Commentaire complet de John Trapp
Matthieu 8:6
Et disant : Seigneur, mon serviteur est couché chez lui, malade de paralysie, gravement tourmenté.
Ver. 6. Seigneur, mon serviteur est couché à la maison, etc. ] Ne pas jeter dehors, ne pas jeter malade dans un coin, couler ou nager, pour tous les soins que son maître prendrait de lui ; non, ni laissé à guérir à ses propres frais. Le bon centurion n'était pas meilleur qu'un maître. C'était aussi le cas de ce célèbre Sir Thomas Lucy, feu de Charlecott dans le Warwickshire, à qui j'ai fait l'éloge singulier d'entendre prêcher lors de ses funérailles, et qui est maintenant publié par mon très honoré ami M. Robert Harris, que (parmi beaucoup d'autres qui lui manque beaucoup) une maison pleine de serviteurs avait perdu non pas un maître, mais un médecin qui avait fait de leur maladie la sienne, et de ses frais et de ses médicaments les leurs.
" Cui blanda in vultu gravitas, et mite serena
Fronte sourcilier, sed pectus mitius minerai. "
Ou (comme le mien Alter Ego ) mon parent bien-aimé, M. Thomas Dugard, l'exprime dans son élégante épitaphe : La maladie de ses serviteurs était sa sympathie, et leur rétablissement son coût. In quo viro ingenium pietas, artemque modestia vincit Dans lequel l'homme, une nature sainte et l'humilité ont vaincu l'habileté.