Alors Boaz monta à la porte, et l'y fit asseoir ; et voici, le parent dont Boaz parlait arriva ; à qui il dit : Oh, un tel ! détournez-vous, asseyez-vous ici. Et il se détourna et s'assit.

Ver. 1. Puis Boaz monta à la porte. ] Quel était le siège de la justice parmi les Juifs ; quant à d'autres raisons, afin de mettre tout ce qui est entré dans la ville à l'esprit de leur devoir, tandis qu'ils étaient dans l'esprit, que

« Hic locus odit, amat, punit, conservat, honorat,

Nequitiam, pacem, crimina, iura, bonos. "

Et l'a assis là. ] En tant que juge et personne principale ; car il a eu lieu. Les Hébreux font de lui le même qu'Ibsan, comme cela a été indiqué.

Et voici, le parent dont parlait Boaz passa. ] Non sans une main directrice de la providence divine : c'est pourquoi il est présenté avec un regard, comme avec une note étoilée.

A qui il a dit : Ho, un tel ! ] Heus tu: (ω δεινα). Boaz l'appela par son nom, sans aucun doute, car il était aussi un homme de qualité, et était assis à côté de Boaz au-dessus des dix autres anciens ou sénateurs ; mais l'Esprit de Dieu ne le nomme pas, peut-être parce qu'il ne voulait pas conserver le nom de son parent décédé sur son héritage, mais étant totus in se, comme l'escargot, qui est toujours dans sa maison, il aimait la terre mieux que la loi de son Dieu, désirant l'un, mais ne se souciant pas d'obéir à l'autre.

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