29. O qu'il y avait un tel cœur en eux. Dieu signifie qu'ils ne seraient pas si fermes et fidèles à tenir leurs promesses, car ils étaient prêts et disposés à les faire; et ainsi cette hypocrisie n'a pas été complètement bannie ou purgée de leur esprit. De plus, Il assume au sens figuré (inconvenant) un sentiment humain, car il serait vain et absurde pour Lui de désirer ce qu'il était en Son pouvoir de conférer. Il a certainement le pouvoir de plier et de diriger le cœur des hommes où il veut. Pourquoi, alors, souhaite-t-il que cela soit donné aux gens d'un autre quartier, qu'ils soient toujours tenus sur le chemin du devoir, si ce n'est qu'en parlant dans le caractère d'un homme, il montre que c'était plutôt d'être souhaité qu'espéré que le peuple persévère constamment dans sa fidélité? C’est pourquoi certains ont abusé par ignorance de ce passage et d’autres pour établir le libre arbitre de l’homme. (220) Ils comprennent ce passage, comme si la volonté de l'homme était capable de se plier dans les deux sens, et qu'il possédait le pouvoir de bien faire, tandis que Dieu sans interférer regardait sur lors de l'événement; comme si le conseil secret de Dieu, et non plutôt la fin et l’utilisation de l’enseignement extérieur, était mentionné ici. Mais nous, enseignés par d'innombrables témoignages de l'Écriture, soutenons que c'est l'attribut de Dieu seul de donner ce qu'Il exige ici. Donc aussi immédiatement après il dit, qu'il souhaite que cela puisse être bien avec les Israélites et leurs enfants, à savoir, parce qu'il est certain que cela dépend des hommes qu'ils soient heureux ou non, aussi souvent que Dieu les invite, quand ils refusent la grâce qui leur est offerte; cependant, il ne s’ensuit pas que cela dépend du libre arbitre de chaque homme pour atteindre le bonheur pour lui-même. Mais ici, nous devons considérer la volonté de Dieu telle qu’elle nous est présentée dans sa parole, et non telle qu’elle est cachée en lui-même; car, tandis que par sa parole il invite tous par promiscuité à la vie (éternelle (221) ), il n'anime que par son inspiration secrète ceux qu'il a élus. En somme, bien que Dieu approuve la réponse du peuple, il dit qu’il y aura trop de difficultés dans l’exécution de celle-ci, pour que l’événement s’accorde avec elle.

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