4. Car ce n'est pas possible, etc. Il confirme l'ancien sentiment avec le même raison qu'il avait invoquée auparavant, que le sang des bêtes ne pouvait pas purifier les âmes du péché. Les Juifs, en effet, avaient en cela un symbole et un gage de la vraie purification; mais c'était en référence à un autre, de même que le sang du veau représentait le sang du Christ. Mais l'apôtre parle ici de l'efficacité du sang des bêtes en lui-même. Il lui enlève donc à juste titre le pouvoir de purification. Il faut aussi comprendre un contraste qui ne s’exprime pas, comme s’il avait dit: les bêtes, qui ne pouvaient pas atteindre la conscience; mais bien autrement est la puissance du sang de Christ: il n’est donc pas juste de mesurer l’offrande qu’il a faite par les sacrifices précédents. »

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