Il s'ensuit que Tu ne devrais pas entrer par les portes de mon peuple au jour de sa destruction, ni regarder dans leur calamité . Les Iduméens avaient probablement fait une irruption en compagnie des Assyriens et des Chaldéens, alors qu'ils auraient dû rester chez eux, et là pour déplorer le massacre de leurs frères. Car si je ne peux sauver mon ami de la mort ou d'une calamité, je me retirerai encore, car je ne pourrais pas supporter de regarder: mais si j'étais contraint de regarder sur mon ami, et de ne pouvoir le secourir dans sa nécessité, Je devrais plutôt fermer les yeux; car il y a dans les yeux, on le sait, la plus tendre sympathie. Alors que les Iduméens sortaient volontairement et entraient à Jérusalem avec les ennemis, il était donc évident qu'ils n'étaient pas meilleurs que des bêtes sauvages. Tu ne devrais pas alors, dit-il, entrer par les portes de mon peuple le jour du massacre, ni surtout alors, regarde. Il répète à nouveau גם אתה gam ate , toi aussi, ou, surtout toi: "Si d'autres voisins fais ceci, mais tu devrais t'abstenir, car tu es du même sang; si tu ne peux pas apporter de l'aide, montre au moins un signe de chagrin et de sympathie: mais comme tu regardes volontiers et joyeusement leurs calamités, il est bien évident qu'il n'y a pas en toi une particule de sentiment juste.

Il ajoute ensuite: Tu ne devrais pas étendre la main à sa substance . Ici, il accuse les Iduméens d'avoir été impliqués dans la prise du butin avec d'autres ennemis, comme s'il disait: «Vous n'avez pas seulement laissé vos frères se faire piller, mais vous êtes devenus vous-mêmes des voleurs. Vous auriez dû ressentir de la peine en les voyant affligés par des ennemis étrangers; mais vous avez pillé avec eux et vous vous êtes enrichis de butin; cela n’est certainement pas à supporter.

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