Dieu se tient dans la congrégation des puissants - Dans l'assemblée des dirigeants et des juges; parmi ceux des rangs et des rangs les plus élevés. Il est là pour les observer; leur donner la loi; diriger leurs décisions; pour les juger. Il est suprême sur eux; et il les tient responsables envers lui-même. Le mot rendu congrégation est celui qui est communément appliqué à l'assemblée du peuple d'Israël, considérée comme un corps organisé ou comme un corps politique. Il se réfère cependant ici aux magistrats considérés comme un corps ou une classe de personnes; comme ceux qui ont des assemblées ou des réunions, avec une référence particulière à leurs devoirs de magistrats. Le mot rendu «puissant» - אל 'Êl - est au singulier, et est l'un des noms qui sont donnés à Dieu; par conséquent, la traduction littérale est: «Dieu se tient dans l'assemblée de Dieu». La Septante le rend, Dans la synagogue des dieux. Donc aussi la Vulgate latine. La référence, cependant, est sans aucun doute aux magistrats, et l'idée est qu'ils devaient être considérés comme des représentants de Dieu; agissant en son nom; et comme ceux, par conséquent, à qui, dans un sens subordonné, le nom de dieux pourrait être donné. Comparez Psaume 82:6. Dans Exode 21:6; Exode 22:8, Exode 22:28, aussi, le même mot au pluriel est appliqué aux magistrats et est correctement traduit par les juges dans notre version commune. Comparez les notes à Jean 10:34. L'idée est qu'ils étaient les représentants de la souveraineté divine dans l'administration de la justice. Comparez Romains 13:1, Romains 13:6. Ils étaient, en un sens, des dieux pour les autres; mais ils ne devaient pas oublier que Dieu se tenait parmi eux comme leur Dieu; que s'ils étaient élevés à un rang élevé par rapport à leurs semblables, ils étaient néanmoins soumis à Celui à qui appartenait le nom de Dieu au sens le plus élevé.

Il juge parmi les dieux - Comme ils à qui le nom de dieux est ainsi donné comme les représentants de la souveraineté divine jugés parmi les gens, Dieu jugerait parmi eux. S'ils étaient, en un certain sens (en conséquence du fait qu'ils représentaient la majesté divine et tiraient leur pouvoir et leur nomination de Dieu), indépendants des personnes, ils n'étaient en aucun cas indépendants de Dieu lui-même.

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