Pour vous tous, que les pères, les jeunes hommes, ou petits enfants, dis - je, l' amour pas le monde Poursuis ta victoire en surmontant le monde, et toutes les tentations qui attaque mai - vous, que ce soit de la prospérité ou l' adversité, de la richesse ou la pauvreté , honneur ou reproche, plaisir ou douleur, vie ou mort; des personnes du monde ou des choses qui sont dans le monde Qu'elles vous attaquent par l'intermédiaire de vos sens ou de vos appétits et passions. Si quelqu'un aime le monde, l' estime, le désire ou le poursuit, ou toute chose en lui, démesurément, de manière à placer son bonheur dans la jouissance de celui-ci ; l'amour du Père n'est pas en lui. Il y a une réelle incohérence entre l'amour du monde et l'amour de Dieu ; entre êtreayant un esprit charnel, estimant, désirant et poursuivant des choses immodérément visibles et temporelles, ce qui est la mort, et ayant un esprit spirituel , ayant nos pensées et nos affections tournées vers les choses invisibles et célestes, qui sont la vie et la paix, Romains 8:6 .

Pour tout ce qui est dans le monde qui est tentant et séduisant ; la luxure Επιθυμια, le désir; de la chair Le plaisir résultant de la satisfaction des sens extérieurs, qu'il s'agisse du goût, de l'odorat ou du toucher, ou des appétits corporels ; le désir des yeux Les choses qui, étant vues par les yeux, sont sincèrement désirées et recherchées, et qu'ils prennent plaisir à contempler, en particulier les richesses, y compris aussi les plaisirs de l'imagination, ) de ce sens interne par lequel nous savourons tout ce qui est grand, nouveau ou beau ; et la fierté de vivreCes choses dont les hommes ont l'habitude de prendre le plus d'orgueil, et qui nourrissent principalement l'orgueil du cœur ; toute cette pompe dans les vêtements, les maisons, les meubles, l'équipage, la manière de vivre, choses qui font généralement honneur à la masse de l'humanité, et comblent ainsi l'orgueil et la vanité. Elle inclut donc directement le désir de louange, et, à distance, la convoitise. Tous ces désirs ne sont pas du Père, mais du monde, c'est-à-dire du prince de ce monde, ou de cette corruption de la nature qui règne dans les hommes du monde.

Et le monde passe à savoir, toutes les jouissances du monde ; et le désir de celui-ci Tout ce qui y paraît désirable, et le fait tant recherché; ou tout ce qui peut satisfaire les désirs mentionnés ci-dessus, s'en va avec ; mais celui qui fait la volonté de Dieu qui l'aime, et non le monde, et cherche le bonheur en lui, et non dans les choses du monde, demeure dans la jouissance de ce qu'il aime, et fait l'objet de sa poursuite, pour toujours.

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