Vehement] RV 'sultry' = le sirocco.

9 . Voir sur Jon 4:4 . Jonas transfère sa pitié pour lui-même, en prophète maltraité, à la gourde qui, elle aussi, n'a guère été traitée. Une touche merveilleusement vraie de la nature humaine.

10 . L'argument est très beau. Le sentiment de pitié de Jonas pour la gourde est juste suffisant, un arbre desséché est toujours un spectacle triste. Pourtant sur cette gourde, « enfant d'une nuit » (c'est ainsi que l'héb.), il n'avait dépensé ni travail ni force. Combien plus Dieu, dont la bonté la plus haute vertu de l'homme n'est que l'ombre la plus faible, devrait-il avoir pitié et épargner les œuvres impuissantes et ignorantes de ses propres mains, qui remplissent maintenant les rues de Ninive d'appels pathétiques au pardon !

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