14. Et sa rupture doit se faire. Lorsqu'un mur est tombé, certaines traces de la ruine sont encore à voir, et les pierres de celui-ci peuvent être appliquées pour être utilisées, et dans une certaine mesure le mur peut même être reconstruit. Mais ici, le Prophète menace que ceux qui sont gonflés d'obstination contre Dieu périront de telle manière qu'ils ne pourront pas être restaurés, et tout ce qui restera d'eux sera totalement inutile. En conséquence, il emploie la métaphore d'un vase de potier dont les fragments brisés ne peuvent être ni réparés ni assemblés. Ces menaces doivent nous faire une profonde impression, afin que nous puissions embrasser avec révérence la parole de Dieu, lorsque nous apprenons que des châtiments si sévères sont préparés pour ceux qui la méprisent; car le Prophète menace de les détruire et de la ruiner, et enlève tout espoir de leur restauration. La menace n'est pas non plus sans fondement; car nous voyons comment ceux qui méprisent Dieu, lorsqu'ils ont été deux ou trois fois abattus, ne cessent toujours de lever leurs crêtes; car rien n'est plus difficile que d'extirper la fausse confiance de leur cœur. (294)

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