Car tu as délivré mon âme de la mort : [ne veux-tu] pas [tu sauver] mes pieds de la chute, afin que je marche devant Dieu à la lumière des vivants ?

Ver. 13. Car tu as délivré mon âme de la mort ] Ce qui était la chose même que je t'ai suppliée quand j'étais au pire, à savoir. que tu me sauverais la vie, qui était alors en jeu ; J'ai alors pris aussi solennellement sur moi tels et tels engagements, qui me pèsent comme autant de dettes, et je souffre jusqu'à ce que je les ai payés. Ceci si je le fais efficacement,

Ne veux- tu pas délivrer mes pieds de la chute ] Oui, je sais que tu le feras, Seigneur, car chaque ancienne faveur que tu as est le gage d'un avenir.

Que je puisse marcher devant Dieu à la lumière des vivants ? ] Appelé ailleurs la terre des vivants; c'est-à-dire, dans cette vie présente, en passant la durée de celle-ci dans ta peur, et en travaillant pour être tout aussi bon que je m'étais juré de l'être au moment où j'étais dans une grande détresse et un grand danger. Pline, dans une épître de lui à celui qui désirait de lui des règles sur la façon d'ordonner sa vie correctement, je vais, dit-il, vous donner une règle qui sera au lieu de mille, Ut tales esse perseveremus sani, quales nos futures esse profitemur infirmi, c'est-à - dire Que vous prétendez être tel quand vous êtes bien comme vous avez promis de l'être le temps où vous serez faible et malade, &c.

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