20 Mais le sauras-tu . Nous devons comprendre l'état de la question, car le litige ici n'est pas celui du respect de la cause de la justification, mais seulement de ce qui profite à une profession de foi sans œuvres, et de quelle opinion nous devons nous en faire. Agissent donc absurdement ceux qui s'efforcent de prouver par ce passage que l'homme est justifié par les œuvres, parce que Jacques ne voulait rien dire de tel, car les preuves qu'il soumet se réfèrent à cette déclaration, qu'aucune foi, ou seulement une foi morte, n'est sans œuvres. . Personne ne comprendra jamais ce qui est dit, ni ne jugera sagement des mots, sauf celui qui garde en vue le dessein de l'écrivain.

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