La mariée dit cela en s'accrochant à son bras et en posant sa tête sur sa poitrine. Comparez Jean 13:23; Jean 21:2. Ce bref dialogue correspond au plus long Cantique des Cantiqu 4:7-5, le jour de leur mariage. Les interprètes allégoriques trouvent un accomplissement de ceci dans la fin de la dispensation actuelle, la restauration d'Israël à la terre de la promesse, et la manifestation du Messie à Son ancien peuple là-bas, ou Son Second Avènement à l'Église. Le Targum fait Cantique des Cantiqu 8:6 une prière d'Israël rétabli en terre sainte afin qu'ils ne soient plus jamais transportés en captivité, et Cantique des Cantiqu 8:7 la réponse du Seigneur, l'assurance qu'Israël est désormais en sécurité. Comparez Ésaïe 65:24; Ésaïe 62:3.

Cantique des Cantiqu 8:6

La note-clé du poème. Il forme l’équivalent de l’Ancien Testament au panégyrique de Paul 1 Corinthiens 13:1 sous le Nouveau.

(a) L'amour est ici considéré comme une puissance universelle, un principe élémentaire de tout être vrai, seul capable de faire face aux deux éternels ennemis de Dieu et de l'homme, la Mort et son royaume.

«Car fort comme la mort est amour,

Tenace comme Sheol est la jalousie.

«Jalousie» est ici un autre terme pour «amour», exprimant la force et l'ardeur inexorables de cette affection, qui ne peut ni céder ni partager la possession de son objet, et s'identifie dans l'esprit de l'écrivain sacré à la vie divine ou vraie.

(b) Il continue en le décrivant comme un Feu omniprésent, allumé par l'Éternel, et prenant part à Son essence:

«Ses marques sont des marques de feu,

Un éclair de Jah.

Comparez Deutéronome 4:24.

(c) Ce principe divin est ensuite représenté comme vaincre dans sa puissance tous les agents opposés que ce soit, symbolisés par l'eau.

(d) De tout ce qu'il découle, l'amour, même en tant qu'affection humaine, doit être vénéré et traité de manière à ne pas être acheté par quelque chose de nature différente; la tentative de faire cet éveil ne fait que mépriser.

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