Par ses besoins, une lumière brille, et ses yeux [sont] comme les paupières du matin.

Ver. 18. Par ses besoins, une lumière brille ] Quand ce monstre épouvantable éternue, ou renifle, le feu éclate à ses yeux et à son nez. Par ce besoin de la baleine, on entend l'abondance d'eau mousseuse blanche qu'il jette par ses narines, In sublime nimbos efflat (Plin. lib. 9, c. 6).

Et ses yeux sont comme les paupières du matin ] Lumineux et rayonnant. Olaus écrit des baleines de Norvège, que leurs yeux brillent dans une nuit noire comme un feu ; de sorte que les marins ont souvent pensé, quand ils les ont vus, qu'ils ont vu un grand feu.

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