici ce cunzhare ou poignard pour lui couper la tête. l Pourtant, ne peut-elle pas lui interdire d'épouser d'autres femmes "pour la vexer", Lév 18:18 et la tourmenter, comme Peninnah l'a fait Anne, 1S 1:6 oui, pour la faire tonner, comme le mot ici signifie : pour les Turcs peuvent prendre autant d'épouses qu'ils peuvent en entretenir. C'est pourquoi ils dépassent en jalousie les Italiennes, en étouffant leurs femmes, sauf leurs yeux ; et ne pas les laisser aller à l'église, ou même regarder par leurs propres fenêtres. m

a Lamech polygamus unam costam in duas divisit . - Hier .

b Heroum filii noxae .

c Procreatis ex isto coniugio duodecim fratribus, nulloque naevo deformatis . - Dei Instit. Matr.

d Deni duodenique unam uxorem ducebant .- De Morib. Gand ., lib. je., cap. 1.

e Ut cuique libitum fuerit, pecudum more lasciviunt. - Twini, commente. de reb. Britannique. ex Hiéron .

f Agir. et lun ., fol. 791.

g Ibid. 790.

h Ibid. 1065.

je Loi et Mon ., 1417.

j Le voyage de Blunt , p. 79.

k Blunt, 14.

l Heyl., Geog ., p. 583.

m Blunt, 106.

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