Après que le sort soit tombé sur Jonas, ils ont douté non mais qu'il était le coupable, pas plus que s'il l'avait été cent fois prouvé: car pourquoi ont-ils tiré au sort, sauf qu'ils étaient persuadés que tout doute pouvait ainsi être enlevé, et que ce qui était caché pourrait ainsi être mis en lumière? Comme alors cette persuasion était fixée dans leur esprit, que la vérité avait été obtenue, et était d'une manière tirée des ténèbres par le sort, ils demandent maintenant à Jonas ce qu'il avait fait: car ils ont pris cela comme permis, qu'ils devaient supporter la tempête à cause de lui, et aussi, qu'il avait mérité, par quelque crime détestable, une telle vengeance de la part de Dieu. Nous voyons donc qu'ils ont tiré au sort, parce qu'ils croyaient pleinement qu'ils ne pourraient pas autrement découvrir le crime à cause duquel ils ont souffert, et aussi, que le sort était dirigé par le dessein caché de Dieu: car comment trouver un certain jugement par tirage au sort, sauf si Dieu l'a dirigé selon son propre dessein et a annulé ce qui semblait particulièrement fortuit? Ces principes étaient alors tenus pour certains d'une manière par des hommes qui étaient des païens, - que Dieu peut tirer la vérité et la mettre en lumière, - et aussi, qu'il préside au sort, si fortuit qu'on puisse les croire. .

C'est la raison pour laquelle ils ont maintenant demandé ce que Jonas avait fait. Dites-nous, alors, pourquoi ce mal nous est-il arrivé, quel est votre travail? etc. Par le travail, je ne veux pas dire ce qui ne va pas, mais une sorte de vie ou, comme on dit, une manière de vivre. Ils ont ensuite demandé comment Jonas s'était employé jusque-là et quel genre de vie il avait suivi. Car il suit ensuite: Dites-nous d'où viens-tu, quel est ton pays et de quel peuple es-tu? Ils ont fait des recherches, sans aucun doute, sur chacun d'eux dans l'ordre; mais Jonah enregistre ici brièvement les questions.

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