Dans la deuxième clause du quatrième verset, il va plus loin, et déclare, qu'il avait été un ami, non seulement pour les bons, mais aussi pour les mauvais, et s'était non seulement retenu de toute vengeance, mais avait même secouru son ennemis, par lesquels il avait été profondément et cruellement blessé. Ce ne serait certainement pas une vertu très illustre d'aimer le bon et le pacifique, à moins que l'on ne s'associe à cette autonomie et à cette douceur pour supporter patiemment le mauvais. Mais lorsqu'un homme non seulement s'empêche de se venger des blessures qu'il a subies, mais s'efforce de vaincre le mal en faisant le bien, il manifeste l'une des grâces d'une nature renouvelée et sanctifiée, et de cette manière se révèle être l'une des enfants de Dieu; car une telle douceur ne procède que de l'Esprit d'adoption. En ce qui concerne les mots: comme le mot hébreu חלץ chalats, que j'ai traduit pour livrer signifie diviser et pour séparer, certains, en éviter la nécessité de fournir un mot pour en comprendre le sens, (103) expliquez donc le passage, Si je me suis retiré de mes persécuteurs, pour ne pas les secourir. L'autre interprétation, cependant, selon laquelle le verbe est rendu pour délivrer ou sauvetage de danger, est plus généralement reçu; car la phrase, pour séparer ou mise de côté, est appliquée à ce que nous souhaitons à mettre en sécurité. Et donc le mot négatif not doit être fourni, une omission que nous trouverons fréquemment dans Les Psaumes.

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