3-16 Deux cas de vœux sont déterminés. Le cas d'une fille dans la maison de son père. Quand son vœu vient à sa connaissance, il est en son pouvoir soit de le confirmer, soit de l'abolir. La loi est claire dans le cas d'une épouse. Si son mari permet son vœu, mais seulement par le silence, il tient. S'il la refuse, son obligation envers son mari en prend la relève; car elle doit être soumise à lui comme au Seigneur. La loi divine consulte le bon ordre des familles. Il est bon que chaque homme gouverne dans sa propre maison, et ait sa femme et ses enfants soumis; plutôt que de briser cette grande règle ou d'encourager les relations inférieures à rompre ces liens, Dieu libère même l'obligation d'un vœu solennel. Tant la religion assure le bien-être de toutes les sociétés; et en elle les familles de la terre ont une bénédiction.

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