Mais si un homme qui est un parent ou tuteur ; pense qu'il se comporte de manière inconvenante Qu'il doit agir de manière indécente, ou d'une manière indigne de son caractère, ou indigne de son crédit et de sa réputation ; envers sa vierge En l'empêchant de se marier; si elle passe , &c. grec, εαν η υπερακμος, si elle est majeure ou majeure ; et il faut qu'elle l'exige Και ουτως οφειλει , et qu'il soit nécessaire de le faire , que la nécessité vienne de sa conscience et de son inclination, ou qu'elle soit recherchée en mariage; laisse-le faire ce qu'il veutComme il voit l'occasion, selon les circonstances, soit de l'épouser, soit de la garder célibataire. Ou, comme les mots peuvent être rendus, qu'il fasse ce qu'elle veut ; il ne pèche pas En se conformant à son inclination dans un tel cas : qu'elles Laissent ces filles vierges se marier Voir sur 1 Corinthiens 7:9 .

« Comme les Juifs et les Gentils considéraient le célibat comme déshonorant, certains pères pourraient penser qu'il est péché d'empêcher leurs filles de se marier ; tandis que d'autres, suivant l'opinion des Esséniens et des philosophes rigides, pensaient qu'ils avaient bien agi en les retenant. Les Corinthiens avaient donc jugé nécessaire de consulter l'apôtre à ce sujet. Néanmoins Ou mais; celui qui tient ferme , &c. Qui reste fermement persuadé dans son esprit, que ce n'est pas un péché pour sa fille de rester célibataire ; n'ayant aucune nécessité de son opinion, ou de son inclination, ou des circonstances, de la donner en mariage ; et a le pouvoir sur sa propre volontéCe qui l'inclinerait à désirer l'accroissement de sa famille et l'affermissement de celle-ci par de nouvelles relations ; ou, qui a la direction de sa propre volonté dans cette affaire, étant un homme libre, et non un esclave ; et a ainsi décrété , &c. Hath déterminé cela dans son esprit; de garder sa vierge Célibataire, selon son penchant ; fait bien Fait ce qui est préférable.

Ainsi donc, celui qui la donne en mariage quand le besoin l'exige, fait bien ce qui est permis, et dans le cas de sa fille est, dans l'ensemble, convenable, même dans la détresse actuelle ; mais celui qui ne lui donne pas fait mieux. Ce qui est mieux pour elle, plus pour son perfectionnement spirituel ; car si elle y consent, en la gardant célibataire dans sa propre famille, elle sera exposée à moins de tentations que si elle était mariée, et en meilleure condition pour acquérir cette connaissance et cette foi en l'Évangile, avec sainteté dans cœur et la vie, ce qui lui permettra d'adhérer et de parer la cause du Christ dans un temps de persécution.

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