Pour affliger son âme - Elle-même en jeûnant, en veillant, ou autre chose. Et ces mots sont ajoutés pour montrer que le mari avait ce pouvoir non seulement dans les vœux qui concernaient lui-même ou ses biens, mais aussi dans ceux qui pouvaient sembler ne concerner que sa propre personne ou son propre corps, et la raison en est que le la personne ou le corps étant du droit du mari; elle ne pouvait rien faire pour blesser son corps sans son consentement.

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