MAINTENANT LA PAROLE DU SEIGNEUR - , littéralement, "Et, ..." C'est
de cette manière que plusieurs écrivains inspirés de l'Ancien
Testament indiquent il leur avait été donné d'écrire était uni
sur ces livres sacrés que Dieu avait donnés à d'autres pour
écrire, et il formait avec eux un tout continu... [ Continuer la lecture ]
LÈVE-TOI, VA À NINIVE, CETTE GRANDE VILLE - L'histoire assyrienne,
pour autant qu'elle ait encore été découverte, est très dénuée
d'événements en ce qui concerne cette période. Nous n'avons encore
les noms de trois rois que depuis 150 ans. Mais l'Assyrie, pour autant
que l'on sache son histoire, ét... [ Continuer la lecture ]
MAIS (ET) JONAS S'EST LEVÉ POUR FUIR ... DE LA PRÉSENCE DU SEIGNEUR
- littéralement "d'être devant le Seigneur." Jonas savait bien que
l'homme ne pouvait pas échapper à la présence de Dieu, qu'il
connaissait comme celui qui existe par lui-même, Lui qui est seul, le
Créateur du ciel, de la terre et... [ Continuer la lecture ]
MAIS (ET) LE SEIGNEUR A ENVOYÉ - (littéralement «projeté»).
Jonas avait tout fait. Maintenant, la part de Dieu a commencé. C'est
ce qu'Il exprime par le mot «Et». Jonas a pris «ses» mesures
«et» maintenant Dieu prend «les siennes». Il lui avait laissé son
chemin, car il a souvent affaire à ceux qui... [ Continuer la lecture ]
ET ILS ONT PLEURÉ, CHACUN À SON DIEU - Ils ont fait ce qu'ils
pouvaient. «Ne connaissant pas la vérité, ils connaissent pourtant
une Providence et, au milieu d'une erreur religieuse, savent qu'il y a
un objet de révérence. Dans l'ignorance, ils avaient reçu quelqu'un
qui offensait Dieu. Et maintena... [ Continuer la lecture ]
QUE VEUX-TU DIRE? - ou plutôt "qu'est-ce que tu as?" (littéralement
«qu'est-ce que pour toi?») Le capitaine en parle (pour ainsi dire)
comme une sorte de maladie, qu'il devrait être ainsi endormi dans le
péril commun. «Le capitaine», chargé, comme il l'était par ses
fonctions, du bien commun des pe... [ Continuer la lecture ]
VENEZ, TIRONS AU SORT - Jonas aussi avait probablement prié, et ses
prières n'avaient pas non plus été entendues. Probablement aussi la
tempête avait-elle un caractère inhabituel, la soudaineté avec
laquelle elle éclata sur eux, sa violence, le quartier d'où elle
venait, sa force de tourbillon. «Il... [ Continuer la lecture ]
DITES-NOUS, POUR LA CAUSE DE QUI - Littéralement «pour quoi à
qui». Peut-être pensaient-ils que Jonas était coupable envers un
autre. Le sort lui avait fait remarquer. Les marins, craignant encore
de mal faire, lui posent des questions pressées, pour savoir pourquoi
la colère de Dieu l'a suivi; «Qu... [ Continuer la lecture ]
JE SUIS HÉBREU - C'était le nom sous lequel Israël était connu
des étrangers. Il n'est utilisé dans l'Ancien Testament que
lorsqu'ils sont évoqués par des étrangers, ou parlent d'eux-mêmes
à des étrangers, ou lorsque les écrivains sacrés les mentionnent
contrairement aux étrangers. Joseph a donc pa... [ Continuer la lecture ]
ALORS LES HOMMES AVAIENT EXTRÊMEMENT PEUR - Avant, ils avaient
craint la tempête et la perte de leur vie. Maintenant, ils
craignaient Dieu. Ils craignaient non pas la créature mais le
Créateur. Ils savaient que ce qu'ils avaient craint était le fait de
Sa Tout-Puissant. Ils ressentaient à quel poin... [ Continuer la lecture ]
QUE TE FERONS-NOUS? - Ils savaient qu'il était un prophète; ils lui
demandent la pensée de son Dieu. Les lots avaient désigné Jonas
comme la cause de la tempête; Jonas l'avait lui-même admis, et que
la tempête était pour «sa» cause, et venait de «son» Dieu.
«Grand était celui qui a fui, plus grand... [ Continuer la lecture ]
EMMENEZ-MOI ET JETEZ-MOI DANS LA MER - Ni Jonas n'aurait pu dire
cela, ni les marins n'y auraient obéi, sans le commandement de Dieu.
Jonas pourrait seul périr, qui avait seul offensé; mais, sans le
commandement de Dieu, le Donneur de la vie, ni Jonas ni les marins ne
pourraient disposer de la vie... [ Continuer la lecture ]
LES HOMMES ONT RAMÉ DUR - , littéralement "creusé". Le mot, comme
notre «labouré le principal», décrit les grands efforts qu'ils ont
faits. Au milieu de la violence de la tempête, ils avaient roulé
leurs voiles. C'étaient pires qu'inutiles. Le vent était au large,
car en aviron alpin, ils espéraien... [ Continuer la lecture ]
C'EST POURQUOI (ET) ILS ONT CRIÉ AU SEIGNEUR - " Ils ont pleuré"
non plus "chacun à son dieu", mais au seul Dieu, que Jonas avait fait
connu d'eux; et vers lui ils criaient avec une soumission sincère,
criaient, répétant les paroles de supplication, comme les hommes le
font avec beaucoup de sérieux... [ Continuer la lecture ]
ILS ONT PRIS JONAS - o "Il ne dit pas," l'a saisi ", ni" est venu sur
lui "mais" l'a soulevé; pour ainsi dire, le portant avec respect et
honneur, ils l'ont jeté à la mer, sans résister, mais se livrant à
leur volonté.
LA MER A CESSÉ (LITTÉRALEMENT "SE TENAIT") DE SA RAGE -
D'ordinaire, les vagues... [ Continuer la lecture ]
ET LES HOMMES CRAIGNIRENT LE SEIGNEUR AVEC UNE GRANDE CRAINTE - parce
que, vu la tranquillité de la mer et la fin de la tempête, ils
virent que les paroles du prophète étaient vraies . Ce grand miracle
acheva la conversion des marins. Dieu avait supprimé toute cause
humaine de peur; et pourtant, da... [ Continuer la lecture ]
MAINTENANT, LE SEIGNEUR AVAIT (LITTÉRALEMENT "ET LE SEIGNEUR")
PRÉPARÉ - Jonas (comme il ressort de son action de grâce) n'a pas
été avalé tout de suite, mais a coulé au fond de la mer, Dieu le
préservant dans la vie là-bas par miracle, comme il l'a fait dans le
ventre du poisson. Puis, quand l'alg... [ Continuer la lecture ]