Si elle a fait ce vœu — Si elle est maintenant veuve ou divorcée, a fait ce vœu pendant que son mari vivait avec elle ; comme supposons qu'elle ait alors juré, que si elle était veuve, elle donnerait une telle proportion de ses biens à des usages pieux ou charitables, vœu dont elle pourrait se repentir quand elle deviendrait veuve, et pourrait croire ou se repentir qu'elle était libre de là, parce que ce vœu a été fait du vivant de son mari ; cela est accordé, au cas où son mari l'aurait alors refusé ; mais nié, au cas où par le silence, ou autrement il y consentit.

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