9 Toutes les nations que tu as faites viendront. (485) Si quelqu'un préfère limiter ce qui est ici exposé au cas présent de David, ce point de vue ne semble sujet à aucun élément objection. Il, en fait, améliore souvent la bonté divine dont il a lui-même fait l'expérience par la même tension magnifique. Il peut cependant être convenablement étendu à la puissance universelle de Dieu; mais qu'il parle de la grâce qui s'est accordée à lui seul ou traite, en général, des œuvres de Dieu, nous devons garder à l'esprit ce qui a été observé ailleurs, que chaque fois qu'il célèbre la prédominance de la vraie piété parmi les païen, il a un œil sur le royaume du Christ, avant la venue duquel Dieu n'a donné que la manifestation initiale ou naissante de sa gloire, qui s'est enfin répandue dans le monde entier par la prédication de l'Évangile. David n'ignorait pas la vocation future des Gentils; mais ceci étant une doctrine avec laquelle les oreilles juives n'étaient pas familières, que les gens l'auraient senti comme une annonce désagréable, d'avoir été dit que les Gentils devaient venir adorer Dieu sans discernement avec les enfants d'Abraham, et, toute distinction étant supprimée, devenir participants avec eux de la vérité céleste. Pour adoucir l'annonce, il affirme que les Gentils aussi ont été créés par Dieu, de sorte qu'il ne devrait pas être considéré comme étrange s'ils, étant éclairés aussi, devraient à reconnaissez longuement Celui qui les avait créés et façonnés.

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