Nous n'aurions pas dû avoir cette histoire du majordome et du
boulanger de Pharaon enregistrée dans les Écritures, si elle n'avait
pas été utile à l'avancement de Joseph. Le monde défend l'Église
et est gouverné pour son bien. Observez, [1.] Deux des grands
officiers de la cour de Pharaon ayant offe... [ Continuer la lecture ]
Le capitaine de la garde, qui était Potiphar, en chargea Joseph. —
Ce qui laisse entendre qu'il commençait maintenant à se réconcilier
avec lui.... [ Continuer la lecture ]
Ils étaient tristes — Ce n'était pas la prison qui les rendait
tristes ; ils étaient assez habitués à ça, mais le rêve. Dieu a
plus d'un moyen pour attrister les esprits de ceux qui doivent être
attristés. Ces pécheurs qui sont assez endurants dans les ennuis
extérieurs, pourtant Dieu peut trouver u... [ Continuer la lecture ]
Les interprétations n'appartiennent-elles pas à Dieu ? — Il veut
dire le Dieu qu'il adorait, à la connaissance duquel il s'efforce par
la présente de les conduire. Et si les interprétations appartiennent
à Dieu, il est un agent libre, et peut communiquer le pouvoir à qui
il veut, alors racontez-moi... [ Continuer la lecture ]
Pense à moi, quand tout ira bien pour toi — Bien que le respect
rendu à Joseph lui ait rendu la prison aussi facile qu'une prison
pouvait l'être, personne ne peut lui reprocher d'avoir soif de
liberté. Voyez quelle modeste représentation il fait de son propre
cas. Il ne pense pas à ses frères qui l'... [ Continuer la lecture ]
Il leva la tête de ces deux prisonniers, c'est-à-dire qu'il les
compara et les jugea ; et il rendit le maître d'hôtel en chef, et
pendit le chef boulanger.... [ Continuer la lecture ]