Et voici, certains des scribes dirent en eux-mêmes : Cet homme blasphème.

Ver. 3. Cet homme blasphème. ] Il est vrai qu'il n'avait été qu'un homme et qu'il avait pris sur lui de pardonner les péchés par sa propre autorité, comme le font les prêtres papistes, pour subvertir l'âme de certains hommes. J'en ai connu un, dit un révérend divin, qui ni par éducation ni par affection n'était disposé au papisme ; qui ayant le malheur, quand sa conscience était embarrassée, de tomber entre les mains d'un prêtre papiste, devint papiste pour cette raison, parce que, comme le suggérait le prêtre, cette religion procurait plus de réconfort à la conscience que la nôtre ; et donc plus de consolation, parce qu'elle avait et exerçait un pouvoir de pardonner le péché, que nos ministres n'ont ni osé ni osé assumer pour eux-mêmes.

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