Osée 8:1-14
1 Embouche la trompette! L'ennemi fond comme un aigle sur la maison de l'Éternel, Parce qu'ils ont violé mon alliance, Et transgressé ma loi.
2 Ils crieront vers moi: Mon Dieu, nous te connaissons, nous Israël!
3 Israël a rejeté le bien; L'ennemi le poursuivra.
4 Ils ont établi des rois sans mon ordre, Et des chefs à mon insu; Ils ont fait des idoles avec leur argent et leur or; C'est pourquoi ils seront anéantis.
5 L'Éternel a rejeté ton veau, Samarie! Ma colère s'est enflammée contre eux. Jusques à quand refuseront-ils de se purifier?
6 Il vient d'Israël, un ouvrier l'a fabriqué, Et ce n'est pas Dieu; C'est pourquoi le veau de Samarie sera mis en pièces.
7 Puisqu'ils ont semé du vent, ils moissonneront la tempête; Ils n'auront pas un épi de blé; Ce qui poussera ne donnera point de farine, Et s'il y en avait, des étrangers la dévoreraient.
8 Israël est anéanti! Ils sont maintenant parmi les nations Comme un vase qui n'a pas de prix.
9 Car ils sont allés en Assyrie, Comme un âne sauvage qui se tient à l'écart; Éphraïm a fait des présents pour avoir des amis.
10 Quand même ils font des présents parmi les nations, Je vais maintenant les rassembler, Et bientôt ils souffriront sous le fardeau du roi des princes.
11 Éphraïm a multiplié les autels pour pécher, Et ces autels l'ont fait tomber dans le péché.
12 Que j'écrive pour lui toutes les ordonnances de ma loi, Elles sont regardées comme quelque chose d'étranger.
13 Ils immolent des victimes qu'ils m'offrent, Et ils en mangent la chair: L'Éternel n'y prend point de plaisir. Maintenant l'Éternel se souvient de leur iniquité, Et il punira leurs péchés: Ils retourneront en Égypte.
14 Israël a oublié celui qui l'a fait, Et a bâti des palais, Et Juda a multiplié les villes fortes; Mais j'enverrai le feu dans leurs villes, Et il en dévorera les palais.
EXPOSITION.
Ce chapitre traite de la punition de l'apostasie. Une fois de plus, les péchés du Royaume-Nord sont énumérées et sa chute approche prévue. Il existe une connexion étroite entre les versets de la première section du chapitre. Cette connexion est la suivante: le premier verset commence par une exclamation contenant le commandement de Jéhovah au prophète d'agir comme son héraut, mettant la trompette à sa bouche et sonnant à l'alarme de la ventilation. Dans la deuxième clause du même verset, la nature de la calamité est annoncée. Dans la troisième et la dernière clause de celui-ci, la cause de la calamité est déclarée. Le second verset représente Israël dans leur extrémité pleurant à Dieu pour la délivrance; Le cri est très sérieux et procède de chaque membre de la communauté, soutenu également avec l'affirmation de leur connaissance avec Jéhovah. Dans le troisième verset, Jéhovah rejette leur cri et refuse d'interposer entre eux et l'ennemi, car leur connaissance de celui-ci était simplement historique et ni spirituelle ni pratique, comme leur aversion de ce qui était bien continué. Le quatrième verset spécifie des faits dans la preuve de la renonciation de Jéhovah d'Israël. Le cinquième verset montre une récompense juste, car, dans la mesure où Israël n'a pas aimé ce qui était bon, l'objet de leur idolâtrie a dégoûté Jéhovah ou les jette. Le sixième verset contient le destin de cette idole idiote, pécheur et dégoûtante. Dans le septième verset, la menace d'une telle destruction est comptabilisée sur un large principe tiré de la vie agricole, que la récolte correspondra à la semence semée; et Israël récoltera le fruit de leur irrégularité.
L'exclamation dans ce verset, une trompette à ta bouche, remplace la nécessité de fournir un verbe. L'alarme de la guerre ou de l'invasion hostile doit être sélectée par le prophète au commandement de Jéhovah. le.
(1) La trompette est à la fois être utilisée à cet effet. Le rendu du targum et du syriaque.
(2) exprime la même idée, bien que sous une forme différente; Le premier a, "cria avec ta gorge, comme s'il s'agissait d'une trompette;" et ce dernier, "laissez ta bouche comme une trompette." Selon ce point de vue, les tuyaux du prophète expriment ici très brièvement ce que Isaïe a fait plus pleinement dans les mots "," pleurer à haute voix [hébreu, "avec la gorge"], épargnez ta voix comme une trompette et montrez à mon peuple leur transgression et la maison de Jacob leurs péchés. ".
(3) le lxx. Ici dévie considérablement du texte hébraïque maséorétique, traduisant εἰς κόλπον (ֵֵיקְךָ) ὐὐτῶν, ὡς ῆῆ, de la signification dont Jérôme reconnaît son ignorance, bien qu'il tente de l'expliquer. Cyril relie les mots avec la partie concluse du chapitre précédent, donc: «Ce réglage à rien (de moi) dans le pays de l'Égypte entrera dans leur propre poitrine. Comme la terre, comme l'aigle contre la maison du Seigneur ; " tandis que son explication est la suivante: "Depuis que je les ai conservées et que je leur ai dit et leur ai donné la victoire sur leurs ennemis (car je les ai renforcées), ils m'ont imagablement placé à rien, adorant des démons pour les dieux et avoir confiance en la terre des Égyptiens et ont inconforté que leur aide soit suffisante pour leur prospérité, leur tentative revient donc à leur propre besome, et ils ne trouveront aucune bonne récompense de leur témérité; mais ils recevront, comme il était dans leur se soucier de la punition méritée. Car il viendra, il viendra qui les posera des déchets - le roi d'Assyrie, avec une multitude d'innombrables guerriers, et il viendra à eux comme l'ensemble de la terre et de la région et de la région, que l'on pourrait penser que toute la région des Perses et des Meedes avait émigré entièrement et était venue en Samarie. C'est le sens de toute la terre (ὡς γῆ). Il viendra comme un aigle dans la maison du Seigneur. " (Il viendra) comme un aigle contre la maison du Seigneur. Ces mots ne peuvent pas dire,.
(1) Alors que Hitzig pense, la rapidité avec laquelle le prophète est dirigé de transmettre ses nouvelles de l'alarme, comme si c'était le cas, "Volez [דאה imparfait étant fourni], Thou Prophet, comme un aigle;" ni encore, avec d'autres, le volume de l'alarme qu'il devait sonner. La signification brusquement bien que très bien exprimée se réfère.
(2) À l'approche de l'invasion de l'ennemi, bien qu'il n'y ait pas besoin de fournir ידאה, ou יבא, c'est la substance de l'alarme du prophète. À titre d'aigle, l'ennemi (comme il est évident que la flore verset 3) viendra contre la maison du Seigneur. L'ennemi était, dans toute la probabilité, l'assyrien, dans le symbolisme de qui l'aigle vole en grande partie; Alors que la vulture Griffin, parfumant de loin, et descendit avec un swoop rapide et formidable sur sa proie, est une image appropriée du caractère soudain et impétueux de son invasion. La maison de l'Éternel n'est ni le temple de Jérusalem, car la prophétie concerne le Royaume-Uni; ni le temple de Samaria, qui ne pouvait pas être appelé Beta Yehovah, mais Bethbamoth; ni la terre d'Israël, qui ne pouvait avec aucune convenance s'appelle une maison; mais les habitants d'Israël, qui, en raison de la centielle de Dieu, s'appelle sa maison, comme dans
Israël va me pleurer, mon Dieu, nous nous connaissons. Le rendu plus littéral que le rendu plus précis est, pour moi, ils pleurent, mon Dieu, nous savons toi, nous Israël! Nonobstant leur provocation, leur infidélité à l'alliance de Dieu et leur désobéissance à la loi, ils font appel de manière judiciaire et sévèrement à Dieu le jour de leur détresse et exhortent deux plaidoyers - leur connaissance de Dieu ou la reconnaissance de lui comme le vrai Dieu; et leur position haute comme son peuple. Ainsi, la paraphrase de Chaldee a: "Aussi souvent que la calamité vient sur eux, ils prient et disent devant moi, maintenant nous reconnaissons que nous n'avons pas de Dieu à côté de toi; délivrer nous, parce que nous sommes ton peuple Israël." En ce qui concerne la construction, "Israël" est en apposition à Anachnu, l'objet du verbe, ou il y a une transposition. Ainsi, Rashi: "Nous devons transposer les mots et expliquer:" Pour moi, crie Israël, mon Dieu, nous nous connaissons; "" Alors Kimchi et Aben Ezra. Le premier dit: "Israël" qui vient après, devrait être auparavant, après לייו, et de nombreuses inversions de ce type se produisent dans les Écritures, comme Ézéchiel 39:11 et Psaume 141:10. " Le mot "Israël" est omis par le LXX. et syriaque, et dans de nombreux manuscrits de Kennicott et de Rossi.
Israël a rejeté la chose qui est bonne: l'ennemi le poursuivra. C'est la réponse de Jéhovah. Le bien que Israël a rejeté n'est pas exactement Dieu le seul, ni Jéhovah, le plus grand bien, ni la loi, ce qui était bon; Mais toute la bonté qu'il accorde de nature à garder son alliance. Cet Israël a rejeté et est à son tour rejeté de Dieu et est livré entre les mains de ses poursuivants.
Ils ont installé des rois, mais pas par moi: ils ont fait des princes et je ne le connaissais pas. Voici le premier cas et la preuve du rejet de Jéhovah d'Israël. Leur conduite n'était pas guidée par une direction divine, ni dans l'obéissance à la volonté divine, ni avec la sanction divine. Cet état de choses a commencé avec la révolte d'Israël de la Chambre de David et de la rébellion contre le fils de Salomon leur souverain légitime et a été répété dans des usurpations ultérieures. Peut-être pourrions-nous aller plus loin, même à la nomination du premier roi du royaume mais non divisé, quand "le Seigneur dit à Samuel, écouteur à la voix du peuple de tout ce qu'ils disent: car ils ne vous ont pas rejeté , mais ils m'ont rejeté que je ne devrais pas régner sur eux. " Les usurpations telles que celles de Zimri, de l'OMRI et de l'implantation au moins sont comprises dans les nominations mentionnées sur des rendez-vous sur lesquels la population ne s'est pas interrogée par le Seigneur ni ne joue en vertu de sa direction, ni de sa sanction. Certains vont jusqu'à inclure tous les rois d'Israël qui ont succédé à Jéroboam. Ainsi, Cyril dit: "Il nie le royaume d'Israël et ses successeurs sur le trône d'Israël." Aben Ezra prolonge également la déclaration des rois du Northern Royaume à partir des jours de Jéroboam: «Ils se demandèrent pas de Dieu en ce qui concerne la fabrication de Jéroboam King, bien qu'il soit écrit:« Tu seras dans des sages lui fixer le roi sur toi que le Seigneur ton Dieu choisira. "" Une contradiction apparente ici existe entre la déclaration du prophète ici et que dans 1 Rois 11:37, où Dieu promet par le prophète Ahijah, " prendra la tee, et tu règnes selon toute cette âme souhaitée et shalt être roi au-dessus d'Israël ", et le fait de l'onction de Jéhu est ordonnée par le prophète Elisha, qui a envoyé l'un des enfants des prophètes à cet effet avec Les mots ", dit dit le Seigneur, je me suis oint toi roi sur Israël." Le tracé de Jéroboam et le complot de Jéhu contre Joram, et les conspirations d'autres usurpateurs, étaient des choses que Dieu ne pouvait pas approuver; et nous devons donc faire la distinction entre l'autorisation et l'approbation de Jéhovah; Dans son gouvernement, il permet beaucoup de choses qui de sa nature nous savons qu'il ne peut pas approuver. השירו est généralement et correctement rendue, "ils ont fait des princes;" Mais Aben Ezra et Rashi le traduisent comme ידו équivalent à "ils ont supprimé;" tandis que la Massora compense השרו dans le nombre de ces mots qui sont écrits avec Shin mais sont lus et expliqués avec Samech. Certains manuscrits aussi de Kennicett et de Rossi ont ירו. De leur argent et leur or ont-ils fait des idoles, qu'ils (littéralement, cela) peuvent être coupés. Ceci est une deuxième preuve de la renonciation d'Israël à Jéhovah. Ils ont utilisé leur or dans la fabrication des veaux d'idolâtre et leur argent dans le soutien de leur culte idolâtre; Ou ils ont fait les veaux d'idole, une partie de l'argent et d'autres d'or. La conséquence plutôt que le but est la destruction de celui-ci, nommément l'or et l'argent; ou la ruine du royaume ou de chaque membre de celui-ci; ou la coupure de leur nom, selon Kimchi. Le mot ְְְְַַַן, comme να en grec, est généralement une relique, dénotant "but"; Il n'est pas non plus ecbatique ici, dénotant "résultat", cependant, selon le mode de pensée hébraïque, la conception et la conséquence coïncident souvent. Sa signification ici est bien expliquée par Keil, י décrit la conséquence de cette conduite qui, bien que non conçue, était néanmoins inévitable, comme si cela avait été prétendu distinctement. ".
Ton mollet, o Samaria, a-t-on éteint; La colère de la mine est allumée contre eux. Cette partie du verset a occasionné beaucoup de diversité de traduction et d'exposition, et pourtant le sens général est beaucoup de même.
(1) dans la traduction.
a) de la version autorisée Le mot "there" est fourni; autres.
(b) l'approvisionnement "moi", ce qui signifie Jéhovah, donc, "ton veau, O Samaria, m'a lancé;" tandis que.
(c) Rosenmüller préfère la fourniture de "eux". Les Israélites: "Ton mollet, o Samaria, on les jette", c'est-à-dire la cause de leur rejet, qui est favorisée par la clause suivante. Le sens de (b) est évident, l'importation étant que le culte d'idole avait conduit au rejet et donc le retrait de Jéhovah; tandis que le sens de (a) transmet l'idée que le veau d'or que le pays représenté par sa capitale et que le gouvernement avait établi à Bethel comme le symbole de leur culte, jusqu'à présent de protéger ses fidèles, tomberait entre les mains du Envahisseur assyrien.
(2) La Septuerie se traduit par ἀπότρεψαι τὸν μόσχον σου σαμάρεια, équivalent à "jeter [comme si ifזְַַַ] ton veau, O Samaria;" qui est une exhortation à Samarie, et non seulement Samarie, mais tout le pays, avec les habitants de la capitale à sa tête, de jeter le culte du veau par lequel ils avaient engagé la colère du Tout-Puissant. Jérôme, lecture זֻזַַֻּּ (PUAL), Renders, "Cast Off est ton veau.".
(3) Certains érudits modernes se traduisent, "il a jeté ton mollet" et le renvoie à l'ennemi et plutôt dans le sens de la réalisation de l'image dorée comme un butin; ou à Jéhovah; Ainsi, de Wette a, "[Jéhova] Verwirft Deiu Calb, Samarien," qui n'est pas conforme à la première personne de la clause suivante.
(4) Les autres prennent le verbe intransativement et donnent le sens de "odeur physique", "émettant une puanteur intolérable." "Être éthique ou dégoûtant;" Ainsi, Keil a, "ton dégoût de mollet, o Samaria". Alors Wunsche: "Anekolt Deiu Calb." Israël est répugnant ou ressêtait dégoût au purs culte et ce qui était vraiment bon; Maintenant, Jéhovah à son tour est dégoûté avec leur veau d'or et leur idolâtrie haineuse. Pas étonnant que cela soit ajouté, la colère de la mine est cuite à chaud (a brûlé ou flamboyé) contre eux; C'est-à-dire le veau et le samaria, ni les veaux, mais leurs adorateurs stupides et pécheurs. Combien de temps sera-t-il autre qu'elles atteignent l'innocence? Ou il peut être traduit, combien de temps sera-t-il autre qu'elles seront en mesure d'endurer (ours) innocence (culpabilité)? Le verbe יככ, qui doit fréquemment être complété par un autre verbe, comme dans Psaume 150: 5 , לוּכַּכַ, "Un coeur fier ne fera pas que je souffre;" Donc, aussi Ésaïe 1:13. Le conférentin s'allume ici, comme il l'était, de compter des auditeurs non disposés aux autres plus prêts à prêter à Ancar et à demander: "Combien de temps sont-ils incapables de pureté de la vie au lieu des abominations de l'idolâtrie? Quelle est la grande folie et place pour la repentance, ils ne veulent pas revenir à la naissance de l'esprit! »Le rendu de la version agréé est soutenu par Aben Ezra et Kimchi. Le premier explique: "C'est comme si ז ז était écrit doublé", comme si ton veau déjoué de la Samarie, comme s'il vous en a rejeté, car la ville sera déposée et ses habitants vont en captivité; "" et Kimchi dit , "ז est transitif et a la signification de" Supprimer "comme dans Lamentations 2:7. Il dit:" O Samarie, ton veau a retiré ", c'est-à-dire à cause de Ça tu es enlevé de ta terre. " La dernière clause est également bien expliquée par Kimchi, bien que dans un sens différent de celui indiqué ci-dessus, donc: "Combien de temps sont-ils incapables de se purifier de cette culpabilité (c'est-à-dire une idolâtrie)?".
Par Israël, c'était aussi: l'ouvrier l'a fait; Par conséquent, ce n'est pas Dieu. Le prophète ici justifie la janvier de la plainte de Jéhovah et la folie de la conduite d'Israël. La première clause souligne l'Orion de cette idolâtrie - ce dieu d'or était en dehors d'Israël, cela leur a procédé et a été inventé par leurs rois. La deuxième clause montre qu'il s'agissait d'une fabrication humaine; Bien que l'inférence naturelle suit dans la troisième clause sur l'effet que, ayant son origine avec l'homme et être faite par l'homme, cela ne pourrait pas être Dieu. Ou si le rendu, "ton veau dégoûte", être adopté, le KI introduit l'explication du dégoût que cette abomination a provoquée. Cette idole était de fabrication à domicile, non importée de l'étranger, comme Baal et Ashtaroth de Sidoniose, Chemosh des Moabites et Moloch des Ammonites. Les Israélites eux-mêmes et leur roi Jéroboam ont fait pour le Royaume-Nord ce qui avait été appris en Égypte. Ainsi, Dieu israélien était une créature de propres congés d'Israël. Comme c'est stupide et comment absurde! Le dieu d'Israël a fait de l'homme, à quel point l'iniquité est énorme et abominable! Mais le mollet de Samarie sera cassé en morceaux. Il deviendra des éclats; Le Legomenon Hapaz, י est dérivé d'une racine arabe, Shaba, à couper; Et ainsi, comme le mollet au Sinaï était brûlé et pulvérisé, le mollet de Samarie sera brisé en éclats et détruits. Le verset entier est bien expliqué par Kimchi: "Vous verrez maintenant si le veau est capable de livrer ses fidèles; il ne peut même pas se livrer, car il deviendra des éclats, comme s'il disait que les ennemis vont le briser et le porter loin de la valeur de l'or, pas pour aucun utilité qui y est encore sous la forme d'un veau. י est équivalent à שבים (morceaux cassés, frissons), fragments. " Le rendu septuagintal, πλανῶν, est probablement dû à la lecture ׁׁוֵֵֹֹ, Michée 2: 4 , "se détournant".
Car ils ont semé le vent et ils récolteront le tourbillon. La récolte correspond au temps de semences; Leurs idolâtres stupides et vains auront des résultats correspondants. Cette expression proverbiale importe plus que simplement le travail en vain; Il dénote le travail qui a un résultat préjudiciable et destructeur. Il a plus qu'une signification négative de la main-d'œuvre perdue; Il transmet l'idée de préjudice positif. "Le prophète", dit Kimchi, "signifie dire qu'ils se substiraient en vain dans ce service (d'idoles), comme si un homme qui sème le vent, dans lequel il n'y a rien de substantiel, ne récoltera que le vent, ou même encore moins; comme s'il l'avait dit: «Vous n'obtiendrez pas le moindre plaisir, mais seulement une blessure.» Si, alors, le vent dénote la vanité et le néant de l'effort humain, le tourbillon est l'image de la destruction et de l'annihilation , viz. une tempête ou un ouragan déchirant tout de temps avec elle. Suphah elle-même intensifie la notion incluse dans Ruach, tandis que le paragogique s'intensifie encore plus, afin de dénoter une tempête de la plus grande violence. La double fin féminine est considérée par la plupart comme le renforcement du sens de ce mot SUPHATHAHH, רָָָה ֵֵיָָהָהָה, etc. Il n'a pas de tige (marge, de maïs debout): le bourgeon ne donnera aucun repas; Meilleur, pousse ne fait aucun fruit. C'est un développement ultérieur de la figure. Lorsque le vent est le graine semé, la destruction représentée par Tempest est la récolte. La graine de graine ne produit aucune tige, ni au moins pas de stalle = avec du grain dans celui-ci - pas de maïs debout. Si la graine tirée du tout, la pousse de la tuile n'a pas de fruit. Ici, le jeu sur des mots, dont les Hébreux étaient tellement friands, c'est évident - le Tsemach n'a pas de Yemach; Le Halm n'a pas de malm; le spross n ° Schoss; le maïs no kern. Si tel est le cas, les étrangers l'avaleront. Quand, ou si, des fruits sont atteints, l'invasion des étrangers rapides l'avale. Tout d'abord, lorsque le vent d'efforts humains vains est le semis, la destruction est la récolte. Si la graine est du tout, l'oreille ne remplit pas; Ou si l'oreille devrait remplir, il n'y a pas de substance dedans; Ou si elle remplissait et avoir une substance, la rapacité des envahisseurs hostiles le consomme. Ainsi, un blight tombe sur tout ce qu'ils font. Kimchi explique le verset bien comme suit: "Parce que le prophète compare leurs œuvres à ceux qui sèment le vent, il ajoute plus loin à la même image et dit:" Il n'a pas de tige, il n'atteint pas le moment où il doit être la tige " (ou «maïs permanent»). Maintenant, c'est le nom du maïs lorsqu'il se tient prêt pour la récolte, à partir de laquelle les hommes (littéralement, «sâblent») s'attendent rapidement à la jouissance, c'est-à-dire après la récolte, quand ils le feront de la farine . Oui, même au moment où ils attendent des bénéfices de leurs œuvres, ils n'en auront pas. Et il dit plus loin: «Le tournage ne produira pas de fruits ou de farine», comme s'il l'a dit: «Même la graine de la graine après le semis . ' Il représente donc une figure qui devrait prospérer un peu un peu dans leurs œuvres après avoir commencé à faire du mal, mais que la prospérité ne durera pas, et il ne viendra pas une bonne jouissance (beauté) comme le maïs qui vient à la récolte et à la recrue . Et si cela devrait céder, des étrangers le dévorent. Peut-être que cela peut produire de manière à venir au repas, comme s'il l'a dit, devrait-il prospérer dans leurs biens afin qu'un peu de plaisir soit accordé à la première , alors les étrangers viendront le dévorer et leur plaisir ne sera pas complet. ".
Israël est englouti. Non seulement les productions de leurs terres seront englouties, mais les personnes des Israélites sont consommées; L'événement n'est pas plus loin dans l'avenir lointain, bien que les commentateurs hébreux traduisent le passé comme avenir prophétique; a déjà le faisceau de processus. Telle est l'extension de la punition. Maintenant, ils seront (plutôt sont devenus) parmi les gentils comme un navire dans lequel n'y a pas de plaisir. La prospérité, la population, la propriété et même la nationalité sont avalées comme dans certains abîmes, de manière à être indécouvrables à l'heure actuelle; Bien que leur réputation ait été si malheureusement, elles sont méprisées comme un navire domestique sans valeur - un navire à un déshonneur, jamais de grande valeur, mais maintenant, mais aussi complètement inapte à être utilisé.
Car ils sont allés à Assyrie, un cul sauvage seul par lui-même: Ephraïm a embauché des amoureux. Toute leur misère et leur malheur ils ont apporté sur eux-mêmes. Ils ont préparé ce destin pour eux-mêmes et se sont rendus à leur destin. La deuxième clause est correctement rendue, un cul sauvage va seul seul; Et cette clause est une déclaration indépendante non liée par N- de comparaison avec la clause précédant ni avec le succès. Au lieu de dire qu'Epraim, c'est-à-dire Israël, montait à Assyrie comme un cul sauvage obstiné seul, sinon un cul sauvage qui va seul Ephraïm a embauché (poursuivi pour) les amoureux, la déclaration est indépendante et dans une mesure détachée, Le sens étant que même un âne sauvage, stupide et têtu que cet animal est, empêche son indépendance. La conduite d'Israël semble toutefois désavantage contraire à celle d'un cul stupide; C'est plus stupide et plus insensé; Leur folie est vue par la comparaison: elle a maintenu son indépendance en allant seul, Ephraïm a perdu son indépendance en sollicitant de l'aide d'alliés païens. Quoi, alors, était l'objet de la réalisation de laquelle cette conduite stupide a été dirigée? En d'autres termes, pourquoi Israël est-il allé sur cette mission stupide à Assyrie? Qu'ont-ils cherché à gagner par elle? La troisième clause contient la réponse: ils ont cherché l'aide et le secours des Assyriens. Ainsi, la première clause, donnant une raison de leur calamité, montre qu'il était auto-acheté par Ephraïm qui allant jusqu'à Assyrie; La deuxième clause expose la folie d'une telle conduite dans la recherche d'alliances étrangères interdites et pernicieuses; La troisième clause spécifie l'objet précis de la mission pécheur et insensée d'Ephraïm, à savoir l'obtention de secours d'Assyrie. L'explication ci-dessus,.
(1) qui est en substance keil's et qui constitue un contraste entre l'indépendance du cul sauvage et la poursuite des serviles d'Ephraïm à l'aide étrangère, nous pensons, plus simples et plus exact que.
(2) Le commun, qui est une comparaison de la volonté, de la réalisation et de la détresse du cul sauvage itinant solitairement par lui-même avec une vague volontaire d'Ephraïm dans l'assyrie pour le secours et la désinvolte dans la poursuite des alliances idolates. L'expression «montée», fait allusion à aller à l'intérieur du pays, ou à la capitale du Monarch Assyria possédant maintenant souveraine ou à un lieu de refuge. L'embauche des amoureux ou de l'amant, par Ephraïm stigmatise sa conduite honteuse comme celle d'une prostituée sans vergogne, qui, au lieu de recevoir, des festes se présente sur des amoureux ou comme une récompense d'attaches.
Oui, bien qu'ils aient embauché entre les nations, je les rassemblerai maintenant. Au lieu de "avoir embauché", "Sue" rendrait le sens plus évident. Mais qui sont-ils à qui il est ici dit: "Je vais les rassembler"?
(1) Les nations, parmi lesquelles Éphraïms poursuivent des efforts de PARAMOURS, sont rassemblées pour effectuer la blessure ou la ruine de Ephraïm; tandis que pour cette explication Ézéchiel 16:37, est citée comme parallèle: "Voici donc, je vais rassembler tous tes amants, avec qui tu as pris plaisir, et tout ce que tu as aimé, et tout ce que tu as aimé, Avec tous ceux qui tu as détesté; Je vais même les rassembler autour de toi et va découvrir ta nudité pour eux, afin qu'ils puissent voir toute la nuité. " Mais.
(2) les autres soutiennent que les personnes rassemblées sont les éphraphayses que le Seigneur rassemblera, c'est-à-dire.
(a) les apportera tous ensemble entre les nations, les conduisant là; et à cette exposition Osée 9:6 est pensé à fournir un parallèle, au moins aussi loin que la signification du verbe "à rassembler" est concerné: "L'Égypte les rassemblera, Memphis doit les enterrer. ".
(b) ou les éphraphes sont rassemblés pour être amenés dans des chaînes et dispersés entre les nations;
(c) ou sont rassemblés pour la mort et périr par l'épée et la famine; ou alors.
(d) être rassemblés ensemble à Samarie et à d'autres villes fortifiées, pour être prise. rassemblez et porté par leurs ennemis en captivité.
(3) Rashi comprend le rassemblement ensemble d'Israël, mais dans le sens d'une promesse "Bien qu'ils ont poursuivi leurs efforts entre les nations, je les rassemblerai des nations parmi lesquelles ils ont été dispersés, comme le même verbe, קקץ , est utilisé dans Ésaïe 54:1. Et Jérémie 31:10, VIZ. "Je ne tarderai pas leur délivrance." 'Cette exposition est Pas en harmonie avec le contexte, d'où nous nous attendons à une menace de punition plutôt qu'à une promesse de récompense. Kimchi et Aben Ezra favorisent l'exposition (1) "Quel avantage leur est-il, demande au prophète, qu'ils poursuivent entre les nations? Pour bientôt, je vais rassembler les nations contre eux pour les transporter." Ainsi, Kimchi et un peu de même Aben Ezra. Si nous prenons le verbe comme indiqué avec Daghesh dans le TAV, et donc de נןן, de donner, c'est-à-dire des cadeaux aux amoureux, ou sans Daghesh, et de חנה équivalent à ַָָָןַןִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִ ִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִִֶֶֶֶ ». sens général de la clause. Et ils chagrineront un peu pour le fardeau du roi des princes. Cela fixe avec plus de définition de la signification du membre qui précède du verset. Selon.
(1) Ce rendu de יֵֵַַוּ (qeri) HIPH. de וּּ, "un peu" aurait besoin d'être pris ironiquement; Il vaut donc mieux le rendre "dans un peu de temps". Le fardeau n'est pas celui de la fiscalité ni même de l'expulsion, mais de l'oppression en exil. L'oppresseur est le monarque d'Assyrie, qui demande de manière vantapelle. "Ne sont pas mes princes totalement des rois?" Une autre.
(2) La traduction est que "ils vont commencer à diminuer à cause du fardeau du roi des princes." Selon ceci, le verbe וַיָּהֵֵוּ est l'avenir de HIPH. ֵֵֵֵֵ à partir de חלל, pour commencer et ְְְָט est un infinitif pour ַַַט ou plutôt un adjectif verbal: et le sens est qu'ils commencent à être ou à devenir moins importants de l'assyrien oppression. Mais.
(3) Prendre le verbe de la même racine cognée avec grec αλάω, lâche, libre, Gesenius traduit, "et ils (les nations hostiles) les forcent actuellement de la charge (c'est-à-dire la domination désagréable) du roi." La septante.
(4) lire ִִִַַָָָּּּׁׁ au lieu de ִִִַַּּּּּׂׂׂ et une copule entre, c'est-à-dire "et princes;" et rendu, καὶ κοπάσουσι μικρὸν τοῦ χρίειν βασιλέα βαὶὶππέα καὶὶὶπντας, équivalent à "et ils vont cesser un peu à oindre un roi et des princes." Notre choix doit mentir entre (1) et (2) en interprétant cette clause difficile; Il y a une modification de (1) mérite d'être mentionnée; C'est: "Ils doivent dans un peu de chagrin pour le fardeau qu'ils paient (c'est-à-dire l'hommage qu'ils paient) des rois et des princes," VIZ. Tous, les deux mots finissants étant donc en apposition au sujet du verbe. Dans l'ensemble, nous préférons qu'il rendu la clause de la version autorisée, à la fois grammaticale et fournissant un sens compatible avec le contexte. Le prophète prétendue qu'Israël n'aurait que la peine de ressentir douloureusement les conséquences douloureuses de leur allée à l'Assyrie et de se poursuivre pour l'aide. Opprimé par un hommage annuel au roi assyrien, ils seraient intelligents sous le joug et longtemps être libres.
Ces deux versets sont étroitement liés au verset précédent et les uns avec les autres. Osée 8:11 non seulement des comptes, mais justifie, la menace de punition annoncée dans Osée 8:10 10 en se référant au péché d'Ephraïm; et Osée 8:12 montre l'inexcusacasabilité de Ephraïm dans ainsi de péché. Parce que Ephraïm a rendu de nombreux autels au péché, des autels ne lui seront pas au péché. Au lieu d'un seul sanctuaire avec son autel à la place que le Seigneur que leur Dieu choisirait de toutes leurs tribus pour mettre son nom là-bas et accepter les offrandes de son peuple, ils ont multiplié des auttars contrairement au commandement express de Dieu; Alors que ces autels qu'ils ont érigé dans tous les endroits qui les plaisaient n'étaient pas pour le service du vrai Dieu, mais pour le culte des idoles, les veaux, les baal et les éther vanités des païens. Ainsi, ils ont multiplié leur péché par chaque autel qu'ils élevèrent et chaque idole qu'ils adoraient. Leurs autels, au lieu de prouver leur piété, plongèrent dans une plus grande péché et une culpabilité plus profonde. Je lui ai écrit les grandes choses de ma loi, mais elles ont été comptées comme une chose étrange. Pour les Athéniens, dont la ville Paul s'est trouvée pleine d'idoles et que, en plus de ses nombreux autres autels en avaient un à un Dieu inconnu, il y avait une excuse, car ils n'étaient pas privilégiés d'une révélation de la volonté divine dans une loi écrite; Mais pour Israël, aucune ces excuses n'a été possible. Ce verset prouve clairement que, dans leur péché en multipliant des idoles et des autels, ils étaient entièrement sans excuse. La lecture kethique ou textuelle a rubbo pour le ribboth par l'omission du goudron et équivalent à רְְְָָה, c'est-à-dire dix mille ou myriades; la correction qeri ou maasorétique, רֵֻֻּי, pluriel de דב, multitudes. L'idée transmise est les nombreuses directions, préceptives et prohibitives du Pentateuque; les commandements, si pleins et explicites, comprennent les grandes choses et le peu; Les détails, alors minuscules que des variétés, qu'il n'y avait aucune possibilité d'erreur, à condition qu'il y ait un esprit à être informé. Encore plus, ces commandements, directions et détails étaient non seulement communiqués verbalement et oralement à Israël; Ils ont été engagés à écrire, et ainsi placés de manière permanente sur le disque. Et pourtant, malgré tout cela, les grandes choses de la loi de Dieu étaient considérées par beaucoup ou la plupart de ceux à qui ils ont été traités comme des instructions étrangères à leur intérêt, avec lesquelles ils n'avaient aucune inquiétude et qui n'avaient donc aucune réclamation sur leur attention et mérité aucun endroit dans leur souvenir. La variété de noms pour les commandes divines est très remarquable. Il existe des commandements équivalents à tous les préceptes dont les motivations sont assignées, à la circonstance pour distinguer Israël d'éther; Statuts, pour lesquels aucune motivation n'est assignée, comme dans le cas de la génisse rouge, interdiction de porter des vêtements de matière mixte et des prescriptions cérémonielles en général; témoignages, préceptes destinés à maintenir la mémoire de tout cas de fait comme la Pâque pour rappeler le départ de l'Égypte; Les préceptes, les injonctions rationnelles, à gauche, pour ainsi dire, à notre intelligence, comme l'unité de la divinité et le fait de son être le Créateur; et jugements, orientations judiciaires relatives à l'achat et à la vente, les héritages, etc.
Pour le sacrifice des offres de mine, ils sacrifient la chair et le mangent; Mais le Seigneur l'accepte pas. La mention d'autels suggère naturellement que des sacrifices et, en fait, avec la multiplication de ces autels, ils multipliaient leurs sacrifices, de sorte que ces derniers continuèrent à sortir avec l'ancienne et une proportionnement régulière entre eux. Et pourtant, de nombreux sacrifices étaient, ils n'étaient pas de vrais sacrifices; Ils n'étaient pas plus et pas mieux que de tuer tant d'animaux et de se régaler de leur chair; L'esprit de dévotion était absent, donc Dieu ne les a pas acceptés. Maintenant, se souviendra-t-il de leur iniquité et visitera leurs péchés: ils reviendront en Égypte. Le tournant était maintenant atteint, leur iniquité était pleine et le moment de la punition était arrivé. Dieu avait livré leurs pères hors de l'esclavage de l'Égypte; Maintenant, il enverra la postérité dans une esclavage similaire ou pire que celle de l'Égypte. Pour Israël, a oublié son créateur et construire des temples (ou des palais). Ici, le péché d'Israël, avec la souffrance conséquente, est retrouvé à sa source. L'origine de tout était leur oubli de Dieu et une fausse confiance dans l'homme - eux-mêmes et d'autres personnes ou les deux. Et Juda a multiplié des villes clôturées. Israël a oublié son créateur et construit des sanctuaires sur des endroits élevés, "Consacrant", comme dit Jérôme, "des collines entières et des montagnes et des arbres ombragés à Baal et Ashtaroth et d'autres idoles". Juda également, bien que conscient qu'Israël avait renoncé à l'amour de Jéhovah et avait été puni pour leurs péchés, ne retourna pas à Dieu, mais fait confiance à des villes clôturées. Mais j'enverrai un feu sur ses villes, et il devra dévorer les palais de celui-ci. Au mot "City", le suffixe masculin est attaché; Alors que avec des "palais", le suffixe féminin est employé. Avec les noms appropriés des peuples, le sexe est utilisé:
a) le masculin en référence aux personnes ou à la population et au féminin par rapport au pays; ou la référence peut être d'Israël et de Juda, le masculin faisant référence à leurs peuples respectifs et féminines à leurs terres; mais.
b) Aben Ezra fait référence au suffixe féminin des "palais" à יר, ville, féminin.
(c) la septtuerie a τὰ θεμέλια, fondations, au lieu de palais.
HOMÉLIE.
Fidélité ministérielle.
Le prophète est représenté comme un messager avec des nouvelles alarmes, ou Sentinel à son poste pour avertir l'approche de l'ennemi, ou plutôt comme une héraut chargée de déclarer la guerre. Les rois terrestres ont des hérautes ou des messagers spéciaux à cette fin, et ici, le roi des rois facture le prophète comme son héraut de proclamer la guerre. "Allez, puis et que les Israélites savent, pas maintenant par ta bouche, mais même par ta gorge, par le son de la trompette, que je suis un ennemi pour eux et que je suis présent avec une armée solide pour les détruire . " La présence d'un héraut lors de telles occasions présupposait la préparation de l'ennemi - qu'ils étaient prêts à prendre le domaine ou étaient en réalité en mars. Comme les prophètes de l'ancien, les ministres ont toujours besoin d'agir audacieusement, courageusement, avec une sensibles et une fidélité dans la réprimande de péché, d'avertir des hommes d'approcher des périls et des punitions et de les appeler fort et sans peur de se repentir et de retourner à Dieu.
I. Punition à la poursuite de la culpabilité. Même un poète païen a chanté, "une punition rarement, bien que boiteux de pied, quittant le criminel qui va auparavant." Parfois, le prophète est convoqué pour déclarer le péché du peuple, leur montrant sa culpabilité et ses conséquences dangereuses; parfois de dénoncer sa punition. Nous avons un exemple notable de l'ancien dans un passage une bonne affaire comme le verset d'ouverture de ce chapitre; Ainsi, Isaïe est commandé par Dieu, "" Cryez à voix haute, ne soulevez pas ta voix comme une trompette et montrez à mon peuple leur transgression et la maison de Jacob leurs péchés. " Mais la hoseea du prophète est ici enjoint de proclamer la punition que le péché d'Israël l'apportait sûrement et qui les apporte rapidement: "Il viendra comme un aigle contre la maison du Seigneur." L'abrupte transmet la vigueur à l'expression, alors qu'elle indique la triste et soudaine réalité. Lorsque la tasse d'iniquité d'une personne est débordée, la calamité est à portée de main; Quand ils sont mûrs pour jugement, l'ennemi est prêt à l'exécuter; Lorsque le jour de la vengeance est arrivé, aucune distance ne peut les sécuriser. De la terre lointaine d'Assyrie, l'aigle assyrien, Shatmaneser, comme le grand aigle babylonien, Nebuchadnetsar, à une date ultérieure, "Kith Great Wings, à longue ailette, pleine de plumes", est venu de loin, rapide à son avance , soudain dans son approche, sûre de sa proie et sauvage de la déchirer. Aucun privilège vénétrée ne peut retarder ce jour de catastrophe, ni livrer quand il vient; Même la maison du Seigneur ne sera pas exempte. Israël, bien que le peuple de Dieu, sa maison et sa famille, tombera par l'agression de l'assyrien. Dieu parle généralement avant qu'il ne frappe et avertit avant de se déverser de sa colère; Il ne menace pas non plus de menacer ou de griser jusqu'à ce qu'il ait été provoqué par le péché.
II. La cause accueillante de la punition d'Israël. "Parce qu'ils ont transgressé mon alliance et écrivit contre ma loi;" Telle est la cause que Dieu attribue à la punition menacée. Dieu indique donc sa procédure, présente sa justice, affirme sa patience et sa longue souffrance, déclare sa haine de péché et donne à tous un avertissement solennel contre sa commission. Ici encore, la miséricorde de Dieu est faite de manifester, malgré le droit suprême de Dieu sur les hommes et l'autorité absolue de les éliminer, mais il condescend gracieusement à entrer dans une alliance avec ses créatures, stipulant la promesse de récompense à l'obéissance et à la peine cas de désobéissance. Israël plaidant non plus l'ignorance des conditions de cette alliance; Pour la loi, avec ses commandements, exposions ces conditions, déclarant explicitement toutes les tâches du Pacte. Cependant, ils ont cassé le commandement et ont donc préparé la voie à briser l'alliance; Ils ont écrit contre la loi et ont tellement transgressé l'alliance. Ils ont violé les commandements de la loi qui leur ont enseigné leur devoir envers leur prochain; Ils ont cassé l'alliance qui les a liés à leur Dieu. Habituellement, les hommes procèdent à des omissions à des commissions et de violations fréquentes de la loi font la place à la dernière et à la renonciation complète du Pacte.
III. La profession sans pratique n'est la plus prétexte. Israël n'avait aucun doute plus de connaissance du vrai Dieu que l'une des nations voisines. Le nom de Dieu est connu parmi eux; à Israël appartenait "l'adoption, la gloire et les alliances." Ils dépendaient beaucoup à ce sujet et, dans leur adversité, ils ont exhorté avec beaucoup de véhémence le plaidoyer, "mon Dieu, nous savons toi." Alors, beaucoup beaucoup pleurera, "Seigneur, Seigneur, ouvert à nous;" Ou, "Seigneur, Seigneur, n'avons-nous pas prophétisé de ton nom et de ton prénom a lancé les diables, et dans ton nom fait de nombreuses œuvres merveilleuses?" Mais ce moyen ne doit se rencontrer que, comme il mérite la réponse indignée, "Départ de moi, Ye travailleurs d'iniquité." Voici le secret de leur rejet: leur profession n'a pas été complété par la pratique. Ils prétendent connaître Dieu dans la journée de leur détresse; mais tant qu'ils se prélassèrent au soleil de la prospérité, ils ne souhaitaient ni la connaissance des voies de Dieu, ni ravis des tâches nécessaires à eux; Nay, ils ont méprisé la piété pratique. Ils avaient un nom à vivre, mais étaient morts; ils avaient une forme de piété, mais refusait son pouvoir dans leur cœur et leur vie. Hélas I Combien de professeurs de religion sont dans ce même État. "De quelle position va-t-elle soutenir un homme de pouvoir dire:" Mon Dieu , Je me connais, "quand il ne peut pas dire," mon Dieu, je t'aime, "et" mon Dieu, je te serre et ne me frappe que "?" Israël avait jeté la chose qui est bonne; ils avaient coulé hors dieu, le bien suprême. Il n'y a rien vraiment génial mais Dieu, et rien de vraiment bon mais Dieu; et en rejetant Dieu, ils ont rejeté tout ce que je s bon. Dieu est l'auteur de toute bonté et la proximité de lui est la façon dont la façon est de bien se faire. "Quel que soit n'importe quel homme ou jouit de bon, vient de lui parler, sa proximité de lui, son fondu avec lui." Israël rejette la loi de Dieu, bien que cette loi était sainte et juste et bonne; Ils ont jeté son culte, bien que cela a conduit à la fois à leur bien temporel et éternel; Ils ont abandonné son service, bien que c'était bon pour toutes les relations de la vie; ils avaient à l'est sur tout ce qui est bon et debout, juste et vrai; Et maintenant à son tour, ils sont jetés. Le contraste est observable; Ils avaient chassé de tout ce qui était bon, et maintenant, l'ennemi conduit dans la poursuite chaude après eux.
Les causes des jugements divins sont plus particulièrement spécifiées.
Le premier péché qui a abattu le mécontentement divin était leur apostasie civile, comme il a été appelé, ou changement de gouvernement civil.
I. Nature du premier péché par lequel Israël a engendré Divine Wrath. Nous ne devons pas comprendre, avec certains, l'élection de Saül, parce que cette infraction politique, si nous pouvions donc justement, les douze tribus commune, alors que ce sont les dix tribus du royaume du Nord avec laquelle le prophète ici traite; Nous ne sommes pas non plus, selon les autres, de limiter le péché avec lequel Israël est ici accusé de certains usurpateurs qui, par trahison ou complot, ou assassinat, ont forcé leur chemin vers le trône, car cela était long après la perturbation, et était la péché de quelques individus plutôt que de tout le peuple, mais sans aucun doute, tout le monde souffrait de la transgression de ces personnes particulières. C'est à la séparation d'Israël de la dynastie Davidic et du Royaume du Sud à la journée de Jéroboam que le prophète se réfère.
II. La même chose faite et non fait par Dieu. Une objection est parfois invitée contre la gravité avec laquelle Israël est réprimandé pour la perturbation du royaume de David, voyant que Dieu avait prédestiné et le promis.
1. C'est vrai, en effet, que Dieu avait prédit le déchirement du royaume de Salomon; Il est vrai qu'il avait promis dix tribus à Jéroboam par Ahijah le Shilonite; C'est vrai aussi qu'il avait même prédéterminé le tout. Comment, alors, peut-il être une femme de ménage d'avoir eu lieu sans le consentement de Dieu? Ou pourquoi l'Israël devrait-il être extrêmement réprimandé pour le péché? Dieu avait décidé de punir Solomon en déchirant dix tribus du royaume de son fils et de son successeur, bien qu'il ait été autorisé à retenir le gouvernement de l'ensemble jusqu'à la fin de ses jours et en les remettant à Jéroboam. La partie promulguée par le peuple n'était pas avec la connaissance divine, c'est-à-dire le consentement divin, l'approbation qu'ils n'avaient pas consulté Dieu sur la question, ni la manière dont elle, ou le temps de celui-ci; Ils n'ont pas attendu que son commandement le fasse; Ils n'ont pas cherché son approbation à le faire; Ils ne faisaient aucun moyen d'exécuter le but divin - rien n'était plus loin de leurs pensées. Ils ont révolté de la maison de David pas pour obéir à Dieu; De cela, dans la mesure où l'histoire montre, ils ne pensaient jamais. Ce qu'ils ont fait a été fait d'un esprit de sédition; Ce qu'ils visaient était un soulagement de la fiscalité oppressante. Ils n'avaient aucun respect de l'esprit divin dans l'ensemble du mouvement. Ils ont été pliés lors de la réalisation de leur propre projet chéri, et pourtant de manière involontairement, involontairement, ils effectuaient l'objectif et la promesse de Dieu, bien que sans aucune référence à l'esprit et à la volonté de Dieu.
2. L'illustration suivante de ce sujet difficile est donnée par Calvin. "Dieu", dit-il, "conçu pour prouver la patience de son travail de serviteur. Les voleurs qui ont emporté sa propriété, étaient-ils excusables? En aucun cas. Pour quel était leur objet, mais s'enrichir par l'injustice et le pillage? Depuis , alors, ils ont acheté leur avantage au détriment d'un autre et ont injustement volé un homme qui ne les n'avait jamais blessé, ils étaient dépourvus de toutes les excuses. Le Seigneur, cependant, a fait dans le temps ce qu'il s'exécutent ce qu'il avait nommé ce qu'il avait nommé et ce qu'il avait déjà autorisé Satan de faire. Il voulait que son serviteur soit pillé; et Satan, qui a influencé les voleurs, ne pouvait pas se déplacer d'un doigt sauf par la permission de Dieu-nay, sauf que cela lui a commandé. Au même Temps, le Seigneur n'avait rien en commun ni en relation avec les méchants, parce que son but était éloigné de leur convoitise dépravé. Donc, aussi, il faut aussi dire que ce qui est dit ici par le prophète. ".
III. La deuxième cause du jugement divin. Le deuxième péché et la cause du jugement était leur apostasie religieuse dans le culte des veaux.
1. Le premier péché, comme cela se produit souvent, a conduit à la seconde. L'idolâtrie des veaux était destinée à Jéroboam d'aider et de défendre sa souveraineté usurpée. Non seulement la religion nationale a été tombée en désintégration, mais elle avait dégénéré dans le culte superstitieux. À côté de la subversion du royaume de Davidique, la perversion de la prêtrise légitime.
2. Le péché de leur apostasie a été aggravé par leur abus de la richesse que Dieu leur avait donnée. Tout ce qu'ils avaient dû à Dieu et étaient en devoir de l'employer pour son honneur; Au lieu de le faire, ils l'ont déshonoré en faisant des idoles de leur argent et de leur or. On trouve parfois que les hommes sont parfois jugés plus somptueux de leur or et de leur argent au soutien d'une fausse religion que de maintenir le culte pur du vrai Dieu. Israël pourrait prétendre que leurs veaux d'or n'étaient que des représentations de Jéhovah; Mais Jéhovah refuse d'être si représenté, interdisant les hommes à faire de toute image grave de métal, de pierre ou de bois, de se lever de manière évidente et en termes de relief, ou de toute ressemblance el quelque chose sur une surface de Fiat comme une image, dans le but de faire Il hommage d'adorer ou de le servir par sacrifice. Si, puis, les hommes négligent les prohibitions divines ou les préceptes, ils doivent se rappeler que Dieu ne sera pas moqué par leurs professions ou leurs prétentions, mais les estimera par leur pratique à la lumière de sa loi.
3. Israël se détruisait par cette idolâtrie pécheuse. "Qu'il puisse être coupé;" Tel est le sens littéral, comme si cela signifiait toute la nation comme un seul homme et tout. Telle était la tendance de leur comportement, bien que ce n'était pas leur intention; Telle était la fin inévitable de leur cours, bien qu'ils ne soient pas au courant. "Alors un homme choisit la destruction ou l'enfer, s'il choisit ces choses qui, selon la loi et le mot connus de Dieu, se terminent. L'homme cache de ses propres yeux l'avenir lointain et les fixe sur les objets plus proches qu'il a au cœur . " Certains prennent la clause pour signifier que l'or et l'argent si malheureusement mal utilisé et pervers péchemental seraient coupés; Il semble plutôt de faire référence aux personnes qui étaient les possesseurs de celui-ci; En tout cas, leur argent périrait, soit en train de sortir de leur possession, soit avec les possesseurs.
Iv. Leur péché et leur souffrance conséquente sont insistés. L'amplification saisissante du même sujet semble conçue pour impressionner sur l'esprit des gens qu'ils ont eux-mêmes, et pas d'autre, n'avaient forgé de ruine et qu'ils n'ont pas besoin d'essayer de transférer la faute à d'autres ou de charger Dieu bêtement. Il n'était pas non plus nécessaire de supposer qu'un veau avait été mis en place à Samarie ou que l'un de ceux de Dan et Bethel avait été retiré. La Samarie était la métropole du Royaume-Nord et, en tant que telle, a pris une part de premier plan dans le culte du veau et a contribué largement et généreusement à son soutien. Parmi les différents rendus de la première clause du verset 5, tous tendant à peu près dans la même direction, nous pouvons adhérer en toute sécurité à celle de la version autorisée comme un bon sens. Israël, nous avons lu au verset 3, "avait jeté" Dieu et la bonté; Maintenant, le veau qu'ils avaient mis en place alors que leur Dieu l'avaient lancé, les a laissés dans l'aventure, ou a provoqué leur renvoi à un autre et une terre étrangère; Ainsi, leur péché et sa punition sont liés ensemble par le même mot, "chasser" (רנה). La chose est représentée dans le passé parce que c'est sûr de l'accomplissement; Ils avaient renoncé à Dieu, et maintenant la chose qu'ils substituaient à Dieu les avait abandonnées. Alors sera-t-il jamais; quel que soit l'objet que les hommes font une idole et le montent dans leur cœur au lieu de Dieu, ce qui lui donnait que la place dans leurs affections qui appartiennent à Dieu seul, le jetait un jour les jeter, les déserts dans leur plus grand besoin et les laissera en détresse. Est la richesse notre idole? Faisons-nous de l'or notre Dieu et de l'or fin notre confiance? Que le mollet de l'or nous chassera; Pour les fiches se gênent des ailes et s'envolent, comme cela a été l'expérience douloureuse de milliers de personnes! La gloire est-elle le dieu que nous suivons? Est-ce que les applaudissements populaires sont l'idole que nous adorons? Sont une grandeur du monde et sa gloire accompagnant les idoles, les objets, notre idolâtrie et notre chère pour nous comme les veaux de Dan et Bethel étaient en Israël? Ce veau de vain gloire nous étonnera sûrement; Car la renommée est une bulle qui a éclaté avant de partir bien le long du temps de temps; La popularité est souvent fausse, chère toujours comme la brise. Les mots de Wolsey prouvent avec merveilleux pouvoir comment le mollet de la gloire mondaine jette ses fidèles.
"Adieu, un long adieu, à toute ma grandeur! C'est l'état de l'homme: Aujourd'hui, il pose aujourd'hui les feuilles d'espoir tendres, demain fleurit et porte ses honneurs d'épaisseur sur lui: le troisième jour vient un gel, un meurtrier ; Et, -Quand il pense, bon homme facile, la pleine grandeur de la pleine maladie est une maturation a-mûrissement, elle-nipse sa racine, puis il tombe, comme je le fais. Je me suis aventuré, comme de petits garçons qui nuisent sur des vessies, ce ninny été Dans une mer de gloire; mais bien au-delà de ma profondeur: ma longueur de chèvre de haute tête s'est cassée sous moi; et maintenant m'a laissé, fatigué et vieux avec le service, à la mercrey d'un ruisseau impoli, qui doit toujours cacher moi.vain Pomp et gloire de ce monde, je déteste toi! ".
Est-ce que les plaisirs du péché ressortent nos affections, et sont-ils l'idole sur laquelle notre cœur presse? Notre idole nous va nous jeter. Les plaisirs du péché sont de courte durée; Ils durent mais pour une saison, et cette saison est au plus et le meilleur un court; ils ne satisfont pas non plus pendant qu'ils durent. La beauté est-elle l'objet de notre idolâtrie? Ce veau, si grandement admiré et beaucoup bien-aimé, dans un peu de temps enfonçant et déçoit ses nombreux adorateurs. Pour la beauté est une fleur juste mais fugace; Il s'estompe et échoue. "Toute la chair est comme une herbe et toute la gloire de l'homme comme la fleur d'herbe. L'herbe s'enflamme et la fleur de celle-ci tombe loin." L'héritier ou le propriétaire réel d'une vaste succession, avec ses vastes acres et son manoir princier, met son cœur sur ses splendides possessions; Sa propriété magnifique devient son idole, mais son mollet le jette. Si seulement héritier, il peut ne jamais entrer sur la possession réelle, et il est donc déçu de cela; Si déjà propriétaire, il peut être déçu de nombreuses manières, ou il peut être privé de cela par la force, la fraude, ou la victime, ou la mort; Dans les deux cas, le mollet jette l'adorateur idolâtre. La succession héréditaire, la sécurise comme les hommes par les actes et les colonies, changera de propriété et être emporté; Il n'y a pas de réelle fixité du mandat ici sur Terre. La résidence baronniale deviendra à temps une ruine gris, autour des twys de lierre.
2. Mais pourquoi le mollet de Samarie ou en général, l'idole des hommes, prouve-t-il si peu satisfaisant, sauvegarde des espoirs masculins et saflage de leurs attentes, de sorte qu'ils laissent une proie de déception, de dégoût, de déception ou même du désespoir? Ce n'est pas parce que la colère de Dieu est allumée contre elle. Dieu est un dieu jaloux et ne donnera pas sa gloire à une autre, ni sa louange d'images de Graven. Quel que soit le parcours de Sin Hommes poursuivant devient comme un conducteur d'électricité et ramène la foudre cinglante de la colère divine sur leurs têtes de culpabilité.
3. Mais la colère de Dieu n'est pas seulement allumée contre eux; Il est aggravé et intensifié par leur obéoue du cœur et de la voie persistante du mal. "Combien de temps" demande à Dieu ", sera-t-il ere qu'elles atteignent l'innocence?" C'est-à-dire combien de temps persévéreront-ils dans leurs voies diaboliques actuelles, ne se purgeant ni du péché de l'idolâtrie et de mettre leurs idoles, ni de s'efforcer d'atteindre la pureté de la vie et de la droiture du caractère? Le omniscient lui-même de demander à cette question semble surpris - la révérence soit-elle parlée - à leur obstination suicidaire, comme si elle s'est pliée sur leur propre destruction et se précipiter sur leur propre ruine. Il attend d'être miséricordieux, mais ils repoussent les ouvertures de sa grâce; Il étend sa main pour recevoir et les accueillir, mais ils refusent de revenir. Pas étonnant notre Seigneur béni, pendant les jours de sa chair, est signalé dans un certain endroit pour avoir "émerveillé à cause de l'incrédulité des hommes".
4. Nous sommes en outre montrés dans le verset suivant la janvier de l'indignation de Dieu contre ces adorateurs de mollettes stupides. Ce culte n'était pas une institution de Dieu.; C'était l'invention d'Israël. Ils ne pouvaient pas le blâmer sur les autres. Les pécheurs ressentent parfois une satisfaction misérable ou même une palliation pour s'efforcer de rendre les autres le bouc émissaire de leurs propres iniquités. C'est une vieille histoire. Adam a jeté la faute de son mangeant le fruit défendu sur Eve; Eve à son tour le transféré sur le serpent. Nul doute qu'une charge est allégée lorsqu'elle est portée sur les épaules de plusieurs personnes au lieu d'une seule personne. Pas si avec Israël dans ce cas. Aucune intimation prophétique induite Israël d'adopter l'idolâtrie du mollet, ils ne pourraient pas non plus trouver de faute avec leurs voisins de les séduire. C'était leur propre appareil et avait son origine avec leur roi et elle-même. Comme c'est triste qu'Israël devrait se faire si vil! - Israël, oublieux de leur haute lignée; Cet Israël, sans faille de leur grand proogéniteur, dont le titre de noblesse était "prince avec Dieu"; qu'Israël, que Dieu avait emmené en alliance pour être son peuple particulier et qui au pied du Sinaï a avoué le Seigneur d'être leur Dieu, devrait prouver tellement de manière indiciblement sottish quant à adorer un Dieu fait de l'homme, avoir "changé de gloire en la similitude d'un bœuf qui mit de l'herbe "! Mais ces veaux de Dan et Bethel, ou de ce mollet de Samarie, dans son sens collectif comprenant tous et considèrent par eux comme une "sorte de divinité tutélaire des dix tribus", était aussi méprisable à sa fin comme à son début. Fait par la main de l'homme, il devait être inconsidéré par le même; Façonné par l'homme, il était condamné à être brisé en fragments de l'homme et, comme le mollet d'Aaron à Sinaï, brisé en morceaux et au sol à la poudre.
V. Un temps de semences moral et sa récolte. Le récit de la punition d'Israël se poursuit dans deux similitudes frappantes, dont l'une présente le côté positif et l'autre le négatif. Le côté positif est celui d'un homme semant le vent et. récolter le tourbillon, comme si une personne prenait des douleurs immense, écraser et travailler comme un mari quand il sème sa graine; Mais la graine de la graine est du vent, une chose d'inauguration et de non substantielles-mères, et rien de plus ni mieux; Ensuite, lorsque la récolte vient, comme cela pourrait être attendu dans de telles circonstances, il y a une déception grave, et non seulement la déception, mais une destruction, une destruction totale, représentée par un tourbillon effrayant (la double résiliation intensifiant la signification). "Si cela peut être supposé," dit Pococke, "qu'un homme devrait semer le vent et. Coucez-le avec la terre, ou gardez-le là pendant un certain temps, que pouvait-il s'attendre, mais qu'il devrait être appliqué par son étant fermé up et l'adhésion de ce qui pourrait augmenter sa force de rompre à nouveau en plus grandes quantités avec une plus grande violence? " Israël a dépensé l'or et l'argent sur leurs idoles et étaient assiduellement laborieux dans leur culte; Mais au lieu de récolter tout bénéfice de leur part, ou d'accroître leur prospérité par eux afin d'égaler les nations idolâtre autour, ils ont travaillé en vain et se sont fatigués pour une très vaste vanité. Ni tout cela n'était pas tout; Ils ont récolté la ruine, étant balayée par le tourbillon de la colère divine. Le côté négatif présente trois degrés de développement ou trois étapes de progrès. Ils sèment et, comme l'ébauche s'attend à une récolte, ils cherchent donc une récolte de paix, de beaucoup et de prospérité. Mais lo! La graine qu'ils sèment ne se présentent jamais, il n'a ni la lame ni la tige; Ou si elle devrait ressort, produire une tige ou un maïs debout et développer une oreille, elle n'atteint jamais la maturité - l'oreille ne remplit pas, il n'y a pas de maïs mûre à l'oreille, et donc le bourgeon ne donne aucun repas; Ou supposez-le avant de progresser, et de mûrir et de céder le repas, il devient un gâte à l'ennemi, car les étrangers l'avalent. Combien de temps chaque année, chaque mois, chaque semaine, Ay, chaque jour, semis de cette manière bêtement et même mortellement, être condamné à récolter, non seulement de déception, mais destruction! L'apôtre nous dit que ceux qui sement à la chair récoltent la corruption. Il est observable que dans le passage renvoyé à ( Galates 6: 8 ) Il existe une distinction: la graine (ὅγὰρ ἐὰν σπείρη) et. le sol, ou le champ (εἰς τὴν τὴν σάρκα), et celui qui est semé dedans. Le champ est la chair ou la sensualité en général: dans ce domaine, certains sèment la graine de licence et récoltent la pourriture; Certains Semandent l'intempérance, et ils récoltent la corruption.
Vi. La sucette triste du péché d'Israël. La figure se résout maintenant dans un fait - une facturation triple, à savoir la consommation, la captivité et le mépris d'Israël.
1. Ils sont engloutis comme une victime est avalée par une bête de proie et consommé d'être une nation. Et pourtant, cette consommation n'est pas une annihilation, ni une extinction, comme nous apprenons du reste du verset. C'est plutôt un appauvrissement - leur substance dévorée par des étrangers et le produit de leurs terres mangées. L'expression peut être mise en parallèle par l'homérique.
"Priam et toute sa maison et tout son dévore hostalien; puis, malheureusement, tu me reposeras.".
Plus approprié est toujours le parallèle des Écritures ", d'avoir tous les travailleurs de l'iniquité aucune connaissance? Qui mange mon peuple comme. Ils mangent du pain.".
2. Leur dispersion et la captivité des terres genttiles étaient bientôt et certainement de venir passer. Glivant de leur propre pays et privé de ces ordonnances qui, quand elles auraient pu être appréciées et prises en profit, ont été maltraitées et méprisées, elles se retrouvent longtemps des étrangers dans un pays étranger et parmi les païens; Pour "maintenant, ils seront parmi les gentils".
3. En plus de la captivité, ils sont condamnés à un mépris, comme les navires mis à l'usage des vilestes et dans lesquels les choses la plus sale sont versées. Ils ont été des navires de déshonneur, des navires brisés méprisés, dans lesquels il n'y a pas de plaisir. Et n'a-t-il pas été aussi avec Israël pour presque, ou peut-être que nous pourrions dire depuis plus de deux mille ans? Malgré l'éminence à laquelle les individus de cette course ont augmenté dans les différentes professions et dans diverses promenades de la vie, ils ont un peuple, dans les terres de leur dispersion, ont été soumis à une indignation, traitée avec inchangée, méprise et gâtée et pelée.
4. Bien que ces calamités soient propres à Israël de manière particulière, mais moins ou plus, elles ont été communes à des pécheurs à tout moment et dans toutes les terres. Ceux qui corrompent la religion ou contemporain de ses privilèges ne sont pas rarement privés d'eux; Les mépris de l'évangile sont privés de l'Évangile; Ceux qui déshonorent Dieu sont déshonorés par leurs semblables, pour "ceux qui m'ont honoré", dit Dieu ", je vais honorer; et ils me méprisent seront légèrement estirés.".
La justice des jugements menaça d'autres ajouts.
Leur course à assyrie a ajouté à leur péché; Ils ont cherché des assistants païens à leur défendre dans leur apostasie et leur idolâtrie, augmentant leur péché.
I. Un acte pécheur est prolifique de beaucoup d'autres. Un parcours pécheur s'appuie sur un autre, tout comme un mensonge nécessite un ou plusieurs pour la rendre plausible, ou la projeter ou le couper. La révolte de la dynastie Davidic était une mauvaise étape et un pécheur; L'idolâtrie des veaux était encore plus méchante. La progression était mal à pire; Mais avoir recours aux alliés étrangers pour les sécuriser dans leur double iniquité nationale, il y avait encore une autre étape sur l'inclinaison escarpée du péché.
II. Le péché est à la fois une chose stupide et chère.
1. La conduite d'Ephraïm était aussi pervers à cet égard en tant que culte sauvage qui refuse toute la contrainte et poursuit obstinément son propre parcours frontal dans le désert; Ou, s'il s'agit d'un contraste et non d'une comparaison, la folie d'Ephraïm est réprimandée par le cul sauvage, qui est suffisamment sage pour errer en grande de sa propre voie solitaire, se maintenant à l'écart de toute ingérence de sa liberté et de conserver son indépendance.
2. Mais la folie de Epraim leur a coûté cher. Comme un imperfection sans vergogne, wooing et ne pas attendre d'être soigné, ils ont eu recours aux aides pécheuses qui étaient autant d'adultère que l'idolâtrie elle-même; Ils ont embauché de l'aide par de telles alliances adultères. L'aide qu'ils ont ainsi achevé en réalité les a aidées à ne pas; Ils ont soumis à la suzeraineté de l'Assyrie et sont soumis à des impostitutions et de hommage. Pour échapper à un maître, les hommes se mettent parfois dans le pouvoir d'un pire, répétant l'expérience de la fable du poète ".
Un cerf des seigneurs, au bras avec une force supérieure, a conduit de leur champ commun A un cheval de Vanquish'd, qui se vengeant de son force sa force esclave, a repris son cavalier et le peu reçu; mais, bien qu'il vaincait dans la martiale Confirs, il sentit le poids de son coureur et Champ'd le coup de vie. ".
II. Dieu seul est le refuge sûr de son peuple dans leur détroit. En cas de problème, les hommes péchent souvent contre Dieu, et péché contre leur propre âme en allant ailleurs à la recherche de l'aide. Si dans leur détroit, ils cherchent de l'aide de Dieu, tout ira bien avec eux à la fin. Lorsque des problèmes viennent, lorsque l'affliction vient, lorsque nous sommes en détresse, au lieu de simples changements, nous devons demander de l'aide de Dieu; Au lieu de mettre la confiance dans les secunes créatures, nous devons appliquer au créateur. Pour le négliger et poursuivre la poursuite d'ailleurs, vous abandonnez notre propre merci et retourne notre dos à Dieu; Départ de Dieu et dépend de des moyens d'aide pécheurs, est blessé dans les efforts et dans l'effet, aussi bien en cas d'urgence que dans la question et la fin. Nous n'avons pas besoin de nous méfier de ses soins ou de doutes de sa gentillesse, si ce n'est que dans le sens sérieux que nous lui appliquons; Son aide est réelle, son aide est efficace; Il le confère sans steint et sans frais ni récompense, sans argent ni prix. Comme le psalmiste chante si bien.
"Dieu est notre refuge et notre force,.
Dans la détroit d'une aide actuelle;
Donc, bien que la terre enlève,.
Nous n'aurons pas peur. ".
Iv. Mauvais moyen d'aide prouve ruineux. L'aide que Israël a embauché parmi les païens, jusqu'à présent, de les utiliser, les mettre dans une situation pire qu'avant.
1. Dieu frustrerait leur objectif, rassemblant leurs alliés engagés contre eux, soit eux-mêmes comme des exilés entre étrangers et ennemis. Si "un peu" ne pas être désigné de temps ni compris ironiquement, cela peut signifier que l'hommage était le hommage imposé par le monarque assyrien et grave à supporter de sorte qu'il a provoqué la révolte, c'était la source de petit chagrin par rapport à ce que suivi, lorsque la première partie, puis l'ensemble de la nation a été transportée en captivité.
2. Partiement similaire et partiellement dissemblable est l'exposition suivante de Kimchi: «Ils ont pourmi les premiers murmurés et se sont plaints en raison de la burthène du roi et des princes, comme il est écrit dans le livre des rois que les rois des nations ont imposé hommage sur eux; et ce prophète appelle une bagatelle par rapport à la captivité. " Les taxes et les charges avec lesquelles ils ont été opprimés étaient, en effet, de simples bagatelles et sont facilement supportées en ce qui concerne la captivité et les calamités qui ont réussi.
3. "Un peuple", dit un ancien exposant ", qui a souffert moins de problèmes, et pourtant ne l'utilise pas de droit pour en prévenir plus ou avoir utilisé des moyens pécheurs à s'en débarrasser, peut s'attendre à aucune autre question, mais Que le Seigneur enverra un plus grand problème pour les faire oublier le premier; car cela avait été leur voiture sous leur hommage et leur fardeau, et on leur dit donc de chagriner un peu pour le fardeau du roi des princes. " En outre, les moyens que les hommes utilisent seront peu disponibles tant qu'ils refusent de reconnaître Dieu, tandis que les plans les plus prudents de leur propre concevoir, s'ils ne sont pas sous-utilisés et débloqués par lui, se terminent dans la déception et la catastrophe; Ce qu'ils embauchent pour leur préservation devient leur défaillance et les problèmes de destruction. Israël avait demandé à Assyrie et à la suite de cette demande "a commencé à être minée par le fardeau du roi des princes" (selon un rendu de la clause). D'abord venu les exactions de Pul, puis la captivité de Gilead par Tiglath-Pileer et à la fin de l'expulsion de tout Israël par Shatmaneser.
V. Un spectacle de religion sans la substance ne sert que d'augmenter la corbeille. Dieu avait, à partir de l'époque de Moïse, a nommé un autel à Jérusalem; et quand, à l'époque de Josué, les tribus trans-jordaniques ont été pensées par leurs frères d'avoir construit un autel en violation du rendez-vous divin, elle a appelé une remontrance la plus vigoureuse: «Qu'est-ce qui a une inflasse que vous avez commis contre le Dieu d'Israël, de se détourner ce jour après le suiveur, vous vous avez construit un autel, que vous pourriez vous rebeller cette journée contre le Seigneur? " Ce n'est qu'à recevoir une explication que ce n'était pas un autel sacrificiel mais monumental que les frères occidentaux étaient réconciliés.
1. Maintenant, toutefois, ils avaient jusqu'à présent dégénéré que, à côté de l'autel autrefois central à Jérusalem, ils en avaient un à Dan, un autre à Bethel et d'autres sur toutes les collines haute et tout autre endroit qui les plaisait. Cette multiplication d'autels a eu l'apparence de la religion, mais seulement l'apparence; Ces nombreux autels ont été fabriqués à tous les vraisemblables pour que le but externe consistait à offrir des sacrifices d'expiration pour le péché, mais étaient en réalité une augmentation du péché du peuple, chaque autel devenant un élément supplémentaire de la transgression nationale.
2. Ils s'étaient retournés de Dieu pour l'aide humaine; Ensuite, ils se sont mis de côté du mode de culte divinement nommé aux méthodes du Bureau, en substituant le pur service du plus haut l'aspect misérable de la religiosité de soi-même. Ils avaient fait de nombreux autels qui, cependant voulaient, ont abouti à la Commission du péché; et maintenant ces nombreux autels, au lieu d'avoir expiré leurs péchés ou de faire amende amende pour leur transgression du commandement express de Dieu, sont comptés pour eux pour le péché et les amener à coupable devant Dieu, de ne pas parler du fait que la multiplication des autels du vrai Dieu occasionnellement le péché supplémentaire de dédicace des autels à d'autres dieux étranges et étranges. Si les hommes corrompent la religion, aussi plausibles leur prétexte, ils le font à un péril indescriptible à leur propre âme et aux âmes des autres,.
Vi. Il n'y a pas d'excuse raisonnable pour le péché. C'était spécialement le cas avec Israël et toujours plus particulièrement avec nous-mêmes. Si Israël avait été laissé dans les ténèbres de païens, s'ils avaient été ignorants des Statuts et des jugements divins, s'ils n'avaient pas apprécié le principal privilège d'être fait les gardiens des oracles vivants de Dieu, il pourrait y avoir eu une excuse pour eux, bien que même La raison naturelle est suffisante pour laisser même les païens sans aucune excuse raisonnable pour l'idolâtrie.
1. Mais comment c'était différent avec Israël! Dieu leur avait fait connaître et que, dans un record écrit permanent, les nombreuses leçons de sa loi; Mais autant que Dieu avait fait pour le peuple juif, il a encore plus fait pour les peuples de la chrétienté, car pendant que la loi est venue par Moïse, Grace et la vérité venaient de Jésus-Christ. Nous avons entre nos mains et pour quotidiennes Pérusal, les choses merveilleuses de la loi et les capacités gracieuses de l'Évangile; Les lèvres jumelles de la grande oracle de Dieu nous parlent.
2. Beaucoup et de grandes sont les leçons du mot écrit. Beaucoup comme ils sont en nombre, ils sont encore plus importants dans leur origine, car ils viennent de Dieu et sont donnés par inspiration de son esprit; grande dans leur utilité pour l'homme, car ils le font familiariser avec les choses qui se rapportent à la vie et à la piété; Généralement dans leurs problèmes, pour que les intérêts de l'éternité soient étroitement liés à eux et en dépendent; Super comme révélant l'un des vivants et du vrai Dieu, la voie de son culte, son fils bien-aimé notre seul Sauveur et le plan de salut par lui.
3. Proportionnellement, le péché de les négliger. Israël, bien que Dieu avait eu des douleurs à leur écrire, les grandes choses de sa loi se tournèrent sur eux comme quelque chose d'étrange dans lequel ils n'avaient aucune inquiétude et avec lesquelles ils étaient peu enclins à interddact et qui, même s'être assisté à , pourrait prouver de petit moment. Ces choses, dans une plus grande mesure et avec une plus grande plénitude, nous ont été remises à nous; Car, bien que écrit il y a longtemps, ils ont été écrits pour notre apprentissage. Quelle responsabilité terrible repose sur nous si nous négligeons ces choses de l'indifférence, ou de les léger de sous-mépris ou refusez d'être dirigées, guidées et régies par eux, ou de les rejeter aussi indigne de notre observance et de notre obéissance, ou aussi inappropriées pour Un âge progressiste et des circonstances actuelles!
Vii. Les services égoïstes sont nuls d'importance. "La plupart des fidèles suivent les devoirs externes de la religion, pas plus loin que leurs propres bouts ne les conduisent; et l'avantage des hommes est le soulevé de toute fausse religion, car ils sacrifient et le mangent.".
1. Ils se sont régalés sur leurs sacrifices. Cela a été admissible dans le cas des offres de paix et des offres de remerciement; Mais dans le cas des offres brûlées, elles étaient entièrement consacrées à Dieu et montait (selon l'importation du nom) dans l'autel-fumée au paradis. Israël n'était pas, il est probable, prudent de marquer la distinction ou de restreindre leur appétit dans l'affaire. C'est juste et approprié que nous devions porter notre religion dans notre entreprise, mais décidément tort de porter notre entreprise, avec toute son égoïsme ou une cupidité de gain, dans notre religion.
2. Leur culte était un service sans vie, moins de l'âme et non spirituel. En plus d'être offert au mauvais endroit et par les mauvaises personnes - c'est-à-dire aux endroits interdits et par des personnes non autorisées, telles que les prêtres de Jeroboam, ils ont été offerts sans le bon objectif ni la fin droit, ni une véritable dévotion d'esprit. C'était un seul culte externe, sans affections spirituelles, ni dispositions spirituelles, ou vie spirituelle; et donc de tels sacrifices voulaient les qualités appropriées et les caractéristiques nécessaires du sacrifice; En fait, ils n'étaient que la chair et les victimes que des carcasses que, par conséquent, le Seigneur ne pouvait pas les éloigner; Il les a acceptés non.
3. Un esprit approprié, un cœur pur et des mains propres figurent parmi les conditions de service acceptable. Dieu, par le prophète Isaïe, après avoir affirmé son respect pour lui qui est pauvre et d'un esprit contrit, et tremblant au mot divin, ajoute-t-il au caractère opposé, "celui qui tue un bœuf est comme s'il se couche un homme ; Celui qui sacrifie un agneau, comme s'il coupait le cou d'un chien; il propose une oblation, comme s'il offrait le sang de Pornet; il a brûlé de l'encens, comme s'il bénit une idole. " Donc, dans le Nouveau Testament, nous devons présenter un "service raisonnable" ou un service dans lequel l'âme et l'esprit sont engagés, par opposition à ce qui est simplement arrivé et corporel. 4. Les services sans halltion rappellent que Dieu des infractions des fidèles, dont les péchés en conséquence se souvient, de ne pas les pardonner, mais de les punir. Le Dieu qui les a rachetés et les a apportés d'Égypte les renvoyera dans la servitude, en Assyrie ou ailleurs, égale ou pire que celle de l'Égypte. Certaines littéralement et réellement sont allées en Égypte et ont trouvé une tombe là-bas.
Israël et Juda dans la transgression.
Dans ce verset de clôture du chapitre, Dieu emmène Juda à la tâche aussi bien que Israël pour l'oubli de Dieu; Alors que cet oubli de son fabricant de la part d'Israël s'est manifesté dans l'idolâtrie, et donc dans la construction de temples d'idoles, mais de la part de Juda par des confidences charnelles, et de multiplier les villes clôturées. Celui qui a mis en place des idoles m la place de Dieu, l'autre confiée à des moyens extérieurs de défense et de sécurité au lieu de faire confiance à Dieu; Ainsi, le cœur des deux était loin de Dieu et le souvenir de son nom. Le péché ici enregistré ici s'est produit dans le règne d'Achaz, qui cherchait à sécuriser Juda par des villes fortifiées, redoutant des incursions d'Assyrie ( Ésaïe 22: 8-23 ). La punition a été infligée par Sennacherib ( Ésaïe 36: 1 ).
Homélies par C. Jerdan.
Une trompette de jugement.
Dans ce passage, l'annonce du destin d'Israël est encore plus directe qu'il n'y avait jusqu'à présent été. Jusqu'à présent point, le message du prophète a été principalement celui de plainte, avec une menace de punition à l'avenir; Maintenant, cependant, il parle du jugement que de tomber immédiatement sur la nation pécheur.
I. La proclamation du jugement. (Osée 8:1) La hosea est ici brusquement adressée par l'Esprit comme sentinelle ou gardien. Étant l'héraut de Jéhovah, il doit proclamer avec la trompette de prophétie l'approche proche du jour de la vengeance. Son message immédiat est que Shalmaneser, le roi assyrien, va bientôt descendre sur Israël comme avec le swoop de l'aigle, et de porter les dix tribus captives. Au-delà de cela, cependant, et un peu plus de cent ans plus tard, Néboluadnetsar, "un grand aigle avec de superbes ailes" ( Ézéchiel 17: 3 ), est de tomber de la même manière sur Juda. Et pourtant encore, à l'année 70 ajustement; Quand Jérusalem sera devenu une "carcasse", les aigles romains sous Titus se rassemblent autour de lui, perchent victorieusement sur la crête de Moriah et enlèvent des Juifs "à la fois leur place et leur nation". Au moyen de tels jugements, c'était la merveilleuse prévision de Moïse à remplir, dans laquelle le Seigneur a menacé de "apporter une nation contre Israël de loin, aussi rapide que l'aigle flieth" (Deutéronome 28:49
II. La cause du jugement. C'était l'apostasie. Ceci est généralement indiqué dans le verset 1, et plus spécifiquement au verset 4. Israël avait "transgressé l'alliance" (verset 1) que Jéhovah avait fait avec eux à Sinaï; Ils l'avaient fait par «intrusion contre sa loi», comme écrit dans «le livre de l'alliance» ( Exode 24: 7 ). Ils avaient abandonné Dieu de deux manières: en se rebellant contre la maison royale de David et en rejetant l'ordre sacerdotal de Aaron (verset 4).
1. Israël a maintenu un royaume schismatique. En révoltant à Jéroboam, ils ne consultaient que leur propre volonté de soi pervers, et non la volonté de Jéhovah. Au cours des deux cent cinquante ans que le Royaume-Nord a duré, le trône était occupé par six dynasties misérables ou plus, et par dix-neuf monarques malheureuses, qui ont tous des apôtres de Dieu et de Tyrans sur le peuple. Pas l'un des rois des dix tribus n'a Jéhovah reconnu comme son vice-vitent. Les détrônements et assassinats et usurpations se sont succédés et il "le savait pas".
2. Israël a embrassé une fausse religion. "Ils leur ont fait des idoles" et se sont égarés dans le culte du veau et le culte de Baal. L'apostasie politique a non seulement conduit à l'adoption de ces pratiques païennes; Les tribus, en dehors de cela, avaient à cette période de leur histoire, de fortes tendances à l'idolâtrie. Les gens ont trouvé agréable d'employer comme des objets de culte ce qu'ils pouvaient voir et toucher. Ils désiraient être comme les nations qui les entourent qui servaient des images gravailleuses. Ils ont donc donné librement leur richesse (verset 4) pour la maintenance de leurs temples d'idole. De notre époque, le prophète du Seigneur doit également pointer sur l'apostasie de lui comme cause de ruine spirituelle. La trompette de l'Évangile consiste à souligner le conseil de l'apôtre, «petits enfants, gardez-vous d'idoles» ( 1 Jean 5:21 ). La chaire devrait avertir les hommes que le seul résultat de la création de la créature de manière persistante - qu'il s'agisse de l'argent, de l'alimentation ou de la renommée, ou de tout amour terrestre - à la place du Créateur, sera la perte irréparable et la honte éternelle de l'âme.
III. Le faux plaidoyer que Israël utiliserait pour obstruer le jugement. (Vers 2, 3) Leur affliction conduirait les personnes à prier et à plaider pour que "nous, Israël, je t'ai su." Mais une telle déclaration de leur part était prétentieuse et hypocrite. C'était sans importance, et il serait inutile. Pour, après tout, il ne reposait que sur leur descente naturelle comme la race choisie et sur les informations historiques sur Dieu qu'ils possédaient. Le plaidoyer est que le Seigneur doit protéger son propre peuple; Mais il ne reconnaît pas comme tel ceux qui ne peuvent rien dire de plus que cela "ils ont Abraham pour leur père". Il considère la connaissance de lui-même comme une connaissance décédée. Israël "professait qu'ils savaient Dieu, mais dans des œuvres, ils l'ont nié" ( Tite 1:16 ). "Israël a rejeté bien" (verset 3) - heures de la part de lui avec de la détention et du mépris. Il avait rejeté le salut de Dieu, en "transgressant son alliance", de quoi il s'était séparé de la dynastie de David et de la maison sacerdotale d'Aaron. Et il avait rejeté Jéhovah lui-même comme le chef principal, en cherchant une partie pour lui-même dans l'idolâtrie. Inévitablement, donc "l'ennemi le poursuivra;" L'assyrien doit écraser le royaume du nord sous son talon de fer et la détruire complètement. Mais ces versets sonnent toujours dans nos oreilles l'avertissement, de faire attention auxquels nous avons confiance en privilège spirituel, comme si c'était une piété personnelle; ou dans la foi de nos ancêtres pieux, comme si cela pouvait nous être imputé; ou dans notre connaissance de la théologie simplement, comme si c'était synonyme de la religion cardiaque. Il y a une forte tendance à la nature humaine vers une telle confiance en vain; Et Satan nous plie avec des tentations subtiles dans cette direction. Le Seigneur Jésus nous a averti que lorsque la dernière "trompette" doit être retenue, l'anticialisation de la grande assise est tenue, ce même faux plaidoyer sera présenté par des multitudes (Matthieu 7:22;
Pécher sa propre punition.
Ces versets présentent.
(1) la racine de Viz. Oublie de Dieu ( Osée 8:14 );
(2) sa folie (Osée 8:6);
(3) son fruitier ( Osée 8: 7 ); et.
(4) La ruine qu'elle implique (Osée 8:8, Osée 8:10, Osée 8:13 , Osée 8:14).
Mais peut-être que la pensée la plus importante dans le passage est celle de la nature auto-punition du péché, comme illustré dans le début de l'histoire et les plus tard fortunes d'Ephraïm. Nous voyons ce fait reflété-
I. Dans le culte national du veau. (Osée 8:5) Samaria avait «jeté de bien» (Osée 8:3) en au départ du pur rituel que Jéhovah avait prescrit; Et donc le "veau" qu'elle avait installé et dans lequel elle glorie, avait "la jeter." Il n'y avait aucune aide dans le Dieu d'or pendant la crise du péril du pays. Comment pourrait-il y avoir? -Pour "L'ouvrier l'a fait." Au lieu de cela, d'interposer pour sauver leurs fidèles d'exil, les deux veaux ont été emmenés eux-mêmes à Ninive comme un butin. Tiglath-Pileer cardé le mollet de Dan et Shalmaneser celui de Bethel. Le culte des images de Jeroboam a prouvé la ruine de la nation. C'était un semis du vent. Pour la violation du deuxième commandement a ouvert la voie à la violation de la première et d'outrage de l'ensemble du décalogue; puis Israël "récolté le tourbillon".
II. Dans la multiplication des autels et des sacrifices (
III. Dans les flirtes politiques avec Assyrie. ( Osée 8: 8-28 ) encore et encore le royaume d'Israël s'est efforcé de se renforcer en abjecte du vassalage abjecte au roi d'Assyrie et en payant lourd hommage à acheter ses armées envahissantes. À cette politique de politique adultère se réfère dans les mots "Ephraïm a embauché des amoureux". Mais ces expédients, jusqu'à présent de contribuer à la sécurité de la nation, servaient plutôt à précipiter et aggraver sa ruine. Tout d'abord, l'hommage imposé à la population les a causés à «chagrin» (verset 10); Et enfin Israël était entièrement "englouti" par l'envahisseur. La nation est devenue, dans son obstination têtu de la désobéissance, comme le «cul sauvage» solitaire du désert; Et il est tombé une proie facile au lion assyrien.
Iv. Dans la confiance des personnes dans les défenses matérielles. Une ville fortifiée est certainement un lieu de refuge de l'hôte envahissant. Mais la devise d'un tel devrait être "Nisi Dominus Frustra;" Pour, "sauf le Seigneur conserve la ville", il sera assez sans défense, malgré ses fortifications. Les remparts de Juda n'étaient pas le Seigneur; Ils ont donc attiré les bondes de Thunder de la vengeance divine et étaient enfin brûlés de feu par Sennacherib (2 Rois 18:13), et par Nebucadnetsar (2 Rois 25:9, 2 Rois 25:10). Ses villes et ses tours avaient été érigées, semblables à Babel, en confiance en soi. Et ainsi, ils deviennent finalement sa destruction.
CONCLUSION.
1. Ce qui était vrai d'Ephraïm sera vrai aussi d'Angleterre, si tôt que la vie nationale de notre terre ressemblera à son. Si nous prétendons que les promesses spirituelles apportées à Ephraïm s'appliquent à l'Angleterre, nous devons également reconnaître que les dénonciations dirigées contre Ephraïm peuvent également être méritées par l'Angleterre.
2. Si le péché de Ephraïm s'est avéré être sa propre punition, c'est la même chose avec celle de chaque pécheur. La rétribution échoue sur le mauvais arbitre au cours du droit naturel. Pour la Providence, c'est juste et "de nos vices agréables fait des instruments pour nous faire face." - C.J.
Récolter le tourbillon.
La figure ici est extrêmement frappante; C'est l'un des images les plus fortes et les plus vives des images de Hosea. Il suggère la folie et la responsabilité de la vie d'une vie de péché; Ceux qui vivent une telle vie "sèment le vent". Et il souligne le fait que, tandis que la récolte doit être la même en nature que la graine semée, l'augmentation sera formidable, à la fois en force et en volume. Le tourbillon des larmes du désert avec un rugissement comme une cataracte et porte dans ses ailes destructions violentes et balayantes; C'est donc une métaphore en forme pour la question d'une carrière de péché nous demandons de savoir qui sont certains de ceux qui récoltent ainsi.
I. Idoléaters. C'est de tel que le prophète parle plus immédiatement. Les habitants des dix tribus étaient "semis le vent" quand ils ont prié les veaux d'or pour des récoltes abondantes; Et ils «récolteraient actuellement le tourbillon« dans le siège de Samarie de trois ans de Samarie par Shalmaneser, dans les expulsions successives en exil et dans la dernière ruine de la nationalité d'Ephraïm. La génération qui est sortie de l'Égypte auparavant, sept siècles avant avait récolté une victoire triste du culte du veau à Horeb. "Il est tombé des gens ce jour-là environ trois mille hommes" ( Exfode 32:28 ). Et depuis ce temps, les idolâtres d'Israël avaient été un chagrin debout à Jéhovah, leur Rédempteur ( Psaume 81: 8-19 ); Jusqu'à longueur, il n'y avait rien que pour cela, mais les deux ouragans de captivité, qui ont respectivement balayé les dix tribus en Assyrie et les deux restants dans Babylone. Tous les hailles, de plus, "récolte le tourbillon" toujours comme le fruit de ses idées - une récolte (comme Paul nous dit dans Romains 1:18) de corruption morale et de vileness, surplombé par le nuage de tempête de la colère divine.
II. Despotes. Le tyran fait une idole de son propre mauvais volonté et "sème le vent" de l'ambition, de la fierté et de la vain-gloire, et de ne pas tenir compte des droits des autres. L'histoire universelle Teems avec des illustrations du fait que ces rois et ses grands-chefs de la terre qui ne donneront pas à Dieu la gloire sont condamnés à récolter une récolte de tourbillon. Prendre, par exemple; De l'histoire sacrée des cas tels que Pharaon, Achab et Jezebel, Sennacherib, Haman, Hérode. Ou, de l'histoire du profane, de telles illustrations que les rois Stuart de l'Angleterre, les rois de Bourbon de la France et le destin des deux Napoléons, certains tyrans ont prévu la récolte avant de commencer à être rassemblés; comme Louis XV; Quand il a dit à ses courtisans, "après moi, le déluge".
III. Parents négligents. Tous ceux qui négligent l'éducation pieuse de leurs enfants "sèment le vent". Il existe des chefs de ménages bien significatifs qui ne maintiennent pas un gouvernement ferme et résolu, ainsi que gentiment de gouvernement. Ils permettent à leurs jeunes de chérir la volonté de soi, ou de suivre plaisir comme si c'était l'affaire de la vie et de négliger d'exercer une contrainte dûment contraire. C'était le péché d'Eli (1 Samuel 3:13); Et il a sauvé la tornade dans la disgrâce qui a donc été apportée à la prêtrise, ainsi que la destruction de sa propre maison. Il y a aussi des parents qui, dans leur propre caractère personnel, ne donnent pas un exemple de pieux cohérent avant leurs fils et leurs filles. Le grand péché de David a impliqué le mal sur sa famille comme un tourbillon; Certains de ses fils sont devenus des flèches dans son cœur, au lieu de "flèches dans sa main". L'historien nous montre le pauvre roi enlevant sa récolte de la scène pathétique dans laquelle il a béfait le destin d'Absalom ( 2 Samuel 18:33 ),.
Iv. Hommes vicieux. Le jeune homme qui "gaspille sa substance avec une vie rioteuse" a sa carrière décrite dans notre texte. En suivant l'impulsion de ses passions chaudes, il "sème le vent". Le sensualiste, l'ivrogne, le joueur, -Comment tout leur semis "à leur propre chair"! Et quelle récolte de tourment et de terreur et de honte qu'ils sont obligés de récolter! Cela a été tellement avec des hommes du génie le plus brillant, comme par exemple. les poètes byron et brûlent. Une carrière de plaisir pécheur produit le tourbillon comme sa récolte naturelle. Il sape les fondements de la moralité dans l'âme (Osée 4:11). L'épitaphe appropriée pour une telle vie est, d'un côté de la pierre tombale, "vanité de la vanité;" et de l'autre, "vexation de l'esprit".
V. Tous les incroyants. Car même l'homme du bon caractère moral "sème le vent", s'il néglige le salut de Jésus-Christ. Chacun qui vit sans Dieu est sans espoir. Celui qui croit que la seule vraie vie est une vie de sens et qui ferme donc les yeux sur le monde de l'invisible, sera un jour complètement non reconnu. Ce n'est pas un tourbillon surviennent dans sa conscience au cours de la vie actuelle, il se retrouvera, lorsqu'il passe dans l'éternité, aussitôt impliqué dans d'énormes couronnes de tempête. Il "va manger du fruit de sa manière" et sa "destruction" viendra comme un tourbillon "(Proverbes 1:24-20). Quelle terrible tempête est "la colère de l'agneau" (Apocalypse 6:12). Pourtant, les impies serons exposés à toute sa fureur. Ils doivent "récolter le tourbillon;" ou plutôt, le tourbillon les récoltera; Ils sont "comme la paille que le vent passe loin" (Psaume 1:4).
COURS.
1. Cette vie est la période de semences de l'éternité et tous sont des semences.
2. La récolte dépend de la graine; D'où l'importance de semer de bonnes graines.
3. Semer le péché est une politique d'engouement misérable; C'est comme "semer le vent".
4. La récolte du péché n'est pas seulement sans effet profit, mais fantastique et destructive; C'est "le tourbillon".
5. Tous les hommes ont "semé le vent", pour tous les pécheurs; Mais il y a "un homme" qui est capable de nous abriter du tourbillon ( Ésaïe 32: 2 ) .- C.J.
Sainte Écriture et la négligence de l'homme.
La plainte contenue dans ce verset peut raisonnablement être adressée à des multitudes. Avec encore plus de raisons, en effet, qu'à éphraim, sept siècles avant Christ; Pour notre bible complétée contient une révélation beaucoup plus riche de la vérité divine que ces dernières écritures qui sont mentionnées ici.
I. Grand cadeau de Dieu de Sainte Écriture. "Je lui ai écrit les grandes choses de ma loi.".
1. Quelle est la "loi" de Dieu? Le mot est utilisé dans divers sens. Parfois, il désigne les dix commandements seuls; Parfois, les cinq crochets de moïse distingués des prophètes; Parfois, l'économie de la mosaïque, en distinction de l'Évangile; et parfois toute la volonté de Dieu telle que publiée dans Sainte-Brite pour déterminer la foi de l'homme et contrôler sa conduite. La hoseée dans ce verset, sans aucun doute, désigne immédiatement le pentateuque; Mais, en appliquant le passage à nous-mêmes, nous devons étendre l'application du terme "loi" afin qu'elle couvre toute la Bible.
2. Quelles sont les "grandes choses" de la loi de Dieu? Celles-ci ne peuvent être rien d'autre que ces questions qui constituent la substance de la révélation. La Bible décrit des vérités qui sont:
(1) grand en eux-mêmes. Le livre est une révélation de Dieu - sa nature, sa trinité dans l'unité, ses voies de la Providence, son amour aux pécheurs. Il dévoile à l'homme sa propre origine et son destin; lui montre la grandeur de sa nature, malgré ses ruines; le fournit avec le niveau idéal de la pureté morale; et satisfait ses aspirations les plus proches. Le livre grapple avec le problème du péché et révèle la voie du salut, à travers la médiation du Fils de Dieu, son incarnation, son obéissance à la mort, sa résurrection et son exaltation (1 Timothée 3:16
(2) Grand de leur importance pour l'homme pour la Bible dit à l'homme ce qu'il a le plus besoin de savoir, afin de bien être le bien-être. Il répond à tous les besoins de sa nature multiple - son désir de connaissances, son admiration de ce qui est noble, son désir après la sympathie, son besoin de repos intérieur, sa faim pour l'immortalité. Sainte Écriture est une lampe à ses pieds. C'est le magasin de sa nourriture spirituelle. C'est la fontaine de la vie (voir Psaume 19: 7-19 ).
(3) grand dans leur exhaustivité. Certains lisent donc la clause: "Je lui ai écrit les myriades [ou," les plénières "] de ma loi;" La référence étant aux ordonnances individuelles presque sans nombre liées aux institutions de la mosaïque. Cette pensée pourrait bien nous rappeler les approvisionnements inépuisables de la connaissance de toutes sortes de faits, de doctrines, de principes éthiques, de préceptes, de promesses, de prévisions, etc. - qui sont stockées dans Sainte Écriture. Le livre évacue sa grandeur à cet égard, qu'il nous procure des règles et des orientations pour sortir de la vie en toutes circonstances.
3. Dans quel sens Dieu a "écrit" ces grandes choses? Dans le même sens, sûrement, dans lequel un homme révèle ses pensées à travers le médium de ses écrits. Le Seigneur lui-même est l'auteur de la Bible. Ses enseignements reposent sur son autorité. Tout ce qui est déclaré que les hommes inspirés font partie de la vérité divine ou de l'obligation humaine, Dieu déclare être telle. Les chrétiens peuvent et diffèrent des théories de l'inspiration, mais chaque croyant accepte le fait que les livres de l'Écriture sont la Parole de Dieu.
II. Négligence honteuse de l'homme de ce cadeau. "Mais ils ont été comptés comme une chose étrange." Les habitants des dix tribus ont traité les préceptes du pentateuque comme si elles étaient une question qui ne les concernaient pas. Sainte Écriture est traitée de la même manière:
1. Par des hommes mondains. Certains refusent de la recevoir comme une révélation divine. Ils rejetent le surnaturel, ignorent tout le royaume de la foi, et particulièrement ne pas aimer les doctrines distinctives du christianisme. Beaucoup d'autres, cependant, ont une croyance intellectuelle orthodoxe) de la Bible comme la Parole de Dieu; Mais leur foi, telle qu'elle est, n'affecte pas la conscience ou le cœur. Lorsqu'ils lisent du volume inspiré, ses mots ne "rentre à la maison à leur entreprise et à leurs bosomes". "Ils ne réalisent pas le grand mal que la Bible est venu guérir, et ils n'ont pas de cœur aux bénédictions qu'il propose de donner. Le film d'une nature tombée, autonome, est sur leurs yeux alors qu'ils ont lu" (Dr. John Ker). Ils négligent donc «les grandes choses de la loi de Dieu» pour les petites questions de sens et de vanité mondaine. Beaucoup ne voient aucune autre grandeur dans la Bible que sa beauté littéraire. D'autres le prient simplement comme un livre de la culture morale et rien de plus. La révélation divine de Baser Trier profane en plaisantant avec ses sujets saints et en utilisant ses mots les plus sacrés comme des serments inactifs.
2. Par de nombreux chrétiens professant. N'y a-t-il pas tel, à qui la Bible est "une chose étrange", parce que le), très rarement assis pour le lire? Et de ceux qui lisent régulièrement "leur chapitre", combien de choses ne sont-elles pas simplement pour apaiser la conscience et faire donc peu ou aucun effort pour comprendre le sens des passages! Certains croyants sincères confinent leur attention sur quelques chapitres pour animaux de compagnie qui contiennent ce qu'ils appellent "l'évangile simple" et ignorent le reste, bien que les Écritures soient pleines de "la sagesse de manifold de Dieu". Cette très prophétie de la hoseée, comme on l'a dit, est "trop souvent un puits désert"; Mais ceux-ci, cependant, qui viennent et qui l'attrapèrent le trouvent rempli d'eau vivante. L'un des désirs de l'âge des chrétiens professants est une connaissance plus adéquate avec le contenu de la Bible. L'homme qui apprécierait la robustesse de la vie spirituelle doit étudier le livre des Écritures par livre, qu'il peut discerner la dérive et la portée de chaque livre, appréhendez son endroit particulier dans le schéma de vérité, et en même temps approprié et assimilant son enseignement pour la nourriture de son âme.
III. Comment nous devrions utiliser Sainte Écriture. (Voir le catéchisme plus court de Westminster, question 90) Si nous éviterions la censure de ce texte, nous devons:
1. Recevez le livre avec un cœur cru et reconnaissant; Traitez-le avec une profonde respect comme mot divin; et faire quels efforts nous pouvons pour le distribuer dans le monde entier.
2. "Rechercher les Écritures" avec régularité et système, que notre connaissance intellectuelle et avec eux peuvent être à la fois précises et complètes.
3. Méditer sur l'enseignement de la Bible avec l'application de soi de nos heures de loisirs, que nos esprits peuvent être imprégnés de ses principes de vérité et de devoir et que la conscience et les affections et deviendront soumis à leur pouvoir.
4. "Garder" la Parole de Dieu dans notre dalle agit et dans les habitudes que nous formons, de sorte qu'elle puisse mouler notre personnage et nous faire semblant du Christ. "Ma mère et mes frères sont ceux qui entendent la Parole de Dieu, et le font" (Luc 8:21).
5. Et dans toute notre utilisation des Écritures, nous devons prier pour l'aide promise du Saint-Esprit, sans laquelle nos meilleurs efforts seront en vain.-C.j.
Homélies de A. Rowland.
Sur connaître Dieu.
L'ignorance de Dieu ou de l'oubli de celui-ci conduit à la dépravation morale. Cela peut être illustré à la fois par l'histoire nationale et par une expérience individuelle. Israël était un exemple de cette vérité. Les gens avaient abandonné Dieu, s'étaient tournés vers des idoles et étaient donc calcinés dans la licence de culte païen. Leur seul espoir de restauration morale et de bénédicess futule se déroule dans l'accomplissement de la promesse, "Israël va me pleurer, mon Dieu, nous savons toi." La converse de notre première déclaration est également vraie. La conscience habituelle que Dieu est proche ne peut que la simplicité, la dignité, la révérence et la sainteté à la vie. C'était la source de la magnanimité d'Abraham, de la pureté de Joseph, de la dignité de Moïse, de l'héroïsme de Daniel. "Ils ont enduré comme le voyant qui est invisible." Notre espoir est à trouver dans la même source: «C'est la vie éternelle, qu'ils pourraient vous connaître», etc.
I. Les moyens de savoir Dieu. Ils peuvent être vus dans l'expérience de Jacob, qui a d'abord gagné pour lui-même le nom "Israël".
1. La repentance est la première étape de ces connaissances. Personne ne peut voir la bonté tout en regardant le péché ou connaître Dieu tout en absorbé par soi. Un changement moral, pas un mental, est requis de nous à partir d'Israël. L'enseignement de Christ n'était pas trop abstrus pour la compréhension, mais il était trop divin pour ceux absorbés dans la terre. Ses ennemis "aimaient l'obscurité plutôt que la lumière, parce que leurs actes étaient pervers." Paul était entouré d'hommes de culture, mais a déclaré «l'homme naturel reçoit pas les choses de Dieu ... Ni les connaissez-vous, car ils sont disquilibrés spirituellement». John savait les avantages de l'étude intelligente, mais a-t-il déclaré: "Celui qui n'aime pas ne sait pas Dieu." Le changement de péché à la sainteté implique, dans le domaine spirituel, le changement de l'ignorance à la connaissance. Exposez ceci dans la vision Jacob avait à Mahanim. Il connaissait le nom de Dieu après qu'il s'était repentré de son vieux péché contre Esaü et de la subtilité habituelle qu'elle a révélé. Puis comme Israël, il pouvait dire: "Mon Dieu, je me connais.".
2. La prière est le tollé de la repentance. "Israël va me pleurer." Nous connaissons un homme de la camaraderie avec lui et nous pouvons donc connaître Dieu; Et celui qui parle souvent à Dieu le sait le mieux. Comment infinie la condescendance qui le permet, l'amour qui l'encourage! Aucun ne peut faire connaître Dieu à d'autres à moins qu'ils ne le connaissent eux-mêmes. D'où le besoin spécial de prière de la part de tous ceux qui parlent de lui. Les professeurs divins de la course ont été ceux qui sont venus de la présence de l'éternel. Illustrations trouvés dans le Grand Lawgiver, qui avait parlé à Dieu à Midian et au Sinaï; À David, dont les psaumes montrent l'agonie de sa prière, l'intensité de son culte; dans les prophètes, qui ont vu des visions de Dieu; Dans les apôtres, qui ont été préparés au service en étant avec Jésus et non par la culture rabbinique; Dans les réformateurs et autres, dont le pouvoir spirituel a été proportionné à leur intimité avec Dieu. Si tous professants chrétiens pouvaient dire: «Mon Dieu, nous nous connaissons», un prêtrise humain serait supprimé et le scepticisme du monde serait paralysé. C'est vrai de cette connaissance, à partir de toutes les bénédictions supérieures, "qui demande-t-il reçoit.".
II. Les joies de savoir Dieu.
1. Le sentiment de relation personnelle avec lui. "Mon Dieu." Celui qui peut dire: "mon Dieu" implique de telles bénédictions:
(1) tu es le pardon de mon péché; par exemple. David dans Psaume 51:1.
(2) Le porteur de mes charges: Esther et Néhémie.
(3) La source de ma force: Paul, "Je peux faire toutes les choses", etc.
(4) Le lieu de ma sécurité: Noah et Elie.
(5) Le printemps de mon espoir: John à Patmos.
(6) Le couronnier de ma vie: Paul, "désormais là-bas est mis en place", etc.
2. Le sens de la sainte association. "Israël va pleurer." Dans ce cri, les habitants du temps de la hosé étaient associés à leurs ancêtres. Le Dieu de leurs pères était leur Dieu. Il est le même hier et aujourd'hui et pour toujours. D'où l'utilité des histoires des Écritures, qui nous disent ce que Dieu a été à d'autres. Habiter sur les avantages de l'histoire et des souvenirs du passé. Montrez comment les saints étaient habitués à se renforcer pour leurs besoins actuels en rappelant une aide antérieure. David a rappelé son expérience comme un berger; les exilèrent leur ancienne gloire; Les Juifs leurs premières délivrances, etc. La camaraderie chrétienne élargit les possibilités de cela. L'expérience d'un est enrichie par les souvenirs des autres. La joie du ciel consistera en partie dans les souvenveurs des échantillons de la gentillesse de Dieu. Les associations avec Saintly sont les plus nobles et les plus respirantes.
III. Les responsabilités de savoir Dieu. Ils le connaissent sont appelés:
1. Attendre sur lui dans une prière humble. S'il s'agit de Dieu, il exige notre hommage constant.
2. Servir lui avec un cœur fidèle, sans réserve de pensée, ni de souhait, ni d'amour.
3. Apprendre de lui par une pensée constante. À celui qui le connaît qu'il dit: "Je vais te guider avec les yeux de la mine." Son regard, son murmure, suffit pour nous.
4. Pour le représenter par la vie consacrée. Quand Moïse venait de la présence de Dieu, son visage brillait de lumière céleste. Lorsque le Sanhedrim a vu le courage et la sagesse de Peter et de John, ils ont vu qu'ils avaient été avec Jésus. Alors celui qui est habituellement avec Dieu aura sur lui quelque chose de l'atmosphère du ciel et de l'esprit du Christ.
CONCLUSION. "Aucun homme ne sait que le père mais le fils, et lui à qui le fils le révélera." - A.R.
La moquerie du péché du pécheur.
"Israël a rejeté la chose qui est bonne .... Ton veau, O Samaria, a jeté." Le pouvoir de l'humain choisira de choisir le bien ou le mal. Cela a été mis en évidence par les tuyaux de représentation donnés à un peuple résolu sur l'iniquité, que Dieu avait envie de sauver. Se référer à l'enseignement de notre Seigneur sur ce sujet; par exemple. "Vous ne viendrez pas à moi que vous pourriez avoir la vie;" Ou ", à quelle fréquence aurais-je rassemblé tes enfants ensemble comme une poule munie de sa couvée sous ses ailes, mais vous ne le feriez pas!" Appel à l'expérience de la preuve de notre pouvoir de recevoir ou de rejeter le bien. Notre texte décrit un choix fallacieux, pécheur et fatal. Le péché pour lequel le sacrifice a été fait finalement sacrifié le pécheur. Regardez les deux côtés de cette image morale.
I. La chasse du bien. "Israël a rejeté la chose qui est bonne." Illustrer cela par une délimitation de la condition dépravée d'Israël à cette période. Montrez que ce qu'ils portaient est toujours éteint par des multitudes dans la vie moderne; par exemple.:
1. Faites confiance en la proximité de Dieu. C'était la perte de ce qui a conduit Israël à former des alliances fatales avec les païens. Dans notre jour, le matérialisme et le positivisme sont énervants et détruisent parfois la foi. Le symbole du spirituel devient le remplaçant, cela peut être traqué à la fois dans les enseignements d'une école de philosophie et de la sensuité du culte ritualiste. Beaucoup ont jeté la vieille foi - "La chose qui est bonne" -Sead de croire où ils ne peuvent pas prouver.
2. Fidélité en témoignant pour Dieu. C'était la gloire d'Israël à proclamer, à la fois par son culte et son histoire, l'unité, l'invisibilité et la sainteté de Dieu. En se tournant vers le culte des idoles visibles, diverses dans leurs attributs, mais toutes hideuses dans leur impureté, ils avaient délibérément répudié cette commission divine. Il s'agit toujours de la dignité particulière de l'homme de comparaître comme le témoin et l'adorateur de Dieu, sur l'image de laquelle il a été créé et sur lesquels il gouverne. Pre-éminemment, il peut être le témoin divin par le caractère moral et la vie spirituelle qui se dirigeait par l'Esprit divin, qui nous conforme à l'image du fils de Dieu. La chute de ceci, l'homme échoue (comme Israël a échoué) de remplir son destin. Par conséquent, en proportion d'un homme refuse la grâce de Dieu, il jette la chose qui est bonne.
3. obéissance à la loi de Dieu. Montrer de l'histoire païne et de la condition des païens modernes, ainsi que de la dégradation croissante de ceux à qui les tuyaux ont parlé, cette idolâtrie apporte une détérioration morale. L'homme qui ignore la première table de la loi va de nécessité ignorer la seconde également. La foi religieuse et la droiture morale se présentent ou tombent ensemble. Lorsque Israël se tourna de Jéhovah à Baal et Astarte, la nation est progressivement devenue fausse, à la recherche de soi, ambitieuse dans ses alliances politiques et corrompue hideusement dans sa condition sociale intérieure. Israël avait jeté la chose qui était bonne.
4. La loyauté envers sacré résolve. Les gens semblaient souvent se repentir, mais leur bonté était transitoire comme le nuage du matin. À quelle fréquence les impressions de droite et même des voeux saintes sont jetées! Comment jalonnablement tous devraient se protéger contre l'influence subtile d'une vie occupée ou d'un plaisir séduisant, ou d'une camaraderie mal choisie! Il y a beaucoup de gens dont les cœurs sont difficiles et dont la vie est sans Dieu, respectant qui, à la mémoire de leur promesse précoce, elle peut être vraiment et tristement dit: "Ils ont jeté la chose qui est bonne.".
II. La chasse du pécheur. "Ton mollet, o Samaria, a jeté" ". L'histoire montre qu'Israël a été ruinée par la confiance en Égypte et à ses propres prouesses martiales, au lieu de se confier à Dieu et simplement à faire de la justice. Les paroles de Jérémie ont été remplies ", maudit est l'homme qui fait confiance à l'homme et fait la chair de la chair de son bras et dont le cœur déterra du Seigneur." Jetai bien, Israël a été jeté par le mal. Voir combien de fois ce principe est illustré dans la sphère large de la vie humaine. Que quelles hommes mettent à la place de Dieu tôt ou tard les échouent.
1. Les plaisirs ne parviennent pas à donner satisfaction. Lorsque l'âme tente d'étancher sa soif avec ces paroles d'Esaïe sont remplies ", il sera même comme quand un homme affamé rêve et, voici, il mange; mais il se réveille et son âme est vide." L'éveil vient finalement à chaque homme, et c'est bien quand il ne vient pas trop tard.
2. L'intellect ne parvient pas à trouver la vérité spirituelle. Les choses spirituelles sont spirituellement discernées et les troubles de beaucoup de gens résultent du fait qu'ils ont jeté le joug de lui qui seul a été capable de dire: "Je suis la ... la vérité.".
3. La simple justice ne parvient pas à apporter le salut. Voir les mots de notre Seigneur respectant les pharisiens. La maison construite sur le sable se tient côte à côte avec la maison fondée sur le rocher; Mais le temps d'essai vient aux deux.
4. Le monde ne parvient pas à se permettre une maison. Que nous le ferons ou non, le monde doit nous échouer enfin. Si nous en faisons notre serviteur, nous régnerons comme des rois; Si nous en faisons notre Dieu, dans notre heure d'impuissance, cela nous jetaira.
CONCLUSION. "Il y a beaucoup de choses qui disent, qui nous montreront de bons? Seigneur, soulevez-vous la lumière de ton visage sur nous." - A.R.
Osée 8:7 (première clause).
Quelle sera la récolte?
Dans les Écritures "Le vent" est un emblème de vanité ou de folie, et "le tourbillon" de destruction soudaine et inattendue. Ici, ce dernier est déclaré être le produit de l'ancien. Comme un "vent" doux peut être le précurseur du "tourbillon", donc la politique insensée d'Israël serait suivie d'une catastrophe sans résistance. Par un changement de figure dans la clause suivante, Hosea annonce que les plans qui semblaient avoir couronnés de succès n'apporteraient aucun avantage ultime. La clause peut être ainsi paraphrasée: "Ce qui est semé ne produit aucune tige, ni même si la tige ne produira pas de grain; ou si oui, cela donne une armée étrangère engloutit." Le principe qui sous-tend cet enseignement est suffisamment évident dans la première clause, dont la considération suggère les vérités suivantes: -
I. que les hommes récolteront comme ils ont semé est une loi divine et universelle.
1. Cette loi est vue dans la nature. Semez le blé et sans autre anxiété, vous êtes convaincu que vous récolterez le blé et non quelque chose d'autre. Et pas en nature seulement, mais en quantité, que ce soit abondamment ou peu peu cher, vous récolterez lorsque vous avez semé. L'enfant est surpris de voir son propre nom apparaître écrit dans la vie verte; Mais celui qui a semé la graine de cette forme ne voit que ce qui est naturel et habituel.
2. Cette loi s'affirme dans la vie sociale. Si une nation permet à ses enfants d'être élevée sans tenir compte des stictities de la vie, il trouve sa rétribution dans des prisons et des asiles surpeuplées, dans l'insécurité politique, dans la peste à la mort, etc. après avoir semé le vent, il récolte le tourbillon. C'est donc avec les méthodes adoptées par la tyrannie despotique. L'histoire montre à quelle fréquence les mesures répressives, des punitions excessifs et incertaines, etc. ont culminé dans le tourbillon de la révolution qui a une société ordonnée et détruite des ordres.
3. Cette loi est visible dans la culture de l'esprit et des occupations de la vie. Contraste le destin de l'écolier montrant indolent avec celui de l'étudiant stable qui pousse annuellement de la capacité intellectuelle.
4. Cette loi ne manque jamais de la sphère morale et religieuse. Supposons qu'un homme ne résout à faire cela qui paiera dans un sens financier. Il aboutit délibérément la justice pour l'opportunité, la résolution de tous les coûts pour gagner de la richesse. Il le gagne. Il récolte selon la graine qu'il a semée, mais ce n'est pas étonnant si dans son être moral, il est "donné à un esprit de reprobation". D'autre part, l'homme religieux abandonne une pratique rentable car il le croit immoral. Le résultat est qu'il n'empêche pas de récolter des richesses parce qu'il ne l'a pas semée, mais il récolte le bonheur d'avoir une conscience d'une vidange d'attaque envers Dieu et envers les hommes.
II. Que cette loi s'affirme parfois dans la triste expérience des pécheurs, même dans cette vie actuelle. "Même comme je l'ai vu, ils chargent des inégalités et de la méchanceté, récoltent la même chose" ( Job 4: 8 ). La rétribution vient souvent (comme elle est venue en Israël) à travers le péché qui n'a d'abord apporté que du succès. La vie notoire de James Fisk, de New York, était une illustration remarquable de la Déclaration ", les méchants vont tomber par leur propre méchanceté.".
1. Exemples d'Écriture.
(1) Haman tracé contre Mordecai à sa propre destruction. Son était l'ambition de la voûte qui se chevauche elle-même.
(2) Les ennemis de Daniel étaient eux-mêmes lancés dans la tanière du lion.
(3) Les pharisiens ont constaté que la croix à laquelle ils ont triomphaleusement cloué notre Seigneur était à la fois les moyens de leur confusion et de sa victoire sur le monde.
2. Exemples de l'expérience. Pape alexander vi. Essayé d'empoisonner son ami Cardinal Adrian. À travers l'erreur de son cupbeer, il est lui-même mort par la coupe qui était censée détruire une autre. Le régent Morton était un autre exemple. Donc, Thomas Cromwell, dont Macaulay dit: "Personne n'a jamais apporté une utilisation plus peu scrupuleuse du pouvoir législatif de la destruction de ses ennemis;" Et c'était par ces moyens, il était lui-même détruit.
2. Les proverbes courants illustrent le texte. "Les cendres volent toujours devant lui qui les jette." "Harm Watch, Catch,", etc. Ainsi, même dans des circonstances extérieures, les paroles du texte ont été remplies; Mais combien plus terriblement dans cette rétribution intérieure qui est voilée même des plus chers amis de la victime! L'anxiété qui craint la détection, la perte de respect de soi, l'horreur d'être seul, l'échec de l'espoir, la peur croissante de l'avenir, a causé de nombreux hommes, même sur Terre, de savoir ce qu'il faut "récolter la tourbillon." Mais observer enfin-
III. Que cette loi va finalement proclamer elle-même avec une distinction indéniable. La rétribution du péché n'est pas toujours vue ici. Les tables humains peuvent être impuissants pour atteindre un délinquant reconnu. La moralité sociale peut être trop dégradée pour réprimander son péché. Pour ces raisons et d'autres raisons, beaucoup de raisons sont nécessairement laissées à l'avenir, lorsque les choses tordues seront faites directement. Peut-être que c'est bien que cela devrait l'être. C'est pour notre profit que nous devrions marcher par la foi et non pas à vue. Dieu n'aijoute pas de douleur instantanée à tous les actes de désobéissance. Il s'occupe de nous comme des hommes, pas comme des enfants. Pour faire raison pas parce que cela paie, mais parce que c'est vrai, est l'obéissance de l'homme sage, pas celle de l'enfant piétté; Et c'est le Dieu le plus élevé cherche jamais. Par conséquent, il s'est contenté de donner quelques signes que sa loi ne peut être brisée en toute impunité, et ceux-ci nous dirigent jusqu'au jour où la justice et la vérité sont couronnées et fausses et fausses maudites au milieu des "amens" de l'univers. Dans de tels événements que ceux auxquels nous avons fait référence, nous voyons quelques oreilles de maturation qui nous disent quelle sera la récolte quand ceux qui ont semé le vent récolteront le tourbillon. Cette expérience, dans la mesure où elle fait référence à la future rétribution, indique:
1. qu'il est soudain à son arrivée. (Voir MTMAT 24: 37-39; Proverbes 29: 1 ; 1 Thesaloniciens 5:2).
2. QU'il ressort dans son approche. Qui peut arrêter le tourbillon (voir Psaume 1: 4 ; Apocalypse 6:15)?
3. qu'il est terrible dans ses effets. Comparez la destruction des œuvres d'hommes par un tourbillon, avec la désolation des espoirs de Wiltlings de la mort.
CONCLUSION.
1. Montrez à quel point la connexion entre cette vie est-elle proche. C'est la récession de ce semis. Par conséquent, n'attendez pas la récolte avant de commencer à semer la justice.
2. Montrez ce qui est possible, à travers la bonté de Dieu, de récolter une récolte. Les deux personnages chrétiens et du travail chrétien, la promesse est vrai: "Il sème et celui qui réapparaît se réjouira ensemble." - A.R.
L'inspiration des Écritures.
Ceci est une déclaration emphatique de l'origine divine des Écritures. Si cela nécessitait l'énoncé de la journée de la hosae, cela exige également notre considération sérieuse. L'accessibilité et le pastant de la parole de Dieu ont eu tendance à sa négligence. Parce qu'il est moins rare, il semble beaucoup moins précieux. Dans le règne d'Edward I. Une copie coûterait 37 £ et un ouvrier n'a gagné que trois demi-pence que son salaire quotidien, il lui représentait le produit de quinze ans de travail. Comme c'est différent maintenant! L'abondance de la littérature religieuse et autres a également fait quelque chose pour détourner l'attention de la Bible. Dans la peur de ce Luther souhaitant que ses propres livres soient brûlés: "Parce que," dit-il ", je crains que ceux-ci devaient gêner les hommes de lire la Bible, ce livre de livres, en comparaison de laquelle tous les livres au monde ne sont que des déchets papier." Si tous étaient convaincus que les Écritures sont une révélation de Dieu, une telle négligence serait moins fréquente; Et par conséquent, il se peut que bien de réfléchir à notre croyance en inspiration divine, que l'influence occulte de la philosophie matérialiste a fait beaucoup à affaiblir. Que l'esprit de vérité! Donnez-nous une certaine définition de la conception et que l'esprit d'amour nous donne la générosité du ton.
I. Cette inspiration est constante avec la raison. Si elle est admise que Dieu existe comme le créateur de l'homme, il est raisonnable de s'attendre à ce qu'il veuille dire que le goudron direct et contrôler l'esprit humain de garantir les extrémités du gouvernement moral. Nous ne croyons pas que les lois de la nécessité physique sont primordiales. Nous refusons de jeter les rênes au Phaeton moderne, qui conduit il ne sait pas où, et qui ne se soucie pas si tout le monde de la pensée chrétienne et de la vie morale soit brûlé en cendres. La théorie que l'univers est une vaste machine, ne gouvernait que par les lois de l'organisation matérielle et que toutes ses affaires sont menées par ses propres pouvoirs vaniteux, conduit en définitive à l'abaissement de l'homme et à l'abolition de Dieu; et de l'abîme du désespoir auquel le positivisme nous conduit, nous reconstruisons avec horreur. Notre âme est quelque chose de plus que la concaténation des causes physiques et des effets; La pensée n'est pas le simple produit de mouvements dans les particules de cerveau; Et aimer les uns des autres et à Dieu est plus élevé que l'affection ganglionnaire avec laquelle elle peut être associée. Nous croyons que, bien que nous sommes enduites de la liberté, Dieu n'a pas renoncé à tout contrôle sur nous; de côté à côté de nos plans est une providence simultanée évoluant de bien; que les mots sont profondément vrais ", dans lui, nous vivons, anti-mouvement et que notre être est." C'est à ceux qui ont une telle conviction que nous nous adressons et disons que l'inspiration des Écritures est ce que vous pourriez raisonnablement attendre. Si Dieu contrôle le monde physique, il n'est pas incongru qu'il devrait présenter à l'esprit humain et les incliner à regarder et à communiquer des vérités qui concernent le destin futur de l'homme. S'il fait son soleil se lever et inonder le monde naturel avec la lumière, il ne laissera pas la création intellectuelle dans l'obscurité. Dans cette pensée réside dans la vérité essentielle de l'inspiration. Nous ne tenterons pas d'énumérer toutes les méthodes de révélation divine. Les voies de Dieu sont différentes dans cela, comme dans le monde naturel. Il peut lancer une île par la force volcanique ou il peut le construire par les travaux multiples d'insectes coralliens. Il peut diviser un rocher par le crash de la mer ou laisser un petit ruisseau le couler jusqu'à ce qu'il tombe. Donc, dans ses révélations, parfois une voix a parlé, comme au Sinaï et pendant le ministère de notre Seigneur. Parfois, les anges semblaient parler à Abraham dans sa tente ou aux femmes de la tombe du Christ. L'avenir a été révélé, maintenant dans les rêves, quant à Joseph; Maintenant dans les visions, quant à Ezekiel. Mais nous ne parlons pas de ces révélations (ποκαλύψις), mais d'inspiration (θεοπνεύστια), la suggestion interne directe donnée aux hommes qui ont écrit et parlait pour Dieu, nous donnant à l'Écriture une règle faisant autorité de la foi et de la pratique.
II. Cette inspiration est revendiquée pour elle-même par les Écritures.
1. Ces écrivains, qui étaient évidemment modestes, humbles hommes, déclarent qu'ils étaient imprégnés de connaissances surnaturelles; qu'ils savaient ce qu'ils ne pouvaient pas reconnaître par la recherche intellectuelle, en cours de travail directement par le Saint-Esprit; par exemple. 2 Samuel 23:2; Matthieu 10:20; 1 Pierre 1:11, etc.
2. Les vérités qu'ils ont prononcé justifient de telles prétentions. Pensez équitablement de l'un de ces hommes, considérez sa culture précédente, sa capacité mentale, l'état du monde autour de lui, mentalement et moralement, et voir si la dignité de la théologie de la mosaïque, la sagesse dévotte des psaumes, la grossesse de la prophétie , la noblesse du ton moral à travers les Écritures, pourrait trouver une source dans les écrivains eux-mêmes. Au-dessus et derrière eux, toute une voix dit: "J'ai écrit les grandes choses [ou," multididineuses "] de ma loi.".
3. Nous pouvons demander notre conviction de l'inspiration de l'Ancien Testament sur les déclarations du nouveau. Et celles-ci dépendent finalement de l'autorité du Christ, la parole éternelle de Dieu. Notre Seigneur fait référence à plusieurs écrivains par son nom, faisant appel à eux à titre d'autorité divine et en utilisant leurs énoncés dans son grand conflit dans le désert. Il a habituellement parlé de "la loi et des prophètes" comme étant une révélation de la volonté de Dieu, en disant à ce sujet "Je ne suis pas venu détruire, mais pour réaliser." Ses promesses aussi à ses disciples donnent au pouvoir à leurs énoncés (Comp.
III. Cette inspiration doit être distinguée à la fois de.
(1) génie et.
(2) du travail ordinaire de la grâce au cœur de l'homme.
1. Job 32: 8 est une déclaration que les cadeaux intellectuels sont de Dieu; et certaines parlent de Shakespeare et des autres comme des hommes "inspirés". Au sens de l'emploi, ils ont été inspirés; Mais leur pensée n'est pas parallèle à la pensée des Écritures. Les écrivains bibliques n'étaient pas des hommes d'une capacité extraordinaire; rien dans leur histoire, leur revendication ou leur écriture n'indique qu'ils étaient; Et parfois, ils affirment que c'était en abandonnant sa propre réflexion pour la confiance et la prière qu'ils connaissaient la volonté de Dieu.
2. L'inspiration des écrivains sacrés ne doit pas non plus être considérée comme identique à celle "remplie de l'esprit", etc. dont nous lisons souvent. Il a même été donné parfois indépendamment du caractère, jusqu'à Balaam, mais il y a de la fonte dans toutes les œuvres de Dieu, il y avait donc dans cette situation), il était généralement associé à un caractère sanctifié. Les deux étaient séparables, mais les vrais hommes ont parlé de la vérité, des hommes purs de pureté, des hommes dévots de Dieu. "Hôtes Saintes de Dieu Spake alors qu'ils ont été déplacés par le Saint-Esprit. Ils n'étaient pas des instruments inconscients - Mere automate. Dieu a employé leurs facultés, mais ne les a pas remplacés. Chaque homme a conservé sa propre individualité. C'est bien [ou nous Était tellement. Nous lisons les psaumes et entendons la voix de Dieu; Pourtant, nous en entendons aussi les sanglots et chansons de l'homme. Nous trouvons la vérité divine dans les épîtres de Paul; pourtant, il nous félicite dans l'argument humain de Paul. Toutefois, cependant, C'est dans le tonnerre d'Isaïe ou dans le tremblement de Jérémie, que ce soit dans la logique de Paul ou du mysticisme de Jean, nous entendons tout au long de toute la Déclaration de Dieu », j'ai écrit," etc. "Toutes les Écritures sont données par l'inspiration de Dieu.".
CONCLUSION. Ne tenez jamais compte de la Parole de Dieu "une chose étrange".
1. Nous pouvons le faire en appliquant ses préceptes et des promesses envers les autres et non à nous-mêmes, comme il nous était étranger.
2. Nous pouvons le faire en permettant à la Parole de Dieu de se coucher à côté de nous non lus. Illustrer notre devoir par l'histoire de la conversion de Saint-Augustin.-A.R.
Homélies par J.R. Thomson.
Le cri d'Israël.
Cela ne pourrait pas être que, aussi tenté et cependant péchera, les enfants de l'alliance devraient perdre toutes les souvenirs de la Mercies qui leur sont montrées et que les bénédictions leur ont promis. Dieu ne les avait pas oubliés, ils n'ont pas non plus oublié Dieu. Ce cri, représenté comme étant en hausse au ciel des lèvres d'Israël, semble assez naturel: "Mon Dieu, nous savons toi.".
I. Quand un cri d'hypocrisie, de peur ou d'égoïsme, c'était vain. Hélas! C'était souvent ceci. La superstition a conduit les personnes à conjointer le culte de Jéhovah avec le culte des idoles. Il semblerait que, dans leur religiosité ignorante, égoïste, sans valeur, ils souhaitaient se tenir bien aux deux. Il y avait une mesure de la vérité dans le cri; Pour les enfants d'Abraham avait le droit de regarder Jéhovah et de dire: "Mon Dieu", et ils pourraient justement ajouter: "Nous nous savons." Pourtant, occupant la position qu'ils l'ont fait, leur énonciation était inouïe et inacceptable au chercheur des cœurs.
II. Quand un cri de sincérité et de foi, c'était acceptable. Ce n'était pas que les mots avaient tort en eux-mêmes; C'était l'esprit défectueux et blammable. Lorsque de tels mots proviennent de Natures filiales, reconnaissantes, spirituelles, la plupart des accueil étaient-ils à l'oreille du suprême. Le langage admet, Nay, elle exprime naturellement, la dévotion - une créditure joyeuse, une communion sincère. Il se réjouit d'une relation honorable et bénie; Il reconnaît une familiarité heureuse, élévatrice et ininterrompue. - T.
L'idole brisée.
Le culte du veau dans le nord de la Palestine est un exemple des incohérences auxquelles la nature humaine est responsable et les déclassements incidents de la vie sociale et nationale. L'indignation du prophète est une expression correspondante du mécontentement de Jéhovah. Et la menace véhiculée dans la langue du texte doit avoir été ressentie par ceux à qui il a été adressé à être aussi bien mérité qu'il était certain qu'il était certain d'être exécuté. La leçon du passage est plus générale et plus vaste que celle qui apparaît sur la surface. On nous rappelle.
I. L'intention de l'homme pour mettre d'autres objets dans le lieu suprême que de droite est Dieu. Chaque objet, chaque être, chaque poursuite, que les hommes placent dans la position qui est seule de Dieu, devient une idole. Ainsi, l'idolâtrie est un péché de toutes les heures. Plaisir, renommée, apprentissage, puissance, etc. Tout à tour de tour assume le trône du cœur, se tiennent dans le sanctuaire de la divinité.
II. Une telle idolâtrie ne peut émettre que dans la déception humaine. La vanité de confiance aux œuvres de leurs propres mains a été impressionnée à nouveau et à nouveau sur Israël, jusqu'à ce que l'idolâtrie enfin était rendue toujours impossible à jamais pour eux. Combien de l'Ancien Testament consiste en des avertissements qui doivent faire confiance aux autres refuges, dans d'autres assistants que dans Jéhovah, c'est la voie à la honte, à la confusion et à la destruction! "Confondé soit tout ce qu'ils servent des images gravailles." Qui est là qui a abandonné Dieu et chercha un autre livré, mais a été misérablement déçu?
III. Le déplaisissement divin est manifesté vers comme pour abandonner Dieu pour d'autres assistants. Son Honneur, il ne donnera pas à un autre. Il a envoyé des prophètes à Israël et l'a inspiré à debout et à dénoncer l'infidèle et l'apostat. Plus la mercies est grande, la nation hébraïque avait apprécié, plus l'indignation divine est grande avec ceux qui, auparavant, si elles étaient si favorisées.
Iv. Doom et destruction sont prononcés à la fois sur des idoles et sur ceux qui ont confiance en eux. "Le mollet doit être brisé en morceaux." Le roseau, sur lequel la foi se penche, doit percer son côté. Il verra les hôtes dans lesquels il a fait confiance à fondre au néant devant ses yeux. Les richesses vont prendre des ailes et s'envoler. La bulle d'honneur va éclater et disparaître. La fleur de pouvoir doit être née, ou le fruit doit tomber non mûr. L'homme n'est qu'un homme, et pas Dieu.
V. Le but de cette disposition est de conduire à la repentance et de retourner au Seigneur. Les déclarations de mécontentement et de dénonciation de Wrath ne permettent aucun plaisir à l'esprit divin qui les autorise. La menace de Dieu de détruire tous les rivaux à son autorité et la suprématie doit en effet être littéralement remplie. Mais pour ceux qui retournent au dieu ils ont abandonné, il y a des bras ouverts, il y a un cœur de miséricorde, il y a des mots de pardon, il y a bienvenu, la restauration et la vie.-t.
Semait le vent et récolter le tourbillon.
Le semis et la récolte dans le monde naturel sont des processus d'élevage si étroitement et de manière vitale, qu'ils suggèrent évidemment des connexions correspondantes dans le domaine spirituel. "Quel que soit un homme sème, cela récoltera également." Telle est la grande loi morale. Pourtant, il existe une caractéristique du travail de cette loi qui est très suggestive. Bien que le genre reste le même, la mesure de ce qui est récolté dépasse largement la mesure de ce qui est semé. C'est la leçon du texte. Ce qui est semé est le vent; Ce qui est récolté est le tourbillon.
I. Est ce que Sens Sensners sème le vent. Les péchés dont Israël a été principalement dénoncé par le prophète étaient des alliances d'idolâtrie et d'alliances païennes, dans les deux que l'honneur du Seigneur a été donné à un autre et la confiance en raison de son transfert injuste et bêtement transférée. Maintenant, le vent est l'emblème du vide et de la vanité non substantielle. En conséquence, la langue du texte enseigne que la conduite d'Israël était stupide et vaine. Et cela peut être affirmé de tous ceux qui, par vice, un crime, ou de l'irrologie, partent de Dieu.
II. Dans quel sens les pécheurs récoltent le tourbillon. Sous le gouvernement d'un dirigeant juste et tout-puissant, il ne pouvait être que Israël ou aucune nation pourrait abandonner la véritable religion et abandonner les principes nobles, sans subir les conséquences des sanctions attachées à la désobéissance et à la rébellion. Mais le point du texte se trouve dans la disproportion apparente entre l'infraction et la pénalité. Israël espérait la sécurité; Au lieu de cela, et à la suite de l'apostasie, Israël est allé en captivité. La vie nationale du royaume et des peuples de Samarie a été absolument détruite, de ne jamais être relancée. Ainsi, un puissant tourbillon, le messager d'indignation divine, a porté les gens dans leurs péchés. Ainsi est-ce avec tous les pécheurs à tête haute et raide. Leur rébellion et leur apostasie ont même aux yeux humains l'apparition d'un semis au vent; Mais dans l'ordre du gouvernement divin, il est nommé que tel envahira le tourbillon. Nous lisons la leçon dans le sort terrible qui a dépassé toutes les nations qui ont été infidèles à leur appel, qui ont défié le gouverneur juste et divin. Et dans combien d'instances de la vie individuelle avons-nous vu l'exploitation de la même loi! La ruine morale et le renversement total ont suivi l'éloignement et la rébellion. La confiance même que les pécheurs reposent dans les idoles qu'ils choisissent pour eux-mêmes deviennent l'occasion de leur confusion plus complète et irrémédiable. Le jugement est retardé; Mais les magasins de la force rétributive s'accumulent et, en temps temps, la tornade de l'indignation divine balaie sur la tête de pécheur avec une force irrésistible, émettant dans la catastrophe de la ruine temporelle et spirituelle .-t.
Amateurs d'embauche.
Israël a excité le mécontentement de Jéhovah en ne faisant pas simplement renoncer à la confiance en lui, mais en plaçant une confiance dans les pays étrangers et des dieux étranges. Et Israël a aggravé l'infraction en rejetant l'aide que son alliance que Dieu aurait volontiers et sans garantie, et en appliquant son trésor dans l'achat d'une assistance des pays voisins, qui s'est révélée vaine et non rentable. Son comportement est comparé à celui d'une adultère, alors veulons d'acheter avec l'argent de son mari l'affection et englobe d'un étranger.
I. C'est l'engouement du péché de renseigner la faveur libre et indirvienne de Dieu. La folie d'un tel parcours est apparente à tous ceux dont l'esprit n'est pas sous l'influence des préjugés et de la passion. Lorsque la fontaine des eaux vivantes est accessible, quelle misérable est la délimitation de ceux qui se détournent!
II. Cet engouement est encore plus évident quand il conduit les pécheurs à faire confiance à des refuges vains. Les citernes recherchées lorsque la fontaine est abandonnée sont des citernes cassées, qui ne peuvent contenir aucune eau. Telle était l'impuissance, l'insuffisance des dieux et des rois que l'Israël recherchait. Et en ce qu'ils représentent les hommes, les systèmes, les sociétés, les activités, que les pécheurs ne sont jamais exaltés au siège de Dieu.
III. L'engouement des pécheurs les amène à tout pour obtenir rien. Israël a passé son trésor, a drainé ses ressources; et pour quoi? Seulement pour supporter l'humiliation la plus amèrement, la plus cruelle déception. Il n'y en avait pas, dans la journée de son chagrin, cela pourrait aider, livrer ou réconforter elle-nul! Et c'était tout ce qu'elle a obtenu pour son apostasie. Les amants, les amis, qui ont "embauché" étaient infidèles et inutiles. Alors, c'est avec tous ceux qui ont mis leur confiance chez les hommes et en princes. Les hommes abandonnent le caractère et les amis, une bonne conscience, un espoir brillant; Ils partent avec tous et que reçoivent-ils en retour? Les plaisirs du péché pour une saison; Mais très bientôt fatiguée, déception et misère. Et "la fin de ces choses est la mort." - T.
Le fabricant oublié.
Ce n'est pas un cas rare que celui qui a reçu des avantages très substantiels d'un collègue oublie son bienfaiteur et, lorsqu'il est élevé à une position plus élevée dans la vie, ignore ceux qui par leurs efforts, sacrifices et sympathie ont contribué à son élévation . Nous estimons une telle ingratitude répréhensible et presque monstrueuse. Pourtant, dans quelle mesure considérons-nous ceux qui sont coupables d'oubli de leur créateur et de leur rédempteur! Et pourtant, cela a été une faute commune à partir des jours d'Israël d'Ancien à l'heure actuelle.
I. La culpabilité d'oublier Dieu, généralement considérée. Cela apparaît quand il est gardé à l'esprit:
1. Que Dieu est notre créateur. Pour lui, nous devons notre existence; Et de ne pas oublier que notre créateur est le péché grossier.
2. Que Dieu nous a pas oublié. Il n'a pas créé l'homme pour le laisser à lui-même, vivre ou mourir. Au contraire, ses soins sont sur nous, son amour est toujours envers nous. Les jetons de ses souvenirs sont toujours autour de nous, dans les primes de sa providence et dans les profifères de son évangile. 3. Que Dieu a beaucoup fait pour se garder dans notre mémoire. C'est la condescendance de la part de lui qui est le thème de la chanson éternelle du ciel; À qui ils louent jour et nuit dans son temple. Pourtant, de tous les côtés, nous voyons des jetons de la présence de Dieu, nous entendons les tons de sa voix. Il n'est pas loin de chacun d'entre nous. Suggestions non numérotées de sa présence, des rappels non numérotés de son amour paternel, aggravent la culpabilité de l'impropre et ingrat.
II. La culpabilité particulière d'oublier Dieu de la part d'Israël des vieux et de la part des chrétiens maintenant. Pour les enfants d'Abraham, Dieu était une alliance Dieu; Il avait fait de grandes choses pour leurs pères et pour eux. Oublier celui qui avait les revendications les plus élevées sur leur mémoire, leur fidélité, leur dévotion, - ce fut la culpabilité en effet. Pourtant, pas comparable à la culpabilité de ceux qui apprécient les avantages obtenus de manière à vivre sous le son de l'Évangile et au milieu des privilèges de l'Église. Comment, si nous oublions Dieu, pouvons-nous espérer, pouvons-nous demander, qu'il se souvienne de nous dans la miséricorde et de bien? -T.
Homélies de D. Thomas.
L'église conventionnelle.
"Placez la trompette à ta bouche. Il viendra comme un aigle contre la maison du Seigneur, car ils ont transgressé mon alliance et écrivaient contre ma loi. Israël pleurera à moi, mon Dieu, nous savons toi." "Ce n'est pas inhabituel", dit Elzas, "pour les prophètes, sans nommer l'ennemi envahissant, d'annoncer son approche (voir Ésaïe 13:1). Les mots sont singulièrement brusquement, et indiquer la soudaineté de l'envahisseur menacé. "Comme un aigle". Si cela est une prophétie contre Juda, comme certains sont supposés, par l'Eagle Nebucadnetsar est signifié, qui est souvent comparé au roi des oiseaux (voir Jérémie 48:1.;Ézéchiel 17:1.; Daniel 7:4). Mais si la prophétie est contre Israël, qui est le plus probable, alors shalmaneser roi d'Assyrie Est destiné, qui pour sa rapidité, son avarice, sa rapacité et sa force sont correctement comparés à l'oiseau royal. "La maison du Seigneur". Cela ne peut pas dire ici le temple de Jérusalem, qui est autrement ainsi désigné, car les menacements sont probablement dénoncés contre le royaume des dix tribus. Il doit donc être pris pour désigner le peuple d'Israël, la nation entière considérée comme la famille de Dieu." Par conséquent, par la "maison du Seigneur", nous devons ne comprendre pas le temple de Jérusalem, ni la terre de Judée, mais Israël en tant que partie des professeurs de Dieu de Dieu. La maison du Seigneur était une église conventionnelle. Regardez les mots comme présentant une église conventionnelle dans trois aspects.
I. Comme en voie de disparition. "Il viendra comme un aigle contre la maison du Seigneur." Comment vient l'aigle? Voracement, soudainement, et rapidement; Il fait tomber sur sa proie avec la rapidité de la foudre et attache ses talons sur son cœur. Une église conventionnelle est plus dangereuse que toute communauté laïque. Pourquoi?
1. Sa culpabilité est plus grande. Il a les oracles de Dieu, et il professait la foi dans ces oracles, et pourtant son cœur est hors de sympathie avec Dieu et ses lois. "Petit à toi, chorazine", etc.! "Celui qui connaît sa volonté de maîtrise et ne le fera pas, sera battu avec beaucoup de rayures." L'enfer des églises conventionnelles sera, montage, plus profondément et plus sombre que tout autre enfer dans le domaine noir de la rétribution.
2. Son influence est plus pernicieuse. Dont l'influence sur la société est la plus fanée - l'homme qui nie Dieu, l'homme qui l'ignore, ou l'homme qui le défait de la défense? Le dernier, je trow. L'Église conventionnelle donne à la société une représentation réelle de Dieu et de sa religion. Parmi tous les hommes de la chrétienté, il n'y a pas d'homme qui est une grosse fléau à sa course que celui qui porte la garbe de la religion mais est dépourvue de son esprit. L'aigle de rétribution a-t-il sûrement entendre son chemin sans classe plus sauvagement et plus rapide que pour ces religionistes conventionnels.
II. Comme averti. "Placez la trompette à ta bouche." C'est la commande du ciel au prophète. Souffler une explosion qui frirole chaque cœur dans la vaste congrégation d'Israël. Pourquoi sonner l'avertissement?
1. Parce que le danger est formidable. C'est une destruction totale.
2. Parce que le danger est à portée de main. L'aigle a répandu ses pignons, a monté l'air, a fixé son œil sur la victime et est à bout de fureur.
3. Parce que le danger peut être évité. N'avaient-ils pas échappé, pourquoi souffler la trompette? Pourquoi soulever l'alarme? Dieu merci, il y a de l'évasion tant que la vie continue.
"Alors que la lampe est tirée pour brûler le vilder Sinner peut revenir.".
Ce qui est cherché maintenant est un ministère de l'avertissement aux églises conventionnelles. Nous voulons des prophètes audépïgtes, intrépides, ardents, comme à Elijah, de sonner la trompette de l'alarme à tous ceux qui sont à l'aise à Sion.
III. Comme repentant. "Israël va me pleurer, mon Dieu, nous nous connaissons." L'alarme a été prise et le refuge est recherché. "Mon Dieu, nous nous connaissons." "C'est la vie éternelle de savoir que le seul vrai Dieu et Jésus-Christ, que tu as envoyé." Oh, hâte du jour où toutes les églises conventionnelles seront apportées à une connaissance profonde et expérimentale de Dieu et de son fils! Lorsque cela transporte, le nuage dense qui a dissimulé le soleil du christianisme doit être balayé et le faisceau de quicking tombera sur chaque cœur. La montagne qui a obstrué le char de la vérité rédemptive doit être nivelée à une plaine et les roues doivent bouger avec une vitesse de foudre. "La Parole du Seigneur aura un parcours libre et être glorifié." - D.T.
L'abandon du bien et la poursuite de la poursuite du mal.
"Israël a rejeté la chose qui est bonne." Deux choses sont contenues dans ces versets.
I. L'abandon du bien. "Israël a rejeté ce qui est bon" (Elzas). Le bien ici fait sans aucun doute référence au véritable culte du vrai Dieu. Observer:
1. Ce véritable culte est la "bonne chose" pour l'homme. C'est bon non seulement parce que Dieu l'exige, mais parce que c'est la condition nécessaire de la vie spirituelle, de la croissance, de l'harmonie et de la bénédiction. Le véritable culte est le seul ciel de l'âme.
2. Que cette "bonne chose", l'homme abandonne parfois. Israël était autrefois un véritable adorateur, mais le véritable culte qu'il avait maintenant "jeté". Les anges tombés étaient une fois vrais fidèles et beaucoup un esprit humain inspiré une fois inspiré de la véritable dévotion tombée dans la mondanité et l'idolâtrie. L'esprit moral a le pouvoir d'abandonner le bien le plus élevé.
3. Que l'abandon de cette "bonne chose" pérille l'âme. "L'ennemi les poursuivra." Le bien moral est la seule sauvegarde efficace de l'Esprit; Lorsque cela est abandonné ou "jeté", toutes les portes de l'âme sont ouvertes aux démons tourmentés. Les murs de la hache du vignoble ventilé, et il se trouve exposé à la bande de roulement et ravages de chaque bête morale.
II. La poursuite du mal. "Ils ont mis en place des rois, mais pas par moi", etc. La mise en place de Kings ici fait référence à la fondation du royaume de Jéroboam et à toute la série de rois israéliens. Les rois d'Israël n'étaient pas conformes à l'ordination divine (1 Rois 11:27-11). "Leur argent et leur or ont-ils fait des idoles, qu'ils peuvent être sortis." De ces rois de leur propre fabrication venaient la mise en place du culte de veau idolâtre qui a été lancé par Jéroboam. Bien que l'argent n'ait pas été utilisé dans la construction des veaux d'or, il était employé pour soutenir le culte idolâtre. Ainsi, parce qu'ils ont abandonné la "bonne chose", ils ont mal tourné dans leur politique et leur religion. Ils ont fait leurs propres rois et leurs propres dieux. Quand une fois que les hommes abandonnent le droit, ils se précipitent dans le mauvais. Laissez un homme se tromper par rapport à Dieu et il passera mal dans toutes ses relations, laïque et spirituelle.
CONCLUSION. Il n'y a rien en rapport avec la race humaine d'une telle importance transcendante comme culte. L'élément religieux est le plus fort de tous les éléments; et les hommes doivent avoir un dieu d'une sorte ou d'une autre, et leur dieu va fondre leur caractère et déterminera leur destin.
"Et pourtant de lui, nous nous détournons,.
Et remplir nos cœurs avec des choses sans valeur;
Et les incendies d'avarice fondent l'argile,.
Et venir les sources d'idole.
La flamme de l'ambition et la chaleur de la passion.
Par alchimie wondrous, transmuter.
Dosseuse de la Terre, pour élever une brute dorée.
Pour remplir le siège de Jéhovah. "(J. H. CLINCH).
Idolâtrie.
"Ton mollet, o Samaria, a jeté." Ces versets présents à l'idolâtrie américaine sur cinq aspects.
I. Comme abominable à Jéhovah. "Ton mollet, o Samaria, m'a lancé; la colère de la mine est allumée contre eux." Par une synecdoche, Samaria est ici utilisée pour toutes les dix tribus. Il n'y a pas d'allusion dans l'histoire à aucun mollet mis en place dans la ville de Samarie, mais son existence à Bethel, le lieu de culte le plus célèbre dans le royaume, est une question de certitude. "L'introduction du culte des veaux d'or par Jéroboam, en imitation de celle des API à Memphis et de Mnevis à Heliopolis, qu'il devait avoir vu au cours de sa résidence en Égypte, a ouvert la voie à l'imitation et à l'adoption de la brute Idolatries pratiquées par les Phéniciens, les Syriens; et Chaldeans. Maintenant, contre cette idolâtrie, Jéhovah déclare sa colère "d'être allumée". La langue est bien entendu anthropomorphe et utilisée uniquement pour exprimer son opposition invincible à l'idolâtrie, la folle de tous les maux - une violation de son commandement: "Tu seras N'avez pas d'autre Dieu à côté de moi », c'est la chose abominable qu'il déteste. Le fait que l'idolâtrie soit abominée au grand Dieu est la grande raison pour laquelle ses serviteurs fidèles devraient se consacrer à son service.
II. Comme antagoniste à la pureté morale. "Combien de temps seront incapables de pureté?" (Elzas). Là où il n'y a pas d'amour suprême au bien suprême, il n'y a pas de sol dans lequel une vertu solitaire peut germer, il n'y a pas de fondement sur lequel une pierre peut être posée pour le temple de bonté. Par conséquent, l'histoire de l'idolâtrie montre qu'il est inséparablement associé à la pollution et à la criminalité. L'idolâtrie est une fontaine essentiellement corrompue, et tous ses ruisseaux sont sale et grossiers. La description de Paul dans le premier chapitre des Romains est fidèle au fait universel. Si le monde doit être fait vertueux, il doit avoir le seul vrai et vivre Dieu lui présentin comme un objet d'amour et de culte suprême.
III. Comme une indignation sur la raison. "Pour d'Israël, c'était aussi: l'ouvrier l'a fait; donc ce n'est pas Dieu." "C'est la plus grande folie", explique un ancien auteur ", de considérer cela qui tire son excellence de nous-mêmes aussi supérieurs pour nous, et que dans le plus haut degré; abandonner Dieu qui nous a fait, et à faire que ce soit un Dieu à nous que nous nous sommes rendus nous-mêmes. Si on est maintenu ou soulevé par un autre, il devrait être utilisé pour lui. Dans cette relation, nous nous tenons à Dieu, mais l'idolâtrie fait que les hommes vont à l'encontre des principes mêmes de la raison. Ils font la mode idole et pourtant en tenir compte de leur Dieu; ils sont faits et soutenus par Dieu, et pourtant l'oublier. " Et pourtant, ces hommes de folie s'engagent constamment tous les jours, non seulement dans des terres païennes, mais dans la chrétienté. Les hommes font partout leurs dieux. Puissance, argent, plaisir, renommée, soyez vos dieux, O Angleterre!
Iv. Comme condamné à la destruction. "Mais le mollet de Samarie sera brisé en morceaux." "Toute l'idolâtrie doit être détruite" (Exode 34:13; Deutéronome 7:5; Ézéchiel 20:7) .
1. Dieu a détruit les idoles de l'Évangile.
2. Dieu détruit les idoles de l'Évangile. À D.T.
"Comme je vis, dit le Seigneur, toute la terre sera remplie de ma gloire." "En ce jour-là, un homme jette ses idoles d'argent et ses idoles d'or, qu'ils ont fait chacun de chacun d'habitude de culte, aux taupes et aux chauves-souris: aller dans les fentes des rochers et dans les sommets des rochers en lambeaux, de peur du Seigneur et de la gloire de Sa Majesté, quand il va se trembler terriblement la terre. ".
V. Aussi productif du grand mal. "Ils ont semé le vent, et ils récolteront le tourbillon", "etc." alors que le mari récolte le même genre de grain qu'il a semé, mais dans une abondance beaucoup plus grande, alors celui qui sèment le vent doit avoir le tourbillon pour récolter . " "Il n'a pas de tige." Rien qui puisse céder une fleur. "Le bourgeon ne donnera pas de repas." "S'ils devraient avoir une tige et que la tige devrait avoir une fleur, cette fleur ne donnera aucun fruit; et s'il y avait des fruits, le semeur ne l'appréciera pas, car les inconnus doivent le manger. Les Israélites devraient être infructueuses dans tous leurs Les entreprises et les gains partiels qu'ils pourraient acquérir seraient emportés avec impatience par les Assyriens »(Elzas).
1. Tous les hommes semaient. Chaque acte humain est une graine.
2. Certains semaient des semences sans valeur - "vent". Le Wildling, l'homme de plaisir, le religioniste conventionnel, le sceptique spéculatif, tous «semis le vent».
3. Plus la graine est levée, plus la récolte est terrible. "Récolter le tourbillon." Grand est le pouvoir du tourbillon. L'Écriture le décrit aussi bien. Dans 1 Rois 19:11 Il "louer les montagnes et freiner les roches." Sabdicos indique que les soldats de Cambyses étant dînés dans un endroit sablonneux, il y a eu un tourbillon et a conduit le sable sur eux, de sorte qu'il les couvre tous. "Quel que soit un homme sème, cela récoltera également.".
"Entendre entendre, mon père! Entendre et aider! Si je l'aimais trop bien; si j'ai été hangé, dans mon penchant vain, O'er un coup de tête mortel sur ton sanctuaire, mon Dieu, plus couché; si je cherchais à vivre dans Une lumière, et fait un œdre mortelle étoile solitaire de mon idolâtrie; tu es amour; oh, pitié et pardonne! ".
(Mme Hemans).
Perversion du culte.
"Parce que Ephraïm a rendu de nombreux autels au péché." Israël devait avoir un seul autel, et que, à l'endroit où le Seigneur révélerait son nom ( Deutéronome 12: 5 ). Mais, au lieu de cela, Ephraïm avait construit un certain nombre d'autels dans différents endroits pour multiplier le péché de l'idolâtrie et, de plus, de plus en plus de culpabilité sur elle-même (Delitzsch). Le passage nous conduit à remarquer la perversion du culte. C'est l'un des péchés les plus anciens, les plus répandus et les plus fluides parmi l'humanité. Les hommes ont un culte pervers, non seulement en faisant de faux dieux, mais en faisant de faux autels pour le vrai Dieu. Il n'y a qu'un seul autel dans un véritable culte et cet autel est Christ ( Hébreux 13:10 ). Le texte nous conduit à faire deux remarques par rapport au faux culte.
I. C'est un grand péché.
1. C'est un péché très propagatif. "Ephraïm a fait de nombreux autels." "Les hommes laissent la règle", dit un ancien auteur ", ne savent pas où rester; d'où la multiplication des choses donc parmi les papistes-cinq cents autels dans une tempe." Comment les Juifs antagonistes étaient sublimes à l'introduction de tout autel mais un ( Josué 22:11 )! Mais maintenant ils avaient "beaucoup". Une fois admet une mauvaise chose dans le culte et qu'une chose se multipliera elle-même; La superstition lui donnera la fertilité. L'église romaine est une illustration triste et l'église anglicane de certaines sections est en train de multiplier des exemples.
2. C'est un péché auto-punissant. "Les autels doivent être à la péché." L'idée est probablement ", comme vous êtes allé persister de multiplier des autels contrairement à ma volonté, je te laisserai seul; tu vas continuer. Vos autels seront un péché à toi." C'est-à-dire qu'ils voient ainsi qu'ils les auront, ils doivent les avoir; Ils en auront assez. Laissez-les continuer de leur manière; laissez-les multiplier leur péché. Ils font beaucoup de remue pour cela et de l'avoir ils doivent; Ils refusent de voir la lumière; Ils sont préjugés contre le culte de Dieu. Laissez-les avoir leurs désirs; Laissez-les avoir, dit Dieu, gouverneurs d'établir par leur autorité et des enseignants à défendre par leurs arguments subtils, ce qu'ils souhaitent. Ils multiplient des autels au péché, et ils seront à pécher, même de les durcir; Leurs cœurs sont fixés sur eux et ils les auront et les aimeront, et ils seront durcis dans le désir de leur cœur dans ce qui est le mal. Et comme il leur sera pour le péché, il doit donc s'y rendre pour la misère, le fruit du péché; Pour que le péché est pris très fréquemment dans les Écritures pour le fruit du péché. Ils les auront à pécher et ils trouveront en eux le fruit de la misère Sin-Sery. Le texte nous conduit à remarquer que-
II. C'est un péché contre une grande lumière. "Je lui ai écrit les grandes choses de ma loi, mais elles ont été comptées comme une chose étrange." Ils ne pouvaient pas dire qu'ils ont péché dans l'ignorance. Dieu leur a donné des directions les plus concises et abondantes concernant la nature et l'objet du véritable culte. Certains traduisent les mots ", je peux lui prescrire mes lois par Myriades; ils le traiteront comme une chose étrange.".
1. Dieu nous a donné des lois sur le culte.
2. Ces lois sont souvent répétées. Par myriades ou par milliers. Nous avons "ligne sur ligne, précepte sur le précepte".
3. Ces lois sur les OFT-répétées laissent de faux fidèles sans excuse. - D.t.
Ni la religion ni la sécurité d'une nation à juger par des apparences.
"Pour un bain d'Israël oublié", etc. Les "temples" mentionnés ici sont les temples idolates que Israël avait construit après les modèles de ceux construits par les syro-phéniciens; Et les "villes clôturées" désignent les lieux fortifiés qu'ils avaient érigé contre des envahisseurs étrangers. Les mots impliquent que ni les temples ni les «villes clôturées» n'étaient aucune preuve de leur religion ou de leur sécurité.
I. La multiplication des temples n'est pas une preuve infaillible de la croissance de la religion dans un pays. Les temples étaient maintenant multipliés en Israël. Et la raison assignée est l'oubli de leur fabricant. Lorsque des étrangers visitent l'Angleterre et témoignent du nombre de nos églises de toutes les sectes et de mes mesures de beauté et de taille, leur première impression serait-ce que sont les religieux ces anglais! Mais lorsque nous pensons aux causes morales qui conduisent souvent à l'érection de temples, ils prouvent plutôt notre oubli de Dieu.
1. Il y a la cupidité. Les églises sont parfois construites comme un investissement.
2. Il y a de la SPIT. Un ou deux ou plus, ont reçu un grief à l'église voisine et, inspiré par la Spite, ils se sont mis à l'érection d'une autre.
3. Il y a du sectisme. Les épiscopènes, les weseyens, les congrégationalistes, tous cherchent à se rivaliser à cet égard; Pour que la multiplication des temples, nous craignons, ne doit pas être considérée comme une preuve de la croissance de la religion.
II. L'augmentation des défenses nationales n'est pas une preuve de l'augmentation de la sécurité nationale. "Je vais envoyer un feu sur ses villes." Lorsque les nobles étrangers visitent nos rives, nous, avec notre vanité nationale, cherchons à les impressionner avec la grandeur de nos défenses nationales. Nous exposons nos flottes, nos armées permanentes, nos fortifications; Nous avons nos critiques navales et militaires. Quels imbéciles sont-ils qui pensent que la sécurité nationale est dans ces choses! La sécurité d'un peuple est dans l'excellence morale de leur caractère et de la tutelle du ciel. - D.T.
Homélies par J. Orr.
jour du Jugement dernier.
La trompette sonne l'approche du jugement. C'est un jugement qui commence à la maison de Dieu ( 1 Pierre 4:17 ). Le "aigle" est l'assyrien; Plus tard, le romain (cf. Deutéronome 28:49). La cause du jugement est d'avoir constamment insisté sur: "Ils ont transgressé mon alliance et écrivaient contre ma loi" ( Osée 8: 1 ).
I. Connaissance de Dieu par jugement. (Osée 8:2) Dans la journée de Doom Israël pleurerait à Dieu, "mon Dieu, nous savons toi, nous Israël" alors au dernier arrêt:
1. Ceux qui ont jusqu'à présent refusé Dieu seront obligés de le reconnaître. Leur cri surprenant, quand il est trop tard, sera "mon Dieu, nous nous connaissons." Ils le connaissent à leur coût. Ils ne seront plus en mesure de se déguiser à eux-mêmes le fait de son existence ou de la réalité de son pouvoir. Pas plus de prétention d'ignorance, plus de cavité, pas plus de défi blasphématoire.
2. Ceux qui ont jusqu'ici oublié Dieu seront forcés de se souvenir de lui. Ils vivront un réveil brutal de la sécurité négligente, n qu'ils vivent. Ils trouveront que les paroles de Dieu sont vraies, ses avertissements réels, la "colère de venir" une certitude terrible. Il sera impossible de refléter la réflexion ou de couper les pensées de lui avec qui ils doivent faire.
3. Ceux qui ont jusqu'à présent légèrement légèrement l'amitié de Dieu seront désireux de se faire des amis avec lui. Ils lui traiteront comme leur Dieu («mon Dieu»), se souviendront au-delà de la connaissance de lui, exhortera tous les moyens qu'ils jugent la miséricorde. Ils sont aussi anxieux maintenant de se faire des amis de Dieu comme autrefois, ils n'avaient rien à voir avec lui. En cas d'affliction ou de péril, ainsi que sur l'approche de la mort ou du jugement, les pécheurs se montrent très disposés à appeler Dieu. "Beaucoup me diront à moi ce jour-là, Seigneur, Seigneur", etc. ( Matthieu 7:22 ). De tels moyens, cependant, ne serviront pas. La repentance est trop tardive et ce n'est pas sincère. Israël ne gagnerait rien en étant de la graine de Jacob (cf. Matthieu 3: 9 ).
II. Une séquence invariable. (Osée 8:3) Israël, après avoir jeté de bien, serait poursuivi par l'ennemi. La séquence est courte, simple, certaine. C'est aussi sûr que toute loi de la nature.
1. Antecedent. "Israël a jeté de bien." Dans tous les sens, Israël l'avait fait. La nation avait.
(1) jeter la connaissance du bien ( Osée 4: 6 );
(2) Jetez la pratique du bien (Osée 4:1, Osée 4:7; Osée 5:4, Osée 6:7; Osée 7:1, Osée 7:2);
(3) mépris l'espoir de bien, la bénédiction et le salut ont promis de l'obéissance.
2. conséquence. "L'ennemi doit [ou," laisser l'ennemi "] le poursuivre." L'ennemi poursuit ceux qui portent de bonnes.
(1) la conscience poursuit. Le pécheur ne peut pas échapper à ses réprimandes, à des fouilles et à poursuivre des souvenirs.
(2) Les lois de la nature poursuivent. La nature est donc constituée que ses lois sont du côté du vertueux et contre ceux qui font le mal. Le péché est suivi de sanctions naturelles inévitables.
(3) la justice divine poursuit. Il y a même dans cette vie, une rétribution providentielle que le pécheur s'échappe rarement (cf. Deutéronome 28: 1-5 ). En tout état de cause, il y a un jugement final, lorsque tout le monde recevra pour les choses effectuées dans le corps, selon qu'il a fait, que ce soit bien ou mauvais ( 2 Corinthiens 5:10 10 ).
III. Transgression représentative. (Osée 8:4) Les rois d'Israël n'étaient pas de Dieu. Ils avaient été mis en place sans consulter Dieu et s'étaient jugés à la mépris de la volonté de Dieu. Le culte des veaux était en opposition directe au commandement divin. Il a eu son motif dans une opportunité politique. Cela nous couche à nous l'essence de l'impiûment. Impédance:
1. renonce à tous égards à la volonté de Dieu dans la mise en forme de la vie. Il prévoit une existence irrespectueuse de Dieu. Quel que soit l'homme ungodly "monte", c'est fait "sans Dieu". Il cherche un être indépendant.
2. Donne des dieux par eux-mêmes des cadeaux de Dieu. "De leur argent et de leur or leur ont fait des idoles." Le monde devient son Dieu.
3. La fin - "coupée?" - J.O.
Dieux cassés.
Samaria découvrirait maintenant la folie de confiance dans son mollet.
I. Veau de Samaria. (Osée 8:5, OSÉE 8: 6 ).
1. La futilité de la faire. "D'Israël, c'était aussi: l'ouvrier l'a fait; donc ce n'est pas Dieu" ( Osée 8: 6 ). L'idolâtrie est une énorme absurdité. Cela ne peut pas être un Dieu que nous faisons avec nos propres mains (cf. Ésaïe 40: 18-23 ; Ésaïe 44:9). Comme stupide, il est de faire un dieu de la richesse, de la position, de la réputation ou de tout ce qui est créé par l'effort de l'homme.
2. La folie de confiance en elle. "Ton mollet, o Samaria, a jeté" ( Osée 8: 5 ); "Le mollet de Samarie doit être cassé en morceaux" ( Osée 8: 6 ).
(1) Il ne pouvait pas aider. 6.
(2) C'était impuissant de se sauver.
N'importe quoi que l'homme s'appuie sur la volonté de prouver une aide vaine lorsque Dieu veut que son renversement ou le renversement de celui qui en dépend.
3. La récompense de le servir. «La colère de la mine est allumée contre eux» (Osée 8:5). La colère de Dieu a été allumée.
(1) à l'idolâtrie;
(2) aux péchés liés à l'idolâtrie;
(3) à la résistance montrée aux moyens utilisés pour la reprise spirituelle de la nation.
"Combien de temps sera-t-il autre qu'elles atteignent l'innocence?" Les effets de ce lois de la colère de Dieu sont décrits dans Osée 8: 7 . Un effet serait la destruction de leur idole ( Osée 8: 6 ).
II. Sanctions du péché. (Osée 8:7) La rétribution est définie sous deux images.
1. Le vent et le tourbillon. "Ils ont semé le vent et ils récolteront le tourbillon." "Le vent est une image d'efforts humains vains, à partir de quelle ruine est développée, comme naturellement que le vent devient une tempête" (Schmoller). L'image suggère:
(1) l'insenséticalité des objets de poursuite pécheurs. Sansanaison comme vent (cf. Osée 12:1).
(2) que le pécheur n'est pas son propre maître. Le vent est une image de la force de passion pressée. Les passions du pécheur lui dépêchent-elles.
(3) Ce péché développe les éléments de sa propre rétribution. Le semis est conforme à la récolte. Alors que le pécheur se précipitent par le péché, il doit donc se soumettre à être balayé par les jugements de Dieu. Alors qu'il vivait une vie non fondée, il doit soumettre à la non substantialité de sa vie révélée par la tempête qui la pose en ruines.
2. Le grain soufflé. "Il n'a pas de tige." etc. La pensée ici est celle des designs frustrés à chaque étape. Il semble d'abord comme s'il n'y aurait pas de tige. Ensuite, une telle tige comme des rendements pas de fruits. Ou si, la perchage, il devrait y avoir, il est dévoré par des étrangers. Ainsi, la vie sans Dieu prouve que le spectacle trompeur, promis sans performance, effort sans résultat. Il doit compter avec les sourcils de Dieu à chaque étape. Il peut nuire à ses conceptions dans leur création. Il peut les contrecarrer une étape plus loin. Il peut les empêcher d'atteindre le succès final. Ou, si le succès serait autorisé, il est seulement qu'il peut rendre leur renversement plus frappant à la fin (Psaume 73:18; Osée 9:11, Osée 9:16) .- JO.
Israël parmi les Gentils.
Nous avons ici la Nemesis d'un faux désir d'indépendance.
I. Mgr avec le monde mène à l'absorption du monde. (Osée 8:8) C'est la plainte contre Ephraïm qu'il s'était mélangé parmi les habitants ( Osée 7: 8 ). Il ne contenait pas de rester séparé, comme Dieu avait ordonné. Il doit avoir sa liberté (cf. LUC 15: 11-42 ). Nous voyons maintenant la fin de ceci: "Israël est englouti." Il était:
1. absorbé par le monde. Les Gentils ont totalement la possession de lui. Il est si spirituellement avec ceux qui essaient de servir Dieu et mammon. La tentative de servir deux maîtres se révèle vain. Le monde gagne du sol dans le cœur; Dieu perd le sol. Par et par le monde a le tout. Le backslider est "englouti" (cf. 1ti 6: 9, 1 Timothée 6:10 ; 2 Timothée 4:10).
2. Un objet de mépris au monde. "Parmi les Gentils comme un navire dans lequel il n'y a pas de plaisir." Le monde dans son cœur méprise secrètement ceux qu'il a subis sous son influence, l'a refusé de Dieu. Il les détient dans le mépris. Deux types d'hommes que le monde a respecté - son propre genre, et le pieux soigneusement pieux. Cela n'a aucun respect pour le troisième chose, qui essaie d'être à la fois et pourtant n'est ni la tondeuse, le compromiseur, le backslider. Ni, une fois que cela leur a de son pouvoir, est-il lent de lui montrer son mépris.
II. Le désir d'être indépendant de Dieu conduit à la dépendance au monde. ( OSÉE 8: 9 ) Israël monta à Assyrie - "Un cul sauvage seul seul." Nous comprenons la figure de faire allusion à l'esprit intraitable et au désir d'indépendance d'Israël. La nation doit, à tout prix, se débarrasser de la joug de Dieu et sort "seul par lui-même". L'utilisation qu'il fait de son indépendance, cependant, est d'aller à Assyrie. Le motif n'est pas, bien sûr, d'avoir le joug d'Assyrie l'imposait à la place de Dieu; Mais c'est le résultat. À la recherche de l'indépendance de Dieu, il sonne la dépendance à l'assyrie. Ici est imagé la fin de toutes les tentatives d'une fausse indépendance.
1. Vraie liberté pour l'indépendance de l'homme-véritable - meurt dans une acceptation fidèle de la règle de Dieu. Cela donne émancipation intérieure et supériorité aux séductions du monde.
2. Renonçant cela, l'âme s'enfonce dans une dépendance aux choses finies, étrangère à sa nature. Il échoue dans la servitude. Il échange le service de Dieu pour pire. Il est gouverné par la convoitise de l'œil, la convoitise de la chair et la fierté de la vie (L Jean 2:10 ). Le prodigue, laissant la maison de son père pour la liberté, s'est terminé par se rejoindre à un citoyen dans le "pays lointain", qui l'a envoyé dans ses champs pour nourrir la porcine (Luc 15:15,
III. La traite avec le monde conduit à l'oppression par le monde. (Osée 8:10) Israël trafic avec le monde pour sa faveur ... "embauché entre les nations;" Le résultat étant qu'il a été abandonné par Dieu d'être opprimé par le monde - "Le fardeau du roi des princes". Les étapes sont.
(1) désir pécheur envers le monde - "Amoureux de l'embauche" ( Osée 8: 9 );
(2) la propitiation du monde, par des cadeaux, des alliances, etc.
(3) l'absorption par le monde et la sous-sévère au monde, comme décrit déjà;
(4) oppression par le monde. Ce pouvoir d'Assyrie sur Israël était:
1. Divinement donné. "Maintenant, vais-je les rassembler." C'était Dieu et personne d'autre, qui a donné à ce peuple entre les mains des étrangers.
2. détresse. Israël souffrirait beaucoup d'exil. Son fardeau serait lourd; Ses chiffres seraient diminués. Le monde est un terrible tyran sur ceux qui cela pénètre dans son pouvoir.
3. Equitable. Nous tracons ici la même proportionnement entre le péché et la punition comme chute si souvent à remarquer. Ils ont volontairement "embauché" parmi les nations; Maintenant, ils sont opprimés par un tribut gentil. J.o.
La religion devient péché.
Les choses les plus sombres de Israël sont devenues un péché à eux par leur mécontentement des commandements de Dieu.
I. L'autel devient péché. (Osée 8:11) La loi requise qu'il ne devrait y avoir qu'un autel, et que, à l'endroit où Dieu avait mis son nom (Deutéronome 12:1, 1 Rois 3:2) . Il est devenu péché une fois qu'une maison avait été construite pour le culte de Dieu. Si cela avait été nécessaire, après la division de la nation, de nommer un centre de district pour Israël, Dieu aurait dirigé les personnes dans le choix d'un. Ils ne sont toutefois ni souhaités ni recherchés ni recherchés, mais ont organisé leur culte à leur manière, en mélangeant des rites idolâtres et, à côté des autels de Jéhovah, des autels élevés aux idoles (Osée 10:1 ). Ils ont ainsi péché, à la fois dans le nombre de leurs autels et dans l'utilisation qu'ils les ont mis. En conséquence, Dieu déclare que ces autels, les choses qui ont prétendaient l'adorer, leur serait imputée pour le péché. Nous sommes enseignés:
1. Que Dieu prétend réglementer son propre culte.
2. Les départs souhaités de la règle qu'il a donnée est imputé comme transgression.
3. Ce culte ne sera pas acceptable pour Dieu ( Colossiens 2:23 ).
4. Que nous ne pouvons pas tolérer la désobéissance en matière de culte par le nombre ou la magnificence de nos services.
II. La loi devient péché. (Osée 8:12) Dieu avait donné à Israël une loi, dont la myriade des préceptes l'aurait guidé dans toutes les situations de la vie; Mais cette loi Israël avait "compté comme une chose étrange". La loi, qui était "sainte, et juste, et bonne", est devenue péché au peuple à travers leur négligence. Considérer:
1. la dignité de la loi. C'est la loi de Dieu ("ma loi"); un, mais beaucoup. Single dans son principe - "tu aimes le Seigneur ton Dieu", etc. (cf. Deutéronome 6:5) -Yet Collecteur dans ses applications, ramifiant dans une multiplicité infinie de préceptes, et s'étendant à tous les détails de la vie.
2. L'accessibilité de la loi. Dieu avait, pour sécuriser sa conservation: Souvenir, le mettre sous forme écrite. Le tour parfois donné à ces mots: "Je l'aurais écrit", etc. n'a pas de sens dans la connexion. Le prophète traite de ce que Ephraïm a fait, non pas avec ce qu'il aurait pu faire dans certaines circonstances imaginables dans lesquelles il n'a jamais été placé. Le passage est un témoignage de l'existence d'une loi écrite. Nous devrions nous souvenir de nos propres privilèges en possession d'une révélation écrite.
3. la négligence de la loi. Ephraïm autorisait cette loi, bien, merveilleuse et sainte telle qu'elle était équipée de l'instruction et de le guider m le mode de vie, d'être «une chose étrange» à lui. Il l'inflige de l'étudier. Il a négligé de le pratiquer. La loi même a donc répété sa condamnation. Combien d'actes d'une manière similaire à la Bible! Ils le possèdent, mais laissent non ouvert, non élaboré. Le livre non lu devient péché à eux. Cela augmentera alors, dans le jugement.
III. Les sacrifices deviennent péchés. (Osée 8:13) Comme on le voit précédemment, les sacrifices ne seront pas acceptés par Dieu comme un substitut de l'obéissance (Osée 6:6; 1 Samuel 15:22). Sans le bon esprit de l'offrant, ils deviennent comme une simple "chair", dans laquelle Dieu ne fait aucun plaisir. La chose sacrée devient une chose commune. Au lieu d'avoir envie d'iniquité, les sacrifices sont devenus eux-mêmes l'iniquité. Ils ont été imputés pour le péché. Ni le nombre ni la magnitude d'entre eux ne pouvaient éviter la colère qui a été décrétée. "Ils reviendront en Égypte", à une nouvelle Égypte, à Assyrie.
Iv. Les temples deviennent péché. (Osée 8:14) Alors que des sacrifices ne peuvent être pris au lieu de l'obéissance, les temples ne peuvent donc être acceptés comme substitut à la piété. Israël "temples construits," mais avait "oublié son créateur". Les temples mêmes sont donc devenus comme péché. Le bâtiment de temples et la frisance de l'ornement extérieur sur eux procède souvent plus la plus rapide que Dieu a été oubliée. Le culte devient externalisé. La sortie est la plus grande, comme pour tolérer le désir de l'intérieur. Ce n'est cependant pas des temples sortants que Dieu désire principalement, mais les temples de spiritueux humble et contrite ( Ésaïe 57:15 ). Les premiers sans ces derniers sont péchés.
V. Les villes clôturées deviennent péché. (Osée 8:14) Il est ajouté que Juda avait multiplié des villes clôturées. Alors que des sacrifices étaient substitués à l'obéissance et que les temples étaient substitués à la piété, les villes si clôturées doivent être placées au lieu de Dieu lui-même. Le péché repose en regardant l'aide divine engagée à de simples défenses terrestres. Ceux qui le font sont enfin laissés à prouver l'inutilité de leurs défenses. Dieu enverrait un feu sur les villes, et cela dévorerait les palais. La force humaine n'est pas une protection en l'absence de l'aide de Dieu; Il est également impuissant à protéger contre les jugements de Dieu. J.O.