Le Christ pleure sur Jérusalem (particulier à Lc).« Le chemin monte à nouveau ; il gravit une ascension accidentée; il atteint une corniche de roche lisse, et en un instant la ville entière éclate en vue. De même que maintenant le dôme de la mosquée El-Aksa s'élève comme un fantôme de la terre avant que le voyageur ne se dresse sur le rebord, ainsi a dû s'élever la tour du Temple ; comme aujourd'hui la vaste enceinte du sanctuaire musulman, ainsi durent s'étendre les cours du Temple ; comme maintenant la ville grise sur ses collines brisées, ainsi alors la ville magnifique, avec son arrière-plan - depuis longtemps disparu - de jardins et de banlieues sur le plateau W. derrière. Immédiatement en dessous se trouvait la vallée du Cédron, ici vue dans sa plus grande profondeur lorsqu'elle rejoint la vallée de Hinnom, et donnant ainsi pleinement effet à la grande particularité de Jérusalem vue de son côté E.-sa situation comme d'une ville s'élevant de un abîme profond. Il est à peine possible de douter que cette montée et ce virage de la route, ce rebord rocheux, étaient le point exact où la multitude s'arrêta à nouveau, et Lui, quand Il vit la ville, pleura dessus » (Stanley). Cp.Matthieu 23:37 .

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